Blame Paradoxal Ironique

l’éloge ironique du poète qui ne travaille pas, flatte inlassablement et publie le moins possible. Notre extrait se trouve au début du poème, juste après une courte captatio beneuolentiae où le Poète s’engage à « peindre l’Apollon courtisan » et commence à mettre en place l’ironie mordante qui caractérisera notre passage. Lecture Pbtique et annonce plan : Il est intéressant de se demander dans quelle mesure ce texte satirique s’inscrit dans la tradition rhétorique de l’éloge paradoxal. Pour étudier

L’éloge et le blame. L’éloge et le blâme sont argumentatifs dans le cas où chacun défend son opinion. Et 3 genres de discours datant de (l’Antiquité, Ve s. av. J.C) : - Judiciaire (établie la vérité) - Délibératif (Débattre) - Épidictique Il y a 2 genres de l’épidictique : - L’éloge - Le blâme I/ L’éloge C’est un discours par lequel un locuteur cherche à mettre des mérites en avant, à convaincre. Le Blason : C’est un genre poétique qui met en valeur la beauté physique (d’un

temps avec Baudelaire et Clément Marot. Et pour finir , nous verrons comment font les quatre poèmes pour parler de l'homme en tant qu'insignifiant . Nous remarquons que dans le poème de Somosate et de Lautréamont, les deux poèmes font l'éloge paradoxal d'un animal, ils le décrivent comme étant un animal avec de nombreuse qualité. Dans le poème > , le poète rajoute une qualité en plus au parasite au fil du poème . En premier lieu, le poète a écrit ce poème, en tant que démarche scientifique: une

dénonce-t-il la guerre ? Annonce de la réponse : le début du chapitre 3 se développe sous la forme d’un éloge de plus en plus grinçant qui dénonce les horreurs de la guerre. Développement : 1. Un éloge ironique. Le § 1 commence par un éloge des deux armées qui se révèle de plus en plus ironique jusqu’à la formule finale de la « boucherie héroïque ». L’éloge s’exprime par des hyperboles, renforcées par l’organisation phonique et métrique de la 1ière phrase qui connote la symétrie et l’euphorie :

contraste, lui même à la fois tragique et ironique, entre la description hyperbolique mais "réaliste" de l'accusé "pâle, hâve, défait...cachot" qui procède par effet d'accumulation et la phrase suivante "Il se donne le plaisir de l'appliquer..." : la précision des détails de procédure et son cynisme, la fausse légèreté du "après quoi on recommence". Et bien sûr l'allusion à la comédie de Racine... - La syntaxe,( asyndète et juxtapostion) renforce la tonalité ironique ((l5 à8, 11 à 14) par son aspect hâché

plaisirs de l’inconstance et de l’infidélité. En quoi ce texte fait-il l’éloge du libertinage ? Dans un 1er temps nous montrerons une apologie du libertinage et de l’infidélité puis un autoportrait paradoxal. I Une apologie d’une libertinage La tirade est construite, structurée : notre héros blâme tout d’abord l’amour unique et fidèle c'est-à-dire le mariage, et il loue l’inconstance qui est réprouvée. Il fait preuve de persuasion en s’appuyant sur un schéma argumentatif classique : il réfute

totale envers DJ, lacheté (parle ds dos DJ), instabilité, blâmeDJ, peur de DJ, aliéné à DJ, pédant (parle latin,ref culturelles), hypocrite ds sa relation ac DJ, ridicule, superstitieux. | Femmes sont des proies pour DJ. | | Acte1sc2 : éloge paradoxal de l’infidélité | Eloge infidelité, ≠mœurs, moquerie, justification de ses actes, charmeur, fidélité=mort, øpassion, cynisme, conquérant | Manque de mots, séduit par paroles DJ (compare à livre), choqué par comportement DJ, charmé par DJ (tout comme

Laurencin), le poète affirme sa conception de la poésie en 3 temps. Dans in premier temps il oppose monde moderne et ancien pour défendre une vision paradoxale et insolite de la modernité poétique , enfin il affirme un lyriqme tout à fait singulier. I- Un poème qui ouvre le receuil sur une opposition entre monde ancien et monde moderne 1-Blame du monde ancien - lassitude (v1,5). Expression d'une profonde lassitude à l'égard de ce monde périmé : répétition de "las , assez", effet d'insistance

caricature et dont elle dénonce les vices et les ridicules. L’ironie : qui s’appuie principalement sur le procédé de l’antiphrase, consiste à dire le contraire de ce que l’on pense. Ainsi, un éloge s’avère être en fait une sévère critique. L’écriture ironique qui englobe l’humour et l’absurde, crée une grande connivence avec le lecteur qui comprend qu’il doit chercher le sens du texte au delà du sens premier. C’est un instrument efficace au service de la critique. La parodie : c’est l’imitation comique

les vers 5 et 6, il y a une accumulation du registre pathétique (« petit enfant maigre, vieillard, pauvre ») ce qui nous rend plus concernés par les injustices sociales. De plus, au vers 8 et 9, Hugo effectue un transition en utilisant le registre ironique accentué par un parallélisme de construction « On se croît vertueux ! On se croît charitables ! ». Il effectue ici une attaque virulente au caractère polémique, contre la fausse charité de l'Homme. Aussi, Hugo, dans son réquisitoire contre l'orgueil