Bonheur Et Oubli Nietzsche

Technique comme Fin en soi B. La Culture Technique comme Aliénation 1. De l’« Homo Sapiens » à l’« Homo Faber » 2. Le Travail et la Dialectique de la Liberté et de la Servitude III. LE TRAVAIL, LA TECHNIQUE ET LE BONHEUR 1. La Nature et le Travail : la Question du Bonheur 2. Le Bonheur dans le Travail par la Technique ? CONCLUSION : « Science et Technique : Indépendance(s) et Interdépendance(s) » INTRODUCTION GÉNÉRALE ET PROBLÉMATIQUES §1. Définitions (préliminaires) : – Le Travail : c’est l’activité

éthique », pas seulement une vie responsable, mais une vie où la visée du bien nous change : une vie libre pourrait alors être animée par le souci du bien ou la vertu. On le constate aisément, l’éthique a quelque chose à voir en profondeur avec le bonheur et la liberté. Pourquoi cependant faut-il que la morale s’impose comme obligatoire, comme une sorte de contrainte intérieure à laquelle nous ne parvenons pas à échapper ? Distinguer contrainte et obligation. Pourquoi la morale s’impose t-elle sous

syndicale) qui englobe les sujets et les confond, le rapport immédiat et direct avec le seul visage de l’autre, face à moi, me révèle, dans ce visage même, une loi morale : « Tu ne tueras pas ». Tout effacement d’autrui dans un « nous » fusionnel oublie ce commandement, qui fonde l’humanité. Ce n’est donc qu’en percevant autrui dans sa distance et sa solitude que la signification dont il est porteur m’apparaît : il suscite en moi l’accès à la première exigence éthique. C’est en cela qu’il concourt

l’aspect du travail – c’est-à-dire de ce dur labeur du matin au soir – que c’est là la meilleur police, qu’elle tient chacun en bride et qu’elle s’entend vigoureusement à entraver le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance » (Nietzsche, Aurore, Idées-Gallimard). 11. Complémentarité du travail et du loisir ? Transition : Le loisir peut-il apporter une réponse aux multiples problèmes du travail et constituer une sphère de liberté et d’épanouissement ? Les pros : Loisir =

II- La philosophie morale kantienne et sa différence avec la philosophie morale des Anciens (ou : les rapports entre bonheur et moralité) A- Identité Bien/ bonheur B- Est-ce une morale du "sentiment ", comme le voudrait l’interprétation kantienne ? III- Eléments pour critiquer la conception kantienne de la moralité A- L’évacuation du bonheur de la vie morale est-elle vraiment pertinente ? B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ? C-

vrai, il dépend uniquement de la vérité car savoir quelque chose de faux n’est pas savoir. Au contraire, la croyance peut être parfois vraie parfois fausse, le contenu de la croyance n’est pas déterminée par la vérité mais l’utilité. On peut aussi oublier une croyance alors qu’un savoir ne s’oublie pas.La croyance et le savoir ont un rapport avec la conviction : La conviction serait pour Gorgias la source de la croyance. Mais le savoir est causé par la conviction, elle en est conséquence.Utilité →

philosophique à l’exaltation de la violence sexuelle. Il explique que la nature fait l’homme libre, il y a une liberté naturelle, être libre c’est jouir de l’existence et des êtres, donc c’est forcément être égoïste, c’est immoral. Etre libre c’est oublier une loi naturelle qui pourrait abîmer sa liberté. L’individualisme soumet l’humanisme. ii. Max Steiner L’unique et sa propriété (1844) il se moque de la philosophie des droits de l’homme qui ne poussent pas l’individualisme jusqu’au bout. Car

ferai néanmoins deux reproches principaux à l'auteur: Le premier concerne l'idée sans cesse réaffirmée que seul le philosophe s'intéresse efficacement aux grandes thèmes de l'univers (par opposition aux scientifiques, principalement). Il semble oublier qu'aux temps des grands penseurs grecs, la science, les mathématiques et ce que l'on appelle actuellement philosophie formaient un tout. Thalès, par exemple, était autant mathématicien que philosophe. Ce n'est que récemment que ces deux branches de

plus se reconnaître dans une justification du travail de l'ordre d'une obligation sociale, (texte) de l'effort et du sacrifice. Pour Gilles Lipoveski dans Le Crépuscule du Devoir : "L'avènement de la société de consommation de masse et ses normes de bonheur individualiste ont joué un rôle essentiel : l'évangile du travail a été détrôné par la valorisation du bien-être, des loisirs et du temps libre". Ce sont les valeurs hédonistes qui mesurent toutes les autres valeurs, si donc le travail doit conserver

qu’un traitement adéquat des questions politiques exige qu’on se soustraie à toute considération d’ordre moral. Sade quant à lui démontre que ce que la nature nous enseigne, ce sont les vices, les débordements de la sexualité et de la violence. Nietzsche, enfin, entend constituer une généalogie de la morale en montrant que nos conceptions du bien et du mal sont les interprétations et évaluations d’un homme-esclave qui craint la puissance de la vie. On peut enfin relever une troisième voie de la critique