Biosécurité

institutions multilatérales (tq l'OMC) et sur les accord commerciaux. Le principe de précaution inverse la charge de la preuve : il ne faut plus prouver que c'est dangereux, il faut prouver que ça ne l'est pas. Le protocole de Cartagène sur la biosécurité illustre bien ces contradictions et les tensions qu'elles génèrent entre les institutions. Le protocole reconnaît à la fois : – le principe de précaution – les normes de l'OMC, comme la non-discrimination – l'exigence de “preuve

une valeur juridique a géométrie variable Le Protocole de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques relatif à la Convention sur la diversité biologique, plus généralement appelé Protocole de Carthagène sur la biosécurité, a été signé le 29 janvier 2000 dans le cadre de l'ONU, à la suite de la Convention sur la diversité biologique adoptée à Rio en 1992. Il constitue le premier accord international environnemental sur les OGM. Entré en vigueur le 11 septembre

ajouter des compléments alimentaires aux plantes. Les OGM sont mieux adaptés aux processus de transformation des IAA, car + résistants. Mais incertitudes de la science : principe de précaution mis en avant dans le protocole de Carthagène sur la biosécurité en 2000, signé par 50 pays. 1998 : l'UE impose un moratoire sur l'autorisation de nouvelles mises sur le marché de produits transgéniques. 2003 : elle autorise la commercialisation en fixant des règles de traçabilité. Autre source d'inquiétude

Panorama du secteur agroalimentaire et des importations de produits alimentaires en Nouvelle-Zélande 5 2 Les autorites neo-zélandaises intervenant dans l’importation de produits alimentaires 7 2.1 L’autorité de protection de la biosécurité 7 2.2 Les autorités de protection de la sécurité alimentaire et de la santé publique 7 2.2.1 Le New Zealand Food Safety Authority: responsable de la sécurité alimentaire 7 2.2.2 Le Regional Public Health Service: responsable

1954 — soient enfin remplacés, pour que de nombreux nouveaux textes soient élaborés et/ou publiés — tels la Charte du patient hospitalisé, les textes sur la lutte contre les infections nosocomiales ou sur l’assistance médicale d’urgence, sur la biosécurité, sur les normes alimentaires, sur la santé de la mère et de l’enfant, sur la médecine traditionnelle, etc. Mais il reste des textes à penser ou à repenser, comme le Code de déontologie des sages-femmes et des infirmiers, qui datent toujours de la

de phytopharmacie a été fermé. [5] Pour Jean-François Narbonne, « on assiste à une politique visant à l”éradication de toute activité de recherche en toxicologie, en particulier alimentaire ». Par exemple, les crédits alloués à la recherche en biosécurité étaient de 370 000 € de 1989 à 1991, de 300 000 € de 1992 à 1994, de 0 € de 1995 à 1997 [6]. Si l’ampleur de l’impact des OGM sur l’environnement et la santé est largement inconnu, c’est parce que les rares initiatives entreprises ont le plus souvent

(SPC3). Les principaux intervenants sont des entreprises locales plus ou moins affiliées par joint-venture à de multinationales. Ils utilisent des bâtiments fonctionnels où les normes zootechniques de production sont maîtrisées et les conditions de biosécurité assurées. De ces faits les 3 Société des Provenderies du Cameroun Projet OSRO/GLO/504/MUL “Emergency assistance for the control and prevention of Avian influenza” FAO -YAOUNDE 15 Grippe aviaire Première évaluation du secteur avicole du Cameroun

que des plantes génétiquement modifiées soient introduites et cultivées dans un pays sans l'accord préalable des autorités nationales. Le protocole de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques, appelé communément "protocole de biosécurité", est le premier Traité des Nations Unies qui réglemente les biotechnologies au niveau international. Après cinq années de négociations, il a été adopté en janvier 2000. Le protocole a eu force de loi pour ces Parties le 11 septembre 2003.

3- Critères d’acceptabilité concernant la société : bénéfice pour l’homme et usage à son profit d’animaux génétiquement modifiés ou clonés comme source d’organes de tissus ou de cellules ; il y a lieu de prendre en considération les mesures de biosécurité par un encadrement législatif ; les aspects économiques sont à prendre en considération ; les interférences religieuses relatives à la pureté ou l’impureté de l’animal. 4- Critères de sélection des patients  sont à envisager: la xénotransplantation

"exotic" virus infections L'utilisation de l'EM pour enquêter sur «exotiques» des infections telles que les fièvres hémorragiques n'a lieu que dans des centres spécialisés avec le plus haut niveau de confinement des agents infectieux (niveau de biosécurité 4). Les virus à partir d'un certain nombre de familles différentes avec des morphologies différentes peuvent causer de la fièvre hémorragique humains. Par exemple, le virus de la fièvre de Lassa est une cause arénavirus tout en Crimée-Congo Fièvre