Bibliographie De Ferdinand Oyono

qu’elle était alors définie, c’est-à-dire surtout comme objet d’étude des ethno-anthropologues. Mais c’était oublier que le Ferdinand Oyono qui écrit Une vie de boy dans un français classique des plus purs est également celui-là même qui traduit sa langue maternelle, le foŋ – entendons langue partenaire –, en français dans Ta gourmandise Marie-Rose Abomo-Maurin nous perdra (Oyono, 1956, p. 17). Mais s’étonner par la suite que les écrivains africains introduisent des « africanités » – j’ai envie de

du corps tragique……………………………………56 Chapitre VI : Le jeu avec les normes langagières : une poétique subversive……………69 Chapitre VII : Pour une approche herméneutique du corps féminin……………………79 CONCLUSION…………………………………………………………………………96 BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………100. 1 EXERGUE « J'emprunterais le chemin de ces collines pour dépasser la triple de l'amour, de la femme, du destin »1 « Les femmes, n'est-ce pas, ne prennent jamais conscience de leur propre destin. Une main

médias. Réseaux de pères immigrés œuvrant à la bonne intégration de leurs enfants, jeunes femmes britanniques mariant islam militant, emploi de cadres et présence médiatisée invitent le lecteur à un regard neuf. Le tout s’appuie sur une solide bibliographie qui, pour mieux écouter, fait une place à la littérature, du Cahier d’un retour au pays natal de Césaire (1947) au Gône du Chaaba de Begag (1986) et à L’immigration d’une femme de Farida Hamak (2004) en passant par la Rue Case-nègres de Zobel (1950)

sont soucieuses de recréer la couleur locale en obéissant à une certaine objectivité, une certaine logique. (…) Comme si le passage précédent était tiré de Vaugelas ! Au vrai, Ahmadou Kourouma, le romancier le plus jovial d’Afrique, après Ferdinand Oyono, s’amuse aux dépens du lecteur. Il le divertit jusque dans le choix des auxiliaires. (..) Chaque fois qu’il est question de néologisme, Kourouma s’efforce de trouver habilement des repères à travers d’autres mots ou des formes périphrastiques

artistiques. Constante dans la production littéraire des écrivains africains, la violence se décline différemment selon certaines périodes de leurs carrières. En 1921 déjà, René Maran avec la préface de Batouala, faisait office de précurseur. Ferdinand Oyono et Mongo Beti avaient, dès les années 50, expérimenté une esthétique réaliste assez acérée pour prendre en charge les violences inhérentes à la colonisation. De l’écriture de Ahmadou kourouma et de Yambo Ouologuem, l’on ne dira pas assez le caractère

Rebelle et de Caliban qui ambitionne d'assassiner Prospero afin de reconquérir sa liberté, Ferdinand n'entend nullement déchoir de son origine noble. L'éclat de sa naissance le conduit à fuir l'ignominie. Né pour gouverner et pour asseoir son autorité sur des sujets obéissants, ce personnage altier ne saurait souffrir la dépendance et la servitude. A la perspective de tomber sous le joug de Prospero, Ferdinand préfère celle de mourir au champ d'honneur : En voyant mademoiselle plus belle qu'une

DE PAUL BIYA didats de l’opposition. Les principaux journaux privés, le Messager, La Nouvelle Expression et Challenge Hebdo n’ont pas pu paraître les semaines précédant le scrutin. À propos des médias, le gouverneur de la province du Littoral Ferdinand Koungou Édima est allé jusqu’à déclarer : « Nous avons réussi à anéantir tous les fauteurs de troubles, y compris les partis politiques, et notre seule difficulté aujourd’hui, c’est la presse »32. Quant à Fochivé, le secrétaire d’État à la sécurité

faiblesses du contrôle de l’exécution de la loi de finances ....................................... 385 CONCLUSION GENERALE..................................................................................................................... 429 BIBLIOGRAPHIE GENERALE............................................................................................................... 439 9 10 INTRODUCTION GENERALE Longtemps ignoré et asservi, relégué dans une position d’infériorité, le pouvoir législatif

expression of a given society (as Bonald had put it) or the product of particular circumstances (Sainte-Beuve related books to their authors and the groups to which they belonged), or historical determinism (Taine) or the Darwinian evolution of genres (Ferdinand Brunetière, 1849–1906). After 1870, literary history, subjected to the methods of positivism, was divided into Periods and equipped with a canon of Great Authors. Academic criticism acquired the trappings of science, with critical editions, philology