Bonheur Antigone Créon

légitimité au droit positif. 1. L’exemple d’Antigone C’est peut-être Antigone, le personnage éponyme de la pièce de Sophocle, qui illustre le mieux l’idée de droit naturel. Créon, qui est l’oncle d’Antigone et investi du pouvoir dans la cité, a promulgué un édit interdisant d’enterrer son frère Polynice qu’on considère comme un traître. Antigone, qui a tout de même tenté de l’enterrer et qui a été prise sur le fait s’oppose à Créon : elle lui reproche de violer les lois divines au nom des lois établies

des études techniques demandant un maitrise de français, l’élève s’est senti indécis. Alors, il consulte son père qui avait déjà fait des études techniques. Celui-ci lui a servi de bon consultant. Enfin, ces parents n’agissent qu’au profit et au bonheur de leurs enfants. Or, certains enfants rejettent cette attitude en avançant qu’ils sont majeurs et mûrs, instruits et capable de se décider eux-mêmes sans consulter aucune personne plus particulièrement, si cette personne veut imposer ses propositions

qui qualifient la nature sont : « un temps superbe, ensoleillé et modérément chaud », « un vent frais et joyeux » et « la jeunesse, la splendeur du soleil, la fraîcheur de l’air ». Ce ne sont que des éléments très positifs. La nature est un lieu de bonheur et de réjouissance. La vision donnée est quasiment paradisiaque. 3- La nature produit sur Vladimir un effet contraire à celui souhaité. Vladimir espérait « ruminer son chagrin » et « s’abandonner à la mélancolie ». Mais au contact de cette nature

qui est présent dans notre société et va donc représenter le mal. Nous pouvons ensuite prendre pour exemple Antigone qui est l’histoire d’une fille nommée Antigone, qui refuse que la dépouille de son frère soit laissé à l’abandon sans qu’il soit enterré. En revanche c’est l’ordre du roi, son oncle. La désobéissance d’Antigone va la pousser à recouvrir le corps de son frère. L’empereur Créon, son Oncle va donc n’avoir aucun autre choix mais de l’exécuter. Cette pièce met donc bien en scène un conflit

qu’il a épousée était sa mère. Puis, « face à tant d’horreur, il se crève les yeux ». ( Ce qui définit le genre pour Aristote c’est donc le renversement de fortune du héros. Il ne centre plus la tragédie autour du chœur mais du retournement entre bonheur et malheur. Donc une tragédie doit aboutir à une catastrophe qui a lieu à la fin des pièces. Mais, selon Aristote, toute la pièce doit tendre vers le renversement. La bonne tragédie c’est quand le muthos est un engrenage qui mène au renversement.

d’Apollon. Euripide, avec les Phéniciennes, replace, lui aussi, l'histoire d'Œdipe dans un contexte plus large : les malheurs d'Œdipe forment le maillon d'une chaîne qui remonte à Cadmos, fondateur de Thèbes, et se continue avec Étéocle et Polynice. (Créon forme une conjuration contre Œdipe, qu'il considère comme un usurpateur. Il s'arrange pour le convaincre du meurtre de Laios et le fait aveugler; Peribœa, femme de Polybos, vient annoncer la mort de son mari et son récit de la découverte d'Œdipe

profitent donc qu’à minorité; influence du droit par reconnaissance des droits sociaux (lois 3ème République + préambule Constitution 1946). Troisième mouvement dans retour à individu mais cette fois individu incarné = droit à la différence ou au bonheur. Importance croissante des droits fondamentaux à cause place Conseil Constitutionnel CEDH. La reconnaissance de ces droits reste très générale mais entraîne des conséquences très concrètes. Du droit au respect de la vie privée (art. 8 CEDH), la

 Puissance   évocatrice   aussi   dans   le   sens   qu’il   a   le   pouvoir   de   captation   de   notre   imagination,  nous  lui  associons  tous  nos  désirs,  «  tout  bonheur  matériel  repose  sur  des   chiffres  »  constata  Honoré  de  Balzac,  ainsi  il  laisse  lieu  à  toutes  les  rêveries.  Parce  qu’il   en  a  la  caractéristiques,  avec

défi qui la met en danger. Elle le sait et fait face. Contrairement à Antigone, elle semble ne pas respecter les morts dans un premier temps alors que c’est tout le contraire. Electre défie Egisthe comme Antigone défie Créon. Voilà deux femmes qui s’opposent seules au pouvoir politique incarné par un dictateur. Pourquoi Electre est-elle heureuse ? Elle est heureuse parce qu’elle sait, pour l’avoir appris d’Oreste, que le bonheur existe ailleurs (Corinthe). Les gens sont partagés : certains crient

talon n’a pas été immergé et demeurait sa seule faiblesse : Pâris le tue en l’atteignant au talon lors de la Guerre de Troie. Age d’or: (Antiquité grecque). Premier âge de l’Humanité pour les Grecs et les Romains. L’âge d’or est marqué par le bonheur et la paix (règne de Cronos) ; l’âge d’argent rendit le travail nécessaire (règne de Zeus) ; puis vinrent l’âge d’airain et de fer où les hommes connurent les guerres et les famines. Amazones: Dans la mythologie grecque, peuple de femmes guerrières