Biographe

Madeleine Béjart, est signé. Des débuts difficiles En 1644, la troupe joue en province. En juillet ils sont de retour à Paris et Jean-Baptiste est devenu « Molière » et directeur de la troupe. Sur le choix de ce nom de scène, Grimarest, son premier biographe, écrit : « Jamais il n'en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs amis ». Selon certaines sources, ce pseudonyme aurait été choisi en l’honneur de l’écrivain libertin François de Molière (1599 - 1624)[7],[8]. La troupe joue au Jeu de Paume des

l’enquête qui lui a été confiée, le tout dans un suspense tenant. Ce procédé se retrouve dans ces ouvrages, le lecteur va en effet suivre l’enquête avec le détective par le biais du docteur Watson, le narrateur, qui se trouve être dans l’histoire, le biographe de Holmes. Le lecteur pourra ici réfléchir à l’enquête, avoir l’illusion de participer a l’enquête, non comme le ferait un simple spectateur. Cette notion est utilisée dans les titres à succès comme « Twilight » dans lequel une jeune et jolie étudiante

corps fut ramené à Stagire. Théophraste, son condisciple et meilleur ami, succéda à Aristote à la tête du Lycée. Le Lycée subsistera jusqu'en 529 après J.C., quand l'empereur romain Justinien Ier voulut mettre fin à la philosophie "païenne". Les biographes (surtout Diogène Laërce) décrivent Aristote avec un défaut : il bégaie ou bien il a un cheveu sur la langue. Il est petit, trapu, avec des jambes grêles, les yeux petits et enfoncés. Chose rare pour l'époque, il n'a pas de barbe. En revanche il

le fameux Almayer n’est pas davantage un compte rendu historique, ni même des souvenirs. Plutôt une scène de roman tôt constituée. Il n’y eut aucun contact entre Conrad et le vrai Lingard, qui allait inspirer celui de La Folie Almayer, disent ses biographes. Quant à Almayer, Conrad passe son silence son vrai nom, Olmeijer, et ne dit pas qu’il l’a connu surtout par ouï-dire. Leurs vrais rapports, selon John Batchelor, furent « très minces ». Comment prendre la présence si réelle d’Almayer, au chapitre IV

par ailleurs pour habitude de piller tous les lieux où ils allaient, telle une pratique de guerre. «Un jour, ses soldats enlevèrent d'une église, avec les autres ornements servant au culte, une urne d'une grandeur et d'une beauté magnifique». Le biographe nous décrit en outre le vase de Soissons comme une magnifique relique bien qu'il sembla qu'elle fut en réalité quelconque de par son apparence. Grégoire de Tours rajoute donc de la beauté à cette histoire bien qu'elle tienne son origine du pillage d'une

comme en témoignent les lettres qu’il écrit à cette période à Louise Colet, dure près de cinq ans – de 1851 à 1856 – et permet à l’auteur de perfectionner et définir son style littéraire. C’est avec cette femme avec qui, d’après Émile Faguet, son biographe, Flaubert eut sa seule et unique sérieuse histoire d’amour. Sa technique lui permet de montrer les illusions d’Emma et la banalité de ses rêves et de dénoncer avec ironie la médiocrité et des petits bourgeois provinciaux. Le roman, considéré comme

notamment Suétone dans ses écrits sur Auguste que l’on va étudier Suétone, de son nom latin C. Suetonius Tranquillus serait né vers 70 après J-C à Rome, et mort vers 122 après J-C. Il s’agit de l’un des principaux historiens et biographes de Rome antique, dont la vie est mal connue. On sait tout de même qu’il appartenait à une famille de l’ordre équestre et a obtenu un poste d’avocat sous Trajan, empereur romain de 98 à 117 après J-C. Il parvint ensuite à obtenir un poste de secrétaire « ab

Probablement à partir de mai 1593 environ, le Caravage est employé dans l'important atelier de Giuseppe Cesari, le Cavalier d'Arpino, lequel est l'un des artistes favoris du pape régnant, Clément VII. Il y travaille pendant huit mois environ ;selon son biographe Bellori (1672), sa principale tâche consiste à peindre « des fleurs ct des fruits », 1598-1600 Le 4 mai 1598, le Caravage est arrêté pour port d'épée en public, un privilège réservé aux nobles et aux gentilshommes. Dans sa défense, il dit qu'il

Madeleine Béjart, est signé. Des débuts difficiles En 1644, la troupe joue en province. En juillet ils sont de retour à Paris et Jean-Baptiste est devenu « Molière » et directeur de la troupe. Sur le choix de ce nom de scène, Grimarest, son premier biographe, écrit : « Jamais il n'en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs amis ». Selon certaines sources, ce pseudonyme aurait été choisi en l’honneur de l’écrivain libertin François de Molière (1599 - 1624)[5],[6]. La troupe joue au Jeu de Paume des

à Bénarès, le 28 février 1973, que les cendres de l'exploratrice du Tibet et de son fils adoptif le Lama Yongden ont été immergées dans le Gange par sa secrétaire Marie-Madelaine Peyronnet, et le Dalaï-Lama. Jean Chalon et Jacques Brosse, ses biographes, s'attardent longuement sur l'épopée exceptionnelle de " La femme aux semelles de vents " qui laisse derrière elle une trentaine d'ouvrages parmi lesquels : une autobiographie posthume (Le sortilège du mystère), de nombreux récits de voyages dont