Boileau Propos

était gâté, arrogant, et encore moins brillant ; ce qui l’insupportait de sa part, c’étaient plus ses railleries, sans compter celles de ses proches, dont La Bruyère a dû terriblement souffert. Nul, dans sa situation, ne s’en serait sorti indemne. À propos de la moquerie, La Bruyère propose une maxime touchante : « elle est celle qui se pardonne le moins ; elle est le langage du mépris, et l’une des manières dont il se fait le mieux entendre ; elle attaque l’homme dans son dernier retranchement, qui

aupremier abord, l'art a pour but la vérité. En effet, dès des débuts, son but était de représenter la réalité le plus fidèlement possible. Boileau n'a-t-il d'ailleurs pas dit " Rien n'est beau que le vrai " ?. Ainsi, les artistes les plus reconnus ont pendant longtemps été ceux possédant la meilleure aptitude à rendre le réel. Cependant, la représentation du réel signifie-t-elle pour autant l'accès à la réalité, la vérité ? Comment penser le rapport art / vérité sachant que le concept de vérité

exprime les sentiments des perso face a l'amour. Auteurs baroque : Théophile de Viau, Saint-Amant,.. -poésie classique : lyrisme, exprime les sentiments, les états d'ame. Bcp + rationnelle et plus technique. ( Jean de la Fontaine, Nicolas Boileau) . Nicolas Boileau a fait la théorie des regles du classique. 18. COMMENT EVOLUE LE THEATRE AU 17e ? -début du siècle : pas genre noble. Joué par des comédiens nomades devant public pop. Repertoire pauvre, surtt des pastorales -fin du 17e, considéré cô

Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers. Mais il fallait livrer bataille Et le Mâtin était de taille A se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. « Il ne tiendra qu'à vous, beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables

baroque Pour définir les deux tendances de cette inspiration poétique, on a inventé au XXe siècle la notion de baroque, par opposition au classicisme ; le mot baroque désigne à l’origine une perle de forme irrégulière. L’histoire de l’art l’utilisait à propos de la peinture, de l’architecture et de la sculpture, pour caractériser une esthétique où dominent l’irrégularité, le mouvement, la métamorphose et les contrastes de formes ; cette esthétique repose sur l’imagination, elle utilise volontiers les discours

situation. Nous savons donc que le père d’Emilie est mort à cause de l’empereur et que, pour se venger, elle utilise son amant Cinna qui est l’adjuvant et l’héros de l’histoire. De plus nous pouvons citer d’autres conventions qui sont énoncées par Boileau (XVIIe siècle) dans Art Poétique. Il énonce les notions de vraisemblance (pas de scènes irréelles, fantaisistes ou merveilleuses), de bienséance pour ne pas heurter le public et la règle des 3 unités qui facilitent la compréhension du spectateur.

théâtre sont aussi publiées sous forme de livres. A ce sujet, Molière, un grand comédien et écrivain de comédies du XVIIème siècle a écrit : ''Le théâtre n'est fait que pour être vu.'' En quoi le théâtre est-il un art visuel ? Nous discuterons le propos de Molière. Dans un premier temps nous étudierons le passage de l'écriture à la mise en scène d'une pièce de théâtre, puis dans un second temps nous étudierons la variété des personnages et l'importance du décor théâtral. I/ De l'écriture à la

que le fait qu’ils sont étrangers accentue les difficultés… Puis, -Rica constate la surpopulation Parisienne (l.6) « extrêmement peuplée » - se plaint des difficultés de circulation (l.7) « bel embarras » → référence à Les embarras de Paris de Boileau poème qui décrit avec humour le chaos des rues parisiennes Le rythme de vie des parisiens choque le persan - souligne l’agitation permanente des habitants (l.10) « ils courent, ils volent » de plus les verbes sont employés sans indication de destination

qu'il passe les conditions humaines de la connaissance. Il est cependant remarquable que la solution au scepticisme indissociable du pouvoir de l'esprit soit encore un usage du pouvoir de l'esprit. Dans Must we mean what we say ?, Stanley Cavell a, à propos de Samuel Beckett[17], des notations comparables à celles de Jean-François Lyotard sur la matière des mots. Les mots sont donc seulement les mots, d'une part, et, d'autre part, comme la figure de la séparation de l'homme par le langage, mais aussi

sensibles non seulement à la matière, au propos d'un texte, mais aussi à la manière dont il est écrit, aux procédés linguistiques et stylistiques qui y sont employés et à leurs effets. Nous cherchons, en fait, à former des lecteurs capables d'analyser, d'expliquer, d'apprécier des textes littéraires, tout en trouvant dans ces activités sens et plaisir; mais nous espérons, du même coup, en faire de personnes aptes à bien s'exprimer oralement et par écrit, à propos de littérature d'abord et, de là, en