Blasphème

libre cours à ses instincts de duettiste. On le vit ainsi se quereller avec des auteurs aussi réputés que Molière et Scarron. Dans les années qui suivirent, Cyrano présenta deux pièces, « La mort d'Agrippine » (1654), tragédie qui fut suspectée de blasphème, et la comédie « Le pédant joué » (1654). Cette dernière fut d'abord reçue fraîchement à sa sortie, car elle était en dehors des canons du classicisme à la mode, mais sera plus tard appréciée à sa juste mesure à tel point que Molière s'en inspirera

 De plus, on  retrouve, pour ce qui est des champs lexicaux, on y retrouve beaucoup de termes liés aux fantasmes et  à la noirceur, qui sont en antithèse comme le démontre la citation suivante: ≪Relativement au rêve pur  [...] l’art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de  l’harmonie.≫L.11 Cette antithèse est très subversive car elle fait référence à la noirceur, donc la vie  nocturne qui était appréciée des symbolistes, mais détestée des bourgeois, elle a donc été utilisée pour 

le désignant de tout adjectif immoral « incommode », « malpropre », « dégoutant » désignant le dégout qu’éprouvait cette femme envers son mari. Elle poursuit sa description par une énumération en accumulation des défauts de ce dernier. Face à ce blasphème, Toinette répond avec une ironie par une antiphrase « Voilà une belle oraison funèbre ». Beline montre ainsi son vrai visage. D’autant plus que l’épouse ne convoitait les ressources et richesses du défunt depuis le début. Elle entraine sa servante

ce jeu cruel n’abouti pas, il semble avoir perdu mais il est bon perdant. Cette scène a montré l’aspect primordial de Dom Juan qui vit pour lui, comme si c’était sa dernière journée. Tout ce jeu révèle l’idéologie de Dom Juan dans la démarche du blasphème. II. la portée idéologique de la scène A. critique de la religion Cette scène est une critique ouverte de la religion, annoncée dès la scène précédente. Sans le dire l'attitude de Dom Juan prouve que pour lui Dieu n’existe pas. Il est paradoxal

Dieudonné, quant à lui, affirme ne pas s’interroger directement sur la façon dont le rire sera reçu par ceux qui en sont l’objet, ni sur d’éventuels sujets interdits : il aborde donc régulièrement des thèmes qui dérangent, il revendique le « droit au blasphème », pour lui le rire est libre. Dans l’ensemble la liberté est donc protégée juridiquement et revendiquée artistiquement. (ndlr : une petite formule générale qui synthétise très simplement en fin de paragraphe l’essentiel permet de mieux souligner

cœur pleins de sanglots » explique que le poète rit constamment, c’est un refus d’apparaitre pathétique. Il y a donc une simultanéité entre rire et pleurs : « le rire aux pleurs contigus». Il cite son meilleur ami comme « vert et nu », c’est un blasphème. L’anaphore de « je ris » accentue encore une fois l’omniprésence du rire chez le poète. La rébellion est particulièrement présente dans la dernière strophe. En effet le poète oppose un « rire hideux » à la mort, aussi terrifiant qu’elle. CONCLUSION

d'humbles tabliers, Sous sa coiffe de tulle et d'épingles légères, L'enfant ira, parmi les âmes étrangères, Fermer les yeux des morts, coudre le drap fatal, Ou, sous les crucifix des murs de l'hôpital, Au chevet d'un mourant dont la bouche blasphème, Pour lui dire : « Je suis votre sœur qui vous aime ! » Cette charité-là se nomme amour divin, Elle enivre les cœurs, plus forte que le vin. Père des charités, dont le Père pardonne, Jésus, ô doux Jésus, pour qu'enfin l'on se donne À

d'art et de la fonction de l'artiste ----> manifeste esthétique L'oeuvre d'art naît dans la souffrance et nécessite que l'artiste implore le divin 2 formes de divinités sont évoquées : le divine OPIUM ou le seigneur ; puisqu'il y est question de blasphèmes et de Te Deum, énumération et le champ lexical du divin dans la strophe 8 montre une grande variété et de multiples oppositions (extase + Te Deum+malédiction+cris+pleurs) descente, rappelle la diversité des messages des artistes (vers 41 et 44)

police. La mort est présente dans la pièce elle est vu comme une fatalité dans les deux dernières scènes avec la présence d’éléments surnaturels. Le spectre qui apparaît en femme voilée représente le déshonneur que Dj a fait aux femmes et son blasphème. La femme voilée qui se transforme en allégorie du temps avec la faux symbolise la mort et met l’accent sur l’accablement qui pèse sur Dj. DJ est un homme du présent qui vit au jour le jour sans se préoccuper de rien : il oublie le passé= les femmes

confrontation religieuse. • Grande diversité des personnages : • **** un Egyptien, • **** un Indien gangaride, • **** un habitant du Cathay, • **** un grec, • **** un Celte: c’est le français : grossier, ivre qui jure et blasphème, c’est un hâbleur : parle beaucoup pour rien. Plusieurs personnages d’avis contradictoires opposent leur opinion, Zadig intervient, les met d’accord, les réconcilie tous. Voltaire donne une image de marionnette de ces hommes. • _ L’image