Bidonville

oceanatitude.org Ces documents choisis sont:la photo de deux jeunes filles de corvée d'eau et la photo d'une énorme canalisation d'eau potable traversant un bidonville. argumentation texte 1 grâce a cette carte nous pouvons nous rendre compte du réel manque d'eau potable dans certaines régions de l'Asie de l'Est et

Fiche de lecture : Le gone du Chaâba – Azouz Begag Présentation de l’auteur : Azouz Begag est né le 5 février en 1957 à Villeurbanne, à Lyon. Ses parents sont algériens, ils émigrent en France en 1949 et vivent dans un bidonville jusqu’en 1966 puis ils déménagent dans un HLM dans la cité de Duchère à Lyon. Durant son enfance Azouz Begag éprouve des difficultés pour s’intégrer dans la société française et se réfugie auprès de la littérature, dont les oeuvres d’Albert Camus, Romain Gary

afin d’accueillir la population, et celle ci se retranche donc dans des moyens assez radicaux pour avoir un toit sur leur têtes. Les habitants construisent eux même des bidonvilles, souvent composé de cartons. Cela crée un étalement urbain qui se fait de façon anarchique. L'étalement urbain est composé de groupements de bidonvilles aussi appelés habitats informels. Au moment de l'industrialisation de l'Inde, dans les années 1950, on voit augmenté la population urbaine : c'est l'exode

villes comme Tokyo ou Shanghai, qui étaient de toutes petites villes, sont devenues en quelque temps de gigantesques mégalopoles. Une conséquence du très rapide développement des villes est la création d’une croissance anarchique, type favelas ou bidonvilles, qui concerne entre 30 et environ 90% des urbains des pays du « Sud ». Cependant, sur la carte du document 3, on peut remarquer qu’il n’y a pas d’habitations précaires dans les villes du « Nord ». Les villes du « Nord » sont quant à elles préoccupées

I . Etat des lieux I.1. Une situation préoccupante L’étude publiée en septembre 2001 par le Secrétariat d’Etat à l’Habitat permet de dresser le tableau suivant du parc immobilier marocain : • Habitat non réglementaire : 398.000 logements • Bidonvilles : 292.000 logements • Habitat réglementaire : 2.3 millions de logements • Maison marocaine1 : 65.000 logements • Résidences secondaires : 119.000 logements • Logements inoccupés : 492.000 • Bureaux : 394.000 Les logements d’une insalubrité totale

Le temps des baraques: document 6 Crise du logement → bidonvilles en périphérie de Marseille, Lyon et Paris 1965 : 70 000 personnes dans les bidonvilles, 2/3 d'algériens et portugais Une politique sociale pour les immigrés ? 1950 : L’État encadre les algériens dès 1966 : la direction de la population et de l'immigration fait construire des foyers par la Sonacotra, le FAS finance des actions sociales Disparition des bidonvilles vers 1975 Français et immigrés, entre solidarité et tensions:

conditions de vie sont souvent déplorables. Logement Ils résident souvent dans des bidonvilles où cohabitent beaucoup d’immigrés maghrébins. Ils vivent avec une absence de confort et d’hygiène, Les bidonvilles, au nombre de 14000 à Nanterre, représentent en France le lieu de résidence de 43% des immigrés maghrébins. Ce n’est qu’après les années 1970 que la France commence à éradiquer peu à peu les bidonvilles, réduisant leur nombre en 1970 à une centaine en banlieue parisienne, regroupement familial

culturelles et les quartiers composés de gratte-ciel. Et les banlieues et les espaces périurbains qui entourent les grandes villes, on y trouve des quartiers d’habitations dans les pays développées mais dans les pays pauvres ils sont souvent composés de bidonvilles. Qui habite les métropoles et comment vivent ces personnes ?Dans les métropoles des pays en développement comme LagosSe loger • Les populations pauvres habitent dans des quartiers pauvres, souvent loin de leur lieu de travail.• Dans des conditions

marocaines à ces appels d’offres dans des conditions de transparence. 2. La restructuration du marché immobilier : 2.1 Programme "villes sans bidonvilles" pour contrecarrer le déficit en logements : Les statistiques concernant l'habitat au Maroc ont montré que 770 000 familles, soit 4 millions de personnes habitent aujourd'hui, les bidonvilles ou résident dans des habitations non réglementaires qui continuent à croître au rythme de 40 000 unités par an, représentant 40% des constructions

parmis elles, que des citoyens ayant un revenus moyen ou très aisé, ce qui pourait mêmes devenirs la bases de nouveaux problème sociaux comme l'a très bien immaginé Mike Davis dans : « Le pire des mondes possibles, de l'explosion urbaine au bidonville global »: Dans son dernier livre, Le pire des mondes possibles, Mike Davis, chercheur américain indépendant, montre comment on en est arrivé là. Le tableau est effrayant. De nombreux Etats ont renoncé à toute intervention dans le domaine du logement