Bonheur Progrès Sciences

siècle des lumières est né de l’accélération des découvertes scientifiques et des grands voyages, entraînant une révolution de la pensée. Ce courant culturel et philosophique européens du 18ème siècle est fondé sur la foi dans la raison, le progrès et le bonheur. Il illustre par son combat contre les préjugés et l’intolérance. Contexte historique et social : → Mort de Louis 16 et la régence (1715-1723) sont vécu comme une libération = société à soif d’idées neuves et de nouveaux horizons. →

morale commande » et par éthique tout ce qu’on fait par sentiment ou par amour « l’éthique recommande ». Il y en va autrement pour la bioéthique qui est un concept nouveau qui trouve son sens dans la réflexion sur les dangers et les progrès des sciences et des techniques. La bioéthique est un espace d’interrogation sur les OGM, le clonage, sur l euthanasie. Ainsi, voila camper les différents concepts qui ont tous le même objet : le bien. LA MORALE RELIGIEUSE

religion Voltaire est déiste, Diderot et Helvétius sont matérialistes (proches de l’athéisme). Le plus connu pour son engagement est Voltaire (affaire Calas), mais tous sont, à leur façon, des militants engagés. C. Valeurs des Lumières (raison, bonheur, liberté) La raison : les penseurs du siècle des Lumières cherchent à fonder leur propre morale, avec leurs propres repères. Certains, comme Voltaire et Montesquieu, mettent en avant le libéralisme économique, la liberté en politique, mais aussi

monde. Son auteur, le philosophe Hans Jonas, y entreprend une tâche ambitieuse : combler le « vide éthique » auquel nous confronte aujourd’hui l’accélération du progrès scientifique, « progrès » devenu lourd de terribles menaces. Selon Jonas, un tel projet ne peut être mené à bien qu’en rompant précisément avec l’idéal du Progrès, comme avec toutes les formes d’utopie morale, sociale ou historique. Il ne s’agit plus de savoir quel avenir nous voulons, mais de savoir si nous voulons tout

SautelLa technique fait-elle le bonheur de l’homme?La voiture a révolutionné la vie de l’homme au depuis sa globalisation, elle lui permet de se déplacer plus loin et plus vite lui autorisant plus de confort. Cependant, l’automobile est devenue une nuisance sonore, visuelle et environnementale. Ce paradoxe technologique nous pousse à nous demander si la technique fait vraiment le bonheur de l’homme. Tout d’abord nous étudierons l’effet de la technologie sur le bonheur, ensuite nous verrons que les

désobéissance civile. Contrôle social (formel, informel) : * la loi comme espace de liberté : * sanctions positives (récompenses, valorisation, gratification) et sanctions négatives (réprimandes, exclusions, amendes, privations de liberté) : * science et opinion publique : * respect des réglés : rôle du juge de l’arbitre : * les rencontres sportives comme exemple de structure comportant droits devoirs, rôles sociaux. Le rôle des innovations scientifiques ou techniques dans l’acquisition

sublimation II. Le malaise dans la culture (1930) III. L’avenir d’une illusion (1927) I. Les principes Freud est médecin. Il se voit comme un scientifique. Les années 30 sont les années scientistes où on entre dans la science. Il est partisan de la rationalité, de la science. Il est un chercheur et s’inscrit donc dans la lignée des Lumières. C’est un descendant du « connais-toi toi-même » de Socrate (« ne te prends pas pour ce que tu n’es pas, fais attention à la démesure »). Freud a toujours

Lumières : 3 idées * La raison Les sciences donnent un modèle de rationalité (dans toutes les sphères de la société) * L’individu La modernité invente l’individualisme. On entre dans une société où l’individu devient une valeur fondamentale. On reconnaît la liberté individuelle. * La liberté L’individu raisonne selon sa raison propre (cf. Kant) – liberté individuelle, liberté des peuples Trois idées qui se nouent dans une philosophie du progrès. On pense que la rationalité de la société

conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne. Chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais

conflits, de paix, de bonheur, où tout fonctionne à merveille et sans dissonance, où il règne la splendeur, le raffinement et où tous les sens sont émerveillés : la vue, l’odorat (épices), l’ouïe (musique), le toucher (duvet), le gout (la fontaine à liqueur). C’est un monde de profusion et d’abondance (l. 22). Par ailleurs, ce monde est caractérisé par la splendeur des matériaux, mais il exalte également le plaisir des sens et l’intellectuelle avec le palais des sciences : la science et l’art sont glorifiés