Blanchissement des coraux

Les Coraux TPE - Lycée Jean-Jacques Rousseau. Par Antony Ramos, Anil Taheraly et Antonin Torrente www.lescoraux.com copyright 2010-2011, tous droits réservés. « l’image alerte, l’écrit persuade. » Nicolas Hulot, États d’âme. www.lescoraux.com Page |1 Introduction... L e corail est un être vivant méconnue des hommes le voyant comme un symbole de tourisme et de commerce. Cependant, depuis très peu de temps, le voile sur cet organisme est levé. Des études poussées ont démontré qu’il

sols actuellement exploités extensivement (ce qui permet la survie d'une partie significative de la biodiversité ordinaire) seront convertis à l'agriculture intensive. La surpêche, la pollution, les maladies, les espèces invasives et le blanchissement des coraux pourraient causer la disparition de 60 % des récifs coralliens d'ici 203029. Ceci menace le fonctionnement de la planète et les économies et sociétés humaines conclue ce même rapport qui évalue qu'un scénario de statu quo conduira à une « perte

morte s’écroule sous l’assaut incessant des vagues et les attaques de parasites ou de prédateurs (bactéries, algues, champignons, coquillages, vers et poissons), la force de l’érosion des vagues sur la plage augmente de façon spectaculaire. Quand les coraux meurent, la plage finit elle aussi par mourir. Or, sur toute la planète, les récifs coralliens sont en train de disparaître par la faute de l’homme. Les raisons en sont multiples, mais l’une des plus importantes est le réchauffement de la planète

survie. Le réchauffent des eaux, lui, met en péril de nombreuses espèces animales ou végétales. Par exemple, la vie des coraux de la grande barrière de corail du Queensland dépend de la présence d'une algue. Celle-ci dépérit dans une eau plus chaude entraînant à son tour la mort des coraux qui l'entourent. Ils deviennent alors blancs ; on appelle ce phénomène le blanchissement corallien. Plus de la moitié des récifs coralliens du monde sont menacés ainsi que de nombreuses autres espèces aquatiques

peut citer l’ours blanc comme exemple emblématique. Sous l'eau, les colonies coralliennes sont en danger de mort : on constate leur blanchissement dans le monde entier. Les coraux vivent en symbiose avec des algues, les zooxanthelles microscopiques. Le changement (l'élévation) de la température provoque leur séparation, entraînant le changement de couleur des coraux. Sans elles les tissus du corail laissent apparaître son squelette. Leur appétit est réduit, leur croissance, leur calcification et

sols actuellement exploités extensivement (ce qui permet la survie d’une partie significative de la biodiversité ordinaire) seront converties à l’agriculture intensive. La sur pêche la pollution, les maladies, les espèces invasives et le blanchissement des coraux pourraient causer la disparition de 60 % des récifs coralliens d’ici 2030. Ceci menace le fonctionnement de la planète et les économies et sociétés humaines conclue ce même rapport qui évalue qu’un scénario de statut-quo conduira à une  perte

- Diminution des ressources - De plus en plus de stress hydrique (des personnes n’en ont pas assez) ii. Les écosystèmes - Disparition des espèces - Blanchissement des coraux iii. La production alimentaire - Le rendement des cultures aux basses latitudes baisse. - Le rendement des cultures aux moyennes et hautes latitudes augmente d’abord puis baisse ensuite

secteur et à faciliter les efforts mondiaux dans la lutte contre le changement climatique et la pollution atmosphérique. Conséquence élévation du niveau de la mer, modification des cycles de la végétation, recul des glaciers de montagne, blanchissement des coraux,...Le Groupe d’ Experts intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC) prévoit une aggravation des ces impacts, et notamment une aggravation et une multiplication d’événements extrêmes, comme les canicules ou des inondations à grande

marins périrent dans la marée noire (sans compter ceux pris au piège dans les lacs de pétroles formés dans le désert koweïtien (cf. infra)). Environ 20 % des mangroves de la côte est d'Arabie Saoudite subit la marée noire et environ 50 % des récifs de coraux. On releva aussi que des centaines de kilomètres carrés de prairie sous-marine nourrissant les tortues et les dugongs furent inondés de pétrole. Ailleurs, la côte iranienne fut touchée au nord sur une étendue moins grande, et la côte irakienne pratiquement

d’un risque de perte de 11% des aires naturelles du fait de la conversion en terres agricoles, du développement des infrastructures et du changement climatique, et de 60% des récifs coralliens (pêche intensive, pollution, maladies, « blanchissement » des coraux lié au réchauffement de la planète). Le coût annuel associé aux pertes de biodiversité et à la dégradation des écosystèmes serait selon l’étude comprise en 2008 entre 2 500 et 3 500 Mds$ par an au niveau mondial. L’ensemble des pertes