Bien Penser Est Ce Ne Rien Aimer

tu penses qu’elle va être comme les autres … on a pas besoin d’un compte de feés ,juste de quelqu’un avec qui on est bien .peu à peu tu te rends compte qu’elle est différente à tes yeux . un jour tu réalises que tu l’aimes plus que tout,Et oui, tu es amoureux d’elle et d’un coup ça arrive, quelque chose se déclenche, et à ce moment tu sais que les choses vont changer et on change .et à partir de là rien ne sera jamais pareil…jamais . Dans ton cœur

sans qu’on ai rien demander ,etre amoureux c’est aimer passer de temps avec elle ,aimer ses qualites comme ses defauts ,aimer s’allonger sur son torse et ne plus vouloir s’en aller de la pck l’on est bien ,aimer la facon dont il nous faire sourire ou la façon comment il se prend pour se faire pardonner ,c’est avoir de frissons quand ils caresse tout doucement notre peau. La façon dont il nous embrasse, la passion qu'il y met. On pourrait lui parler pendant des heures, de tout, de rien. On est accro

qu'il reviendra et on veut y croire. Malheureusement les chances que tout redevienne comme avant sont bien trop insuffisantes. La vie nous semble tellement injuste et repoussante, on se sent mal dans notre peau, on se dit que parmi c'est milliards de personnes présentent dans ce monde, on fait partie de se qui sont inutiles, et qui le nuise. Il n'y a rien de pire que de perdre la personne qu'on a aimer, du premier regard aux dernier souffle. De savoir que depuis ce jours, il nous a oublier comme si on

Aimer AutruiLes Faux Monnayeurs André Gide  « presque tous les gens que j’ai connu sonnent faux », affirme Bernard à la vue d’une fausse pièce d’or. Cette assertion porte en elle une réalité désolante : comment Bernard peut-il aimer véritablement les autres si ces derniers ne révèlent pas leur intériorité et ne montrent pas d’authenticité ? Aimer autrui apparaît comme une expression évidente, voire comme une forme de pléonasme : nous sommes naturellement portés à aimer l’altérité

prends la moitié et je me casse !- J'ai gagné 3 euros, prends 1.5 € et casse toi. »  - Wesh gro ta une clope? Tete d'ma reum jte la ren!  - Sorry I don't speak wesh.  » J'aime bien les gens qui publient des statuts pas intéressant comme " pt1 jean nez marre 2 la life.." avec les points de suspensions, pour bien avoir l'air triste et qui mettent le dernier mot en anglais. On ne sait pas pourquoi, dans l'espoir d'avoir un commentaire qui dise " mé kesski spasss ? " alors que la personne s'en

belle, que ce n'est que passager. Te dire que toi & moi c'est infini. Te dire que notre amour n'est pas comme les autres. Te dire que tu es unique. Te dire que tu es magnifique. Te dire que je veillerais toujours sur toi. Te dire que je ne veut aimer que toi. Te dire que personne ne t'aimera autant que moi.» Tu ecris son nom sur le miroir de tα sαlle de bαin, quαnd il y α de lα buée. Tu restes des heures connectée juste pour être lα si il se connecte. Tu ecris son nom pour tester ton stylo ou

On est toujours persuadé qu'il n'y a qu'une personne au monde à aimer. Et on en trouve une autre pourtant un jour. Et ça a l'air dingue de s'être autant inquiété pour ça au début. Tout finit par s'oublier, de toute manière. D'abord, on oublie tout ce qu'on a appris : les dates de la guerre de Cent Ans, le théorème de Pythagore. On oublie surtout tout ce qu'on n'a pas vraiment appris mais qu'on a juste mémorisé la veille au soir. On oublie les noms de pratiquement tous ses profs à part un ou deux

L'amour est un thème universel de réfléxion comme on peut le constater à travers les littératures de toutes les cultures, si nommer la personne qu'on aime est simple, il n'est pas toujours évident de déterminer qui l'on aime. On a pour habitude de penser que c'est la personne qu'on aime et non ses apparences. Or, il est difficile de saisir le moi, voir impossible. En l'occurrence, dans la vie sociale, s'en tenir au apperences serait -il plus sage de façon générale ? Voilà donc le problème exposé

Pascal S’il est vrai que l’amour est un thème universel de réflexion comme le montre notamment les littératures de toutes les cultures, s’il est assez facile de nommer qui on aime, il n’est pas évident de déterminer qui on aime. On a tendance à penser que c’est la personne qu’on aime et non ses apparences. Or, le moi qui constitue la personne est difficile, voire impossible à trouver. N’est-il pas dès lors sage de façon générale de s’en tenir aux apparences, notamment dans la vie sociale ? Tel

subtilité de la problématique tient à ceci que, bien qu'il existe des oeuvres d'art dit "conceptuel", nous savons qu'une oeuvre d'art s'adresse à la sensibilité. Que l'oeuvre "touche", autrement dit, et qu'elle ne s'adresse pas à l'intellect. On peut donc non seulement aimer (comme ne pas aimer) une oeuvre sans la comprendre, mais encore l'oeuvre d'art est-elle précisément faite pour cela. Le problème est que cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien à comprendre. L'oeuvre est au contraire un objet