Biography William Wordsworth

literary background compare Blake’s “London” to Wordsworth’s “Composed upon Westminster Bridge”. The poems “Composed upon Westminster Bridge” by William Wordsworth (1770-1850) and “London” By William Blake (1757-1827) have the same subject: London. Although both poems cover the same subject, the subject’s approach is totally different: while Wordsworth shows the appearances and gives a positive view of London, Blake shows the hard reality and gives a very negative view. Blake’s “London” is part

poète Robert Southey de La Chute de Robespierre, et même son mariage . Il trouve tout de même sa voie dans la poésie. Il garde malgré tout ses convictions politiques, et commence à travailler pour quelques journaux. En 1796, il rencontre William Wordsworth, avec qui il va se lier d'amitié et avec qui, il va devenir précurseur du mouvement romantique anglais. Un an plus tard, tous deux décident d'écrire un recueil de poèmes Lyrical Ballads, qui sera publié en septembre 1798 par le même éditeur

la littérature anglaise, pour répartir le travail. La difficulté était de garder la parallèle français-anglais, mais surtout de ne pas perdre de vue le sujet et de répondre à notre problématique. Les textes que j’ai choisis sont ceux de William Blake - extrait de Songs of Experience, il s’agit de A Poison tree – et de Samuel Taylor Coleridge – extrait de Lyrical ballads, The rime of the ancient mariner et To nature. Dans ces poèmes j’ai découvert des éléments en rapport avec le caractère

Romantic poetry often seems to express an ecological point of view, preferring what nature can teach to what man has taught. William Wordsworth is one of the best English poets. His interest in nature is vital. He is shown as a wisdom figure and the guide to a pastoral consciousness we cannot afford to neglect. It is said that seeing through and not with the eye in ecology as the centrality of romanticism engenders a certain sense sublime. We will discuss the notion of ecology as the centrality of

technique: a third person narrator that follows Childe Harold; however, in the last two cantos the identity of the narrator and the hero’s one overlap when there is something important and subjective to say. Language: very different from William Wordsworth one, it is a complex language; the word choice follow the Augustan trend, he uses archaic and highly poetical words. He never arrives to use the poetic diction though. However, as well as W.W., the words he uses appeals our senses that activates

sonnets et des pièces et saynètes de théâtre. Rem : dans la deuxième moitié du 18ème siècle, on a un groupe d’écrivais les Lakiste dont le chef était William Wordsworth, ceux –ci se réunissaient chez lui, lui qui habitait près des lacs d’où leurs noms. On y retrouve Lord Byron, Marie Shelley, Shelley frère, Coleridge ainsi que William Wordsworth. Le théâtre de Shakespeare… Les comédies : Les tragédies : Les farces (+ ou – MA) Le songe d’une nuit d’été. a) Historiques : Henri 5, Richard

détaillés : George Austen, Cassandra Austen, née Leigh, James Austen, Edward Austen, Henry Austen, Cassandra Austen, Francis Austen et Charles Austen. Silhouette de Cassandra Austen, la sœur aînée et la meilleure amie de Jane. Le père de Jane Austen, William George Austen (1731-1805), et sa femme, Cassandra (1739-1827), appartiennent tous les deux à la petite gentry[17]. George descend d'une famille de tisserands en laine, peu à peu parvenus au statut de la petite gentry terrienne[18],[19]. Sa femme Cassandra

code] Enfance[modifier | modifier le code] Oscar Wilde est né au 21, Westland Row à Dublin (aujourd'hui le siège de l'Oscar Wilde Center (en), Trinity College). Il est le second des trois enfants de Sir William Wilde (en) et de Jane Francesca Elgee, de deux ans le cadet de son frère aîné William. Sa mère ne se départit jamais sa vie durant de son soutien à la cause nationaliste irlandaise, bien qu'elle restât fidèle à la tradition anglicane de ses grands-pères, tous deux pasteurs1. Elle s'enorgueillissait

qu'il appelle au chapitre 2, « un système continuel d'inhumanité »51. Esquisses de Boz, l'élection du nouveau bedeau, par George Cruikshank. L'association artistique entre Dickens et Cruikshank apparaît comme inscrite dans la veine de William Hogarth, d'autant que le sous-titre comprend le mot « Voyage » (Progress)52. Cruikshank, quant à lui, voit en cette histoire une sorte de nouveau « Voyage de Francis Goodchild », partie de la série parue en 1747, Industry and Idleness53. De plus,

revolved around the paint used by Basil Hallward instead of the painting itself. • The song "Dorian Gray" on the William Control CD, Noir (William Control album), alludes to the novel's story in its lyrics. The song implies that Dorian's life was one of utter loneliness, and he plans to willingly end it. Ultimately, it is implied he will go to hell. • In Tennessee Williams' A Streetcar Named Desire, Blanche DuBois' dead husband - who committed suicide after being confronted about his homosexuality