Biopiraterie

culturels et artistiques4, dénonçant la concentration des grands groupes de médias sur l'industrie culturelle telles que l'industrie musicale et l'industrie du cinéma, la marchandisation du vivant, s'opposant aux brevets du vivant ou à la biopiraterie, par exemple avec les brevets sur les gènes. la marchandisation du corps, notamment celui de la femme, pour désigner deux réalités différentes : la prostitution, mais aussi l'exploitation commerciale de son image (notamment par la publicité

des conflits entre intérêts économiques et valeurs morales (médicaments par exemple) apparaissent.  On peut donc s’interroger sur ce qui est brevetable, sur quelle durée et avec quel degré de généralité.  L’auteur propose d’assurer un accès aux médicaments dans les PVD, d’arrêter la biopiraterie et de protéger les  savoirs traditionnels.  3 ­ Comment exploiter les ressources naturelles dans l’intérêt de tous ?   Les  pays  dotés  en  ressources  naturelles  (riches  ou  à  plus  forte  raison  pauvres)  sont  confrontés  au  double 

pour les éventuels progrès de la connaissance induits par la découverte de ces gènes. En outre, la question des brevets de médicaments pose le problème de l'accès au soin pour les plus pauvres. Une législation mal adaptée pourrait conduire à la biopiraterie. Selon une déclaration de l'Unesco du 11 novembre 1997, le génome humain est un patrimoine de l'humanité et il ne peut faire l'objet de commercialisation. Le décodage du génome ne peut être breveté ; mais à partir de ce décodage, les applications

ressources génétiques ou l'accès à la justice en cas de différend55. La convention de 1972 de l'UNESCO sera utilisée pour aboutir sur un accord juste sur le partage des bénéfices résultants. La bio prospection peut devenir ce qui a été appelé biopiraterie quand ces règles ne sont pas respectées du tout. Conclusion Pourquoi protéger la biodiversité pour des raisons éthiques ou morales : toutes les espèces semblent issues d'un même processus évolutif, permanent. Toutes ces espèces ont droit

naturelles Man&Nature est donc une solution pragmatique pour enrayer la dégradation de la biodiversité. Man&Nature respectera et valorisera les savoirs ancestraux en protégeant les populations et la biodiversité de menaces spéculatives et de la biopiraterie, conformément au droit national et international (CBD). Avec le programme Man&Nature, Maisons du Monde soutient : Au Cambodge : Poh Kao, des tigres et des hommes Au sud du Parc de Virachey, sur une zone très riche en espèces emblématiques

variété améliorée… ces technologies atténuent bon nombre de retombées environnementales· tentative de capturer et de consolider la variété des systèmes de riziculture en un marché unique et rentable a eu lieu grâce à des méthodes telles que la biopiraterie directe des traits résilients les brevets illégaux et la centralisation des semences de riz dans les banques de semences des institutions de recherche internationales qui sont inaccessibles aux agriculteurs· l’imposition du riz doré GM agi comme

pour les éventuels progrès de la connaissance induits par la découverte de ces gènes. En outre, la question des brevets de médicaments pose le problème de l'accès au soin pour les plus pauvres. Une législation mal adaptée pourrait conduire à la biopiraterie. Selon une déclaration de l'Unesco du 11 novembre 1997, le génome humain est un patrimoine de l'humanité et il ne peut faire l'objet de commercialisation. Le décodage du génome ne peut être breveté ; mais à partir de ce décodage, les applications

bien-être humain ainsi qu’aux possibilités de réagir à ces changements. http://www.unep.org/maweb/fr/index.aspx, consulté le 22.05.13 18 Article 16.5 de la Convention sur la Diversité Biologique, Accords ADPIC de l’OMC 19 Le biopiratage, ou la biopiraterie, peut être défini par l'appropriation du vivant et la limitation de son exploitation par le dépôt de brevets. Le biopiratage menace à la fois la biodiversité le travail des petits producteurs, dans les pays en voie de développement. En effet, dans

socioéconomique de la biodiversité soulève également une autre question épineuse : la nature des droits de propriété applicables à la biodiversité67. Cette nouvelle vision des richesses de la biodiversité fait en effet craindre le développement des actes de biopiraterie, c'est-à-dire notamment l'appropriation abusive des ressources du vivant et des savoir-faire traditionnels généralement par le biais des droits de propriété intellectuelle68. Gestion de la biodiversité[modifier | modifier le code] Articles connexes

socioéconomique de la biodiversité soulève également une autre question épineuse : la nature des droits de propriété applicables à la biodiversité70. Cette nouvelle vision des richesses de la biodiversité fait en effet craindre le développement des actes de biopiraterie, c'est-à-dire notamment l'appropriation abusive des ressources du vivant et des savoir-faire traditionnels généralement par le biais des droits de propriété intellectuelle71. Gestion de la biodiversité[modifier | modifier le code] Articles connexes : développement