Bettelheim

SYNTHETIQUE -Ce sujet nous a intéressé car c’est l’un des premiers long métrage, et le dessin nous rappelait aussi de bons souvenirs et nous le connaissions toutes les trois : Laura, Estere et moi. Ayant lu la psychanalyse des contes de fée de Bettelheim, et m’intéressant fortement a il me sembla intéressant de faire une partie expliquant les messages psychologiques que renferme le conte. Ce sujet m’a beaucoup appris sur la moralité des contes, leurs origines et leurs impactent. -Blanche-Neige

Jeunesse m'est apparue lors de la lecture d'un ouvrage de Bettelheim. Lors de sa nomination comme directeur de l'Ecole Orthogénique de Chicago, Bettelheim s'interroge sur les messages envoyés aux patients par l'espace de vie créé par l'institution. Le fait que les murs donnent aux patients l'impression de ne pas être perçus par l'institution comme des individus est l'une de ses préoccupations principales. Mais plus généralement Bettelheim cherche à attirer notre attention sur le fait que des éléments

Psychanalyse des contes de fées, Bruno BettelheimPsychanalyse des contes de fées, Bruno Bettelheim Présentation de l’œuvre: -publiée en 1976 –Bettelheim a etudié plus de 70 contes surtout de Grimm et d’Andersen Comment le conte de fées permet-t-il à l’enfant de se construire une existence indépendante à l’image du héros ? Le conte de fée: -Dès que l’enfant commence à se déplacer, à explorer, il se met à s’interroger sur son identité et se pose donc beaucoup de questions: qui suis-je ? D’où je

démontrer, alors qu’il commençait à se constituer en tant que genre, on peut dire que le conte de fées pour enfants prit de plus en plus le tour d’un discours institutionnalisé incluant parmi ses composantes la manipulation. » Extrait 3 : Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées, trad. fr. T. Carlier, Paris, R. Laffont, 1976 (The Uses of Enchantment, 1976), coll. Bouquins, p. 137 (« De l’utilité de l’imagination ») : « Les contes de fées ne prétendent pas décrire le monde tel qu’il est ;

ces problèmes. D’où l’affirmation de Bruno Bettelheim : « Les contes permettent, entre autres, d’entrevoir des solutions face aux difficultés de la vie. » Qu’en est-il réellement de cette affirmation? Nous pourrions nous interroger poser quelques questions à ce sujet: en effet, dans quelle mesure les contes de Perrault peuvent-ils résoudre les problèmes de la vie ? Ou encore, quelles seraient concrètement les difficultés du quotidien avancées par Bettelheim ? En quoi les contes riches en éléments merveilleux

mère. BETTELHEIM Psychologue américain, Bettelheim considère que l’angoisse est l’élément central de la psychose de l’enfant. Il a la conviction que sans une pédagogie centrée sur un milieu voué à l'écoute, ses angoisses et ses besoins, aucun enfant perturbé ne peut trouver les bases sur lesquelles peut se construire une personnalité harmonieuse. Bettelheim reprend à Kanner le terme de « mère réfrigérateur ». Mais alors que Kanner défendait l'idée d'une cause innée de l'autisme, Bettelheim considérait

ceux de psychologues cliniciens comme Bruno Bettelheim, notamment, dans sa Psychanalyse des Contes de fées ou dans d’autres textes… L’idée principale de Bettelheim provient d’un constat : les enfants prennent plaisir à des récits qui déclenchent des explosions émotives très fortes, proches de la terreur, et sont rassurés par ces terreurs, toujours produites par les mêmes « figures » ou « rôles » : la sorcière, le loup… A partir de ce constat, Bettelheim élabore toute une interprétation de textes

qu’il se pose de la part de ces objets animés ou inanimés. Il est en droit d’espérer un éclaircissement sur la vie réelle de la part de ces entités de la même manière qu’elles lui ont fourni des réponses à travers la lecture ou l’écoute du conte. Bettelheim disait : « Les enfants ont besoin de l’appui de la magie pour affronter la vie ». De plus, vu l’inexistence de ligne séparatrice entre ce qui vit et ce qui est inanimé, ce qui est inanimé est appelé à vivre. Tout donc, même ce qui relève du magique

CENTRE ÉTRANGER (LIBAN) Sujets de français, bac 2021, voie technologique (sujets bis) Corrigé du commentaire n° 2 (pages 11 et 12, voir sujet bis) : Anne Perrier, « Cantique du Printemps », Poésie, 1960-1979 Problématique : Il s’agira ici de montrer combien le désir amoureux et donc la poétesse, se mêlent à l’élan vital du printemps dans une célébration de la nature et de l’amour. I. La célébration de l’élan vital du printemps • Champ lexical de la naissance/renaissance : « éclate », «

aurait-il rencontré un jour dans sa vie, un Petit Chaperon rouge dont il aurait aimé se venger ? En tout cas, cette histoire ne laisse au lecteur adulte ou enfant, aucun moyen de garder l’espoir et le laisse face à ses peurs. Comme l’affirme Bruno Bettelheim : le conte est ainsi privé de la délivrance, de la guérison et du réconfort ; ce n’est pas un conte de fées (et ça ne l’était pas dans l’esprit de Perrault), mais une histoire de mise en garde qui menace délibérément l’enfant avec une conclusion