Biodiversité marine

transformation des habitats, le changement climatique, les espèces envahissantes, la surexploitation et la pollution. A l'heure actuelle, dans la plupart des écosystèmes, la majorité des facteurs directs de dégradation des écosystèmes et de la biodiversité restent constants ou augmentent en intensité (voir la figure 4.3 {draw:a} [en]). Plus en anglais… 4.3.1 Les facteurs directs de changement les plus importants au cours des 50 dernières années ont été : Dans les écosystèmes terrestres : la

en + importantes exposées à la piraterie, étroite surveillance. Devant cette insécurité maritime, les états renforcent leur marine de guerre. Espaces exposés à la pollution : marées noires, rejets de substances toxiques, explosion de plate-forme off-shore… Surexploitation des ressources surpêche. La question du développement durable est posée : préserver la biodiversité des océans, lutter contre toutes les formes de pollution. Conflits d’intérêt entre la priorité environnementale et la recherche

important. les Hôtels ou restaurants rejettent souvent des déchets dans l'eau potable. Les bateaux de tourismes peuvent également polluer les eaux de mers. Cela peut en effet avoir un impact important sur l'environnement en empoisonnant les animaux marins. Les déchets rejetées en eaux profonde peuvent remonter en surface, sur le littoral, ce qui peut provoquer des dégâts sur la vie aquatique. Les bateaux qui rejettent des carburants dans l'océan peuvent provoquer la mort des animaux aquatiques. Selon

De ce fait le développement d’usine d’exploitations minières s’est accru durant ces dernières années. I-2 Les conséquences  * La déforestation provoque, en premier, la disparition de nombreuses espèces végétales et animales, ce qui réduit la biodiversité des milieux. Par exemple, les gorilles de montagne du Rwanda ou les lémuriens de Madagascar ont ainsi payé un lourd tribut à l'exploitation forestière. De 4 000 à 6 000 espèces animales et végétales seraient ainsi perdues chaque année. * L'exposition

d’eau occupent environ 1% de la superficie de la réserve, la plus grande surface en eau étant le lac de Tissongo. Formations géologiques et sols Le bassin sédimentaire dans lequel se trouve la réserve est formé de sédiments d’origine marine dont la profondeur peut atteindre 2,700 m ou plus. Ces sediments profonds ont été déposés par un courant Sud-Nord qui suit le long de la côte. Le processus de déposition a probablement commencé au crétacé et continue encore. Les sols varient de

complémentaires pour inscription éventuelle sur une liste de Systèmes Ingénieux de Patrimoine Agricole Juillet 2011 Table de matière Page II.I Site Tata 4 II.1.1. description 4 II.1.2 Biodiversité et sécurité alimentaire 5 II.1.2.1 Agro biodiversité végétale 5 II.1.2.2 Espèces animales 6 II.1.3 Biodiversité associés 6 II.1.4 Système de gestion de l’eau et du sol 7 II.1.5 Systèmes ingénieux et diversité culturelles 8 II. 1.5.1 Systèmes de culture 8 II. 1.5.2 Valorisation des plantes médicinales

de celui-ci. Les littoraux sont aujourd’hui des espaces particulièrement intéressants et recherchés par des géographes et aménageurs, du fait que les deux tiers de la population mondiale y logent. Les nouvelles possibilités de développement des marins et la complexité des enjeux littoraux tels que la pollution, l’urbanisation permanente et anarchique ont transformé les littoraux dans des espaces extrêmement sensibles. Leur maîtrise et aménagement deviennent de plus en plus difficiles face aux nombreux

peut être défini comme les actifs qui ne sont pas produits par les activités humaines, tels que l’air, l’eau, les forêts, la biodiversité, les roches, la faune, la flore, etc. L’activité économique vient affecter ces différents composants, soit en rejetant des polluants dans l’air, l’eau et les sols, soit en produisant des déchets, du bruit, de l’atteinte à la biodiversité, soit en prélevant des ressources rares ou en danger. 2. La croissance s’accompagne donc de destructions irréversibles car

antérieurement responsable de projets de développement rural, pêche et environnement dans des agences de l’AFD dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et centrale ainsi qu’à Madagascar. Son engagement dans la gestion durable des ressources naturelles, biodiversité, sol, forêts, eaux ou halieutiques a contribué à développer les financements de l’AFD dans ce domaine. Il développe actuellement la prise en compte de l’environnement de manière générale dans les opérations de l’AFD. 2 3 Capital naturel

entreprises, collecticités territoriales, gouvernements, institutions internationales ) face aux menaces qui pèsent sur les hommes et la planète ( inégalités sociales, risques industriels et sanitaires, changements climatiques, destruction de la biodiversité ).   Dates clés   • Stockholm ( 1972 ) : Constitution de la plupart des ministères de l’Environnement • Rapport Brundtland ( 1987 ) : Parution du rapport « Our common future » qui popularise le concept de développement durable.