Bit lit

fait, le médecin fut invité, par M. Rouault lui-même, à prendre un morceau, avant de partir. Charles descendit dans la salle, au rez-de-chaussée. Deux couverts, avec des timbales d'argent, y étaient mis sur une petite table, au pied d'un grand lit à baldaquin revêtu d'une indienne à personnages représentant des Turcs. On sentait une odeur d'iris et de draps humides qui s'échappait de la haute armoire en bois de chêne, faisant face à la fenêtre. Par terre, dans les angles, étaient rangés, debout

reproches : As-tu vu l’heure à laquelle tu rentres ? Il ne manquerait plus que tu te fasses enlever et que l’on nous demande une rançon ! File dans ta chambre ! aboya la méchante femme. La jeune fille monta dans sa chambre. Elle se jeta sur son lit à baldaquin et fondit en larmes. Puis soudain, elle se souvint des paroles de la fée : « cette baguette pourra t’aider… ». Elle saisit alors la baguette magique. J’aimerai qu’un peu de ma beauté aille à mon père et à ma mère pour qu’ils deviennent

mise en scène J’ai assez apprécié la mise en scène de « la dame aux camélias » par la troupe du « Bouffon théâtre ». Le décor était essentiel, mais en même temps il donnait un effet suggestif au jeu des acteurs. Il était en effet composé par un lit à baldaquin, des paravents, un miroir et des coussins. Aussi l’éclairage a contribué à la création d’atmosphères spéciales en augmentant aussi la participation du public aux sentiments des personnages. En ce qui concerne les costumes, je trouve qu’ils

pansement fait, le médecin fut invité, par M. Rouault lui-même, à prendre un morceau avant de partir. Charles descendit dans la salle, au rez-de-chaussée. Deux couverts, avec des timbales d’argent, y étaient mis sur une petite table, au pied d’un grand lit à baldaquin revêtu d’une indienne à personnages représentant des Turcs. On sentait une odeur d’iris et de draps humides, qui s’échappait de la haute armoire en bois de chêne, faisant face à la fenêtre. Par terre, dans les angles, étaient rangés

dans la chambre de Silvia, très lumineuse, avec une grande fenêtre où sur le rebord sont posées des fleurs. En face, son lit à baldaquin avec des draps roses pâles assortis aux rideaux. A droite, une immense armoire de chêne. Dans l’angle du mur où se trouve la fenêtre et du mur où se trouve l’armoire, une coiffeuse blanche avec un immense miroir. Au milieu de la chambre, entre le lit et la fenêtre une table de chêne avec deux chaises. La porte se trouve en face de l’armoire, elle est fermée. L’époque

toujours passionné. Lorsque la pièce a commencé, le décor m’a vraiment surpris: une mise en scène funeste mais à la fois moderne qui transmettait extraordinairement le décor d’un modeste appartement à Londres. Au centre de la scène, se dressait un lit à baldaquin fait avec des rideaux de douche. Au fond une cheminée, et plus près une table à l’envers et un modeste lavabo. Vers la droite, la scène était presque vide, il y avait juste une petite chaise. Les lumières utilisées accentuaient la scène

crépitaient toujours dans l'âtre du grand salon où les parents de Michel s'adonnaient à la lecture. Le soufflet que le notaire activait de temps en temps, symbolisait l'aisance de la famille. Michel se leva, alluma sa chandelle, regarda ce lit à baldaquin qu'il détestait tant. Il se rappelait la conversation qu'il avait eu avec son bisaïeul, disparu depuis peu: « Pourquoi dois-je subir toutes ces horreurs la nuit » lui avait-il demandé. Perplexe, le vieil homme essaya

main le trône. Les courbes de la robe en feuilles d’or, donne de la gaité dans ce monde de brute. La drap et l’architecture sont des représentations du gothique, on a du moderne dans de l’ancien qui le détache de la scène. Il apporte l’idée du lit à Baldaquin, on n’est plus dans un univers complètement religieux. Giotho est novateur de ces contemporains. Grand premier peintre de la renaissance. Saint-françois Assipalour. Début XIVème siècle. Il est nommé maître d’œuvre. Récit populaire

On y trouve un piano forte, une méridienne, un grand miroir, de simples chaises et toujours quelques portraits de lui-même ou encore de Madame de Warens. Sa chambre se trouvait à l’étage. Elle est petite mais très agréable, avec dans une alcôve un lit, une table, un miroir et un bureau qui lui permettait d’entreposer ses ouvrages en cours. Les murs étaient décoré de papiers peints fleuris fabriqués par morceaux que l’on collait bout à bout. Dans cette chambre il a écrit de nombreux livres comme « Confessions »

elle porte une robe de drap verte et ses cheveux sont maintenus par une coiffe blanche. Son visage est jeune et doux mais semble exprimer de la soumission (tête baissée). A leurs pieds, se trouve entre eux un chien. Au second plan, on observe un lit à baldaquin avec de lourds rideaux rouges, des meubles sculptés, un tapis, un lustre et un miroir qui fait objet d’une mise en abîme de la part de l’auteur au dessus duquel on distingue une inscription. La fenêtre, source de lumière avec le chandelier