Bibliothèque apostolique vaticane

censure en Europe de l’Encyclopédie au modernisme. Mes deux interventions portèrent l’une sur Zola et la censure l’autre sur Zola à l’Index. Un autre résultat de ma recherche (Zola et la censure romaine) a été présenté au colloque Zola au Panthéon (Bibliothèque Nationale de France et Panthéon, 5-6-7-juin 2008, organisé par A. Pagès et l’ITEM). 1. É. Zola, La censure, dans Le Figaro, 7 nov. 1885. 2. É. Zola, Les droits de la critique, dans Nouvelle Campagne (1897), ici, Chroniques et polémique II, p. 816

lui-même Jésus. L'oiseau offert représente le côté éphémère et fragile de la vie. Arrière plan paysager baigné dans une brume emprunté au sfumato de Léonard. Fin année 1508, il est appelé par Jules II pour peindre à fresque 3 salles du palais du Vatican. Ce sont les appartements privés du pape, la chambre de la Signature, la chambre d'Héliodore et enfin la chambre de l'incendie du bourg. On les appelle fréquemment les stanze (chambres) de Raphaël. Il y travaille avec son atelier jusqu'à sa mort.

1. La restauration. Ce régime a voulu rendre au catholicisme la prééminence qu’il avait sous l’Ancien régime. La Charte de 1814 proclame la liberté de religion mais elle ajoute que parmi les cultes reconnus, la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de l’Etat. Pour marquer cette supériorité, le régime a évolué vers le cléricalisme. Cela veut dire que des lois ont été votées, qui soumettaient la société civile aux règles du catholicisme. Par exemple, une loi de 1814

la communication. Index (liste officielle qui exista jusqu’en 1966 après le Vatican 2) des ouvrages interdit qui critiquait l’église pour éviter que les fidèles ne se retourne contre eux, contre la foi. On déconseillait les images et les hérétiques étaient mis au bûcher. Index Librorum prohibitum (1559)= lexiques des ouvrages interdits But : empêcher de lire des livres critiquant l’Eglise.  Suppression après le Vatican II. Cesse d’être une liste officielle en 1966. La censure des images : Guidizio

Fouquières, l’arbitre des élégances, et Jean Cocteau, écrivain, cinéaste, poète et dramaturge. Les deux amis, Prévert et Duhamel, découvrent une librairie, la Maison des Amis des livres, qui appartient à Adrienne Monnier. Celle-ci a aussi une bibliothèque de prêt et elle fait de son mieux pour avoir des livres qui ne se trouvent nulle part. Là ils feuillettent un livre intitulé les Chants de Maldoror, dont l’auteur, le franco-uruguayen Lautréamont, fait un éloge sarcastique du mal. Ce livre est

perplexité d’un historien (laboratoire associé C.N.R.S. — Hors cadre, 3, 1985 (doc. renoté). J. METTAS, Répertoire des expéditions négrières françaises au XVIIe siècle, 2 vol. 1978, Éd. par S. Daget. LA VOIX DE NOTRE DAME (bulletin du vicariat apostolique de la Guinée française), no S-1-novembre 1928 et 2 décembre 1931. MOOER, Women and Slavery in Africa, Edited by Claire C. Roberton-Martin-A. Klein (The University of Wiscounsin Press) 1973. M. DIALLO, L’implantation coloniale à travers les vestiges

Constantinople par les Ottomans – Transformation de Sainte-Sophie en mosquée • 1550 : La ville compte 250 000 habitants R E 3 Le nouveau visage de Constantinople (Le palais de Topkapi et la mosquée Ayasofya, dessin ottoman, fin XVIe siècle, bibliothèque de l’université d’Istanbul.) 4 Une description de Constantinople « Dans son état actuel, la ville contient plus de trois cents mosquées, dont les plus magnifiques ont été construites par les empereurs et pachas et sont toutes couvertes de plomb

Famille). Cloches. Enfin grand-mère, aussi blanche que sa guimpe, poussant du bout de sa bottine son éternelle longue robe grise, jaillit de la porte d'honneur. En même temps surgissaient de la bibliothèque, aile droite, la tante Thérèse Bartolomi, comtesse de l'Empire, puis mon oncle le protonotaire apostolique et, de la lingerie, aile gauche, la gouvernante, la cuisinière, la femme de chambre... Toute la famille et ses satellites débouchaient des innombrables issues de La Belle Angerie, cette grande

enrichie de sept titres. Enfin, il faut surtout souligner le nombre considérable d’auteurs qui, au cours de ces deux ans, ont écrit dans notre maison grâce aux ouvrages collectifs de la désormais célèbre collection Hommes et sociétés, véritable bibliothèque universitaire en construction permanente, et dans nos deux revues Politique africaine et HMC (qui passe d’Histoire des Missions Chrétiennes à Histoire, Mondes et Cultures religieuses pour ouvrir son spectre d’analyse). Nous sommes fiers de pouvoir

Actes du congrès de droit canonique, Cinquantenaire de la Faculté de droit canonique de l’Institut catholique de Paris (1947), Paris, Letouzey et Ané, coll. « Bibliothèque de la Faculté de droit canonique de Paris », 1950, p. 335-338. 6. Franck Roumy, L’Adoption dans le droit savant du XIIe au XVIe siècle, Paris, LGDJ, coll. « Bibliothèque des thèses de droit privé », 1998, t. 279. 7. Anne Lefebvre-Teillard, Introduction historique au droit des personnes et de la famille, Paris, PUF, coll. « Droit