Biographie Jeanne Duval

Commentaire rédigé de «Parfum Exotique» du recueil Les Fleurs du Mal De Charles Baudelaire Dans son recueil Les Fleurs du Mal, Baudelaire consacre une partie de son livre, à Jeanne Duval qui fut sa maitresse depuis leur rencontre en 1842. « Parfum Exotique » est le premier dans la section Spleen et Idéal. Ce recueil fut publié en 1857. Dans cette œuvre, l’auteur nous décrit de façon imagée et imaginée la femme, qu’il transforme en une ile exotique puis un port marin. Il convient de

du Mal. Recueil poétique condamné à sa publication pour « offense à la morale publique ». Dans ses poèmes, Baudelaire évoque à de nombreuses reprises des figures féminines, notamment Jeanne Duval, une jeune métisse qu'il surnomme sa Vénus noire. Le serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. C'est un poème hétérométrique composé de 9 quatrains dont le lyrisme est teinté d'un certain érotisme. I. Le portrait de la femme dans ce poème a. Une femme belle plastiquement

révolutionnaire. Il fonde un journal, le “Salut Public”, qui dure l’éspace de deux numéros. Mais le coup d’état de Napoléon calme ses ardeurs. Baudelaire se réfugie dans le dandysme. Sa vie est chaotique. Il a plusieurs liaisons sentimentales. Celle avec Jeanne Duval, la mulatresse séduisante mais d’une intelligence limitée, est longue et orageuse. Il tente plusieurs fois de se suicider. Il s’adonne aux “paradis artificiels”: haschisch, opium, vin, et il écrit beaucoup. En 1857 paraissent les “Fleurs du Mal”

III) jeanne duval On sait peu de choses sur cette femme, une mulâtresse qui hantera la vie et l’œuvre de Baudelaire des années durant. « C’était une fille de couleur, d’une très haute taille, qui portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d’une chevelure violemment crespelée, et dont la démarche de reine, pleine d’une grâce farouche, avait quelque chose à la fois de divin et de bestial. » C’est en ces termes que Théodore de Banville évoque la belle Jeanne dans ses Souvenirs

l'oeil par sa franchise étonne. » vers 7/8. Paronomase: "chaleureux","heureux";"tamariniers", "mariniers";"savoureux","vigoureux". Oxymore : « soleil monotone » Effets de sens 1. La progression du poème : Poème descriptif, il est adressé à Jeanne Duval qui est la maîtresse de Baudelaire (Noire - rencontrée en 1842). Vision intérieure provoquée par la relation amoureuse (« yeux fermés »), le Spleen atteint le poète dans le monde réel mais il essaye de s’en échapper grâce à la femme ; il refuse

petits poèmes en prose (= le Spleen de Paris), mais aussi Les Fleurs du Mal, publié en 1857 d’où est extrait ce poème intitulé « Parfum Je te donne ces vers … ». Ce 39e poème des Fleurs du mal clôt le « cycle de Jeanne », c’est-à-dire l’ensemble des poèmes inspirés par la mulâtresse Jeanne DUVAL, maîtresse et compagne durant vingt ans de Baudelaire. Ce sonnet, paru en avril 1857 dans la Revue française, propose un contraste saisissant entre le ton apaisé des deux quatrains et l’agressivité des deux

Le serpent qui danse Le Serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. Dans le poème, le «je» s'adresse à un «tu». Le « je » est le poète et le « tu » est Jeanne Duval, Charles Baudelaire s'adresse donc directement à elle et le tutoiement indique une intimité. Il y a donc une proximité dans le vécu mais aussi une proximité spatiale. L’importance du champ lexical du corps Strophe 1 : vision globale du corps Strophe 2 : chevelure, symbole de la féminité Strophe

l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Intro : → Charles Baudelaire (1821-1867) : grand poète menant une vie marginale et de bohème ; relation avec Jeanne Duval ; publication des Fleurs du Mal directement censuré ; poète torturé, malade et miséreux. → Correspondances est situé dans la première section « Spleen et Idéal ». Dans cette partie les poèmes sont consacrés à la condition du poète et à l'art

Maurice et a l'Ile Bourbon, sources d'inspiration de nombre de ses poemes. Son periple prend fin en 1842, date a laquelle il retourne a Paris sans pour autant avoir abandonne son quotidien dissolu. Il s'eprend d'une jeune actrisse mulatresse, Jeanne Duval avec laquelle il entretient une relation passionnelle. Neanmoins, sa famille ne cesse de s'alarmer des suites de sa tentative de suicide en 1845, mais aussi face a la maniere dont il dilapide son heritage: c'est pourquoi il est place sous tutelle

remit à sa place par la société. Mais il ne semble pas insatisfait de sa solitude qui le détend et lui apporte du calme et de la paix . Le serpent qui danse caractérise bien le sentiment amoureux puisque Baudelaire fait une déclaration d’amour à Jeanne Duval et fait aussi l’éloge de cette femme. Il utilise de nombreuses comparaisons «de ton corps si beau, comme une étoffe vacillante », « mer odorante et vagabonde aux flots bleus et bruns ». Baudelaire parle donc de tous les charmes de cette femme en