Biélorussie

l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie d’un côté et la Pologne, la République Tchèque, la Hongrie, la Slovaquie et la Slovénie de l’autre. Après l’admission de nombreux pays en 2004, elles séparèrent notamment la Hongrie, la Slovaquie et la Pologne de la Biélorussie, l’Ukraine, la Roumanie et la Serbie. Puis la récente expansion de l’Union Européenne datant de 2007 admis l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie. La grande majorité des pays de l’Union Européenne ont signé la Convention de Schengen, qui délivrent

début des années 1990, avait grimpé à 0,8% en 1992 et jusqu'à 7,5% en 1994 [9], quatre fois plus vite qu'en Biélorussie (0,5% en 1992 et 2,1% en 1994), qui a adopté une méthode plus graduelle de libéralisation [9]. Dans le même temps, souligne cette étude comparative entre pays post-communistes du Lancet (2009), le taux de mortalité augmenta quatre fois plus vite en Russie qu'en Biélorussie [9]. L'étude constate une corrélation entre les privatisations massives et rapides et l'augmentation du chômage

1990, à la suite de la chute du mur de Berlin, l'Allemagne, alors divisé entre la RFA et la RDA, se voit réunifier. En 1991, nous faisons face à la chute de l'URSS, donnant naissance en Europe à la Russie, l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Biélorussie et à l'Ukraine. Entre 1991 et 2006 a eu lieu la division de la Yougoslavie, donnant elle naissance à la Bosnie-Herzégovine, à la Croatie, à la Macédoine, au Monténégro, au Kosovo, à la Serbie et à la Slovénie. Ainsi, l'Europe contient aujourd'hui

| |. Carte 1: Quelle différence peut-on faire entre les « frontières de l’union |Les pays à l’est comme la Russie, Biélorussie, l’Ukraine, de l’ex-Yougoslavie (Slovénie, Croatie, Serbie, Monténégro, Bosnie-Herzégovine, Macédoine,| |européenne » et les limites de l’Europe |Kosovo), ne font pas partie de l’Union européenne alors qu’ils

en Irak, en Iran, au Japon, en Malaisie, au Singapour, au Soudan et en Syrie. Il y a aussi l'injection létale qui est utilisée aux États-Unis, en Chine et au Viet-Nâm. Mais aussi la fusillade, pratiquée en Autorité palestinienne, au Bahreïn, en Biélorussie, en Chine, en Corée du Nord, en Guinée équatoriale, en Somalie, au Taïwan, aux États-Unis et au Yémen. Enfin il reste la lapidation comme mode d'exécution comme en Afghanistan, en Iran, au Nigeria, au Soudan ou au Yémen. L'électrocution.

détériorée. La centrale nucléaire de Tchernobyl, appelée aussi centrale nucléaire Lénine est actuellement à l’arrêt. Elle se situe en Ukraine dans la ville de Pripiat, à 18 km au nord-ouest de Tchernobyl, 16 km de la frontière entre l’Ukraine et la Biélorussie et environ 110 km au nord de Kiev ; la capitale de l’Ukraine. En plus de larmes, cette catastrophe a fait couler beaucoup d’encres. Beaucoup de zones d’ombre face aux conséquences de cette explosion restent à explorer. C’est le cas notamment

fragmentation est source de richesse mais aussi de conflits et de faiblesse face aux grandes nations du monde. L’absence d’unité politique de l’Europe se manifeste aussi par des organisations politiques variées. L’essentiel des pays européens, sauf la Biélorussie qui est une dictature et le Kosovo qui est sous administration internationale, sont des démocraties. Une partie est constituée de monarchies parlementaires (Royaume-Uni, Suède, Pays-Bas, Espagne…), l’autre partie est formée de Républiques (France

en gaz monopolisés par les compagnies russes (Gazprom, Loukoïl, Ioukos). À l'inverse, la Biélorussie, la moins réformée des anciennes Républiques soviétiques, reste très fortement liée à la Russie à travers les leviers économiques classiques tels que les livraisons de gaz, de pétrole, les infrastructures de transit. Elle est aussi l'avant-poste de la défense antiaérienne de cette "Union Russie - Biélorussie". Avec des pays comme l'Ukraine, la Géorgie, les phases de tension et de rapprochement alternent

projet Nord Stream a suscité de vives réactions en Union européenne, mettant en lumière les tensions entre la Russie et les ex-satellites de l’URSS, nouveaux membres de l’UE. Le gaz russe destiné à l’UE transite à 80% par l’Ukraine et à 20% par la Biélorussie et la Pologne. La Russie verse à ces états des recettes de transit. Mais le transit par ces pays tiers réputés hostiles à Moscou est assimilé à un risque politique. Lors de la Conférence de Saint-Petersbourg appelée « Transit dans la Baltique et

coopérer avec le tribunal pénal international pour des crimes de guerre, c'est à dire à respecter les droits de l'homme. La Macédoine, La Bosnie, États en situation de guerre civile, sont aussi susceptibles d'intégrer l'U.E. Et puis, l'Ukraine et la Biélorussie aussi, comme le souhaitent les Polonais, alors que ces pays sont encore sous régime autoritarie ou en sortent difficilement. Ainsi, l'UE prend le risque d'accueillir des membres peu recommandables avec lesquels seuls les échanges commerciaux