Booz Endormi

predilections. He loved the picturesque, the heroic, the enormous, the barbarous, the grotesque. Hence Éviradnus, Ratbert, Le Mariage de Roland. He loved also the weak, the poor, the defenceless, the old man and the little child. Hence Les Pauvres Gens, Booz endormi, Petit Paul. He delighted in the monstrous, he revelled in extremes, and he had little perception of the lights and shades which make up ordinary human character. Neither his poems nor his romances show much trace of that psychological analysis

finit par f  » … Le zeugme consiste à mettre sur le même plan syntaxique des éléments appartenant à des champs sémantiques différents : « Vêtu de probité candide et de lin blanc » (Hugo, Booz endormi ) ; « Cette musique est précisément celle qu’il faut à mon cœur et à mes poumons » (Rousseau, la Nouvelle Héloïse ) ; « Vous désirez ? me demande-t-elle en souriant et en espagnol » (San Antonio). VII

« de nombreux végétaux et certains poissons ont une durée de vie illimitée ». Il découvre aussi, à travers la poésie de Victor Hugo, d’augustes vieillards auxquels il peut s’identifier avec enthousiasme. Ainsi se réfère-t-il souvent au personnage de Booz, un vieillard, vénérable certes, mais surtout vigoureux et, à son âge, capable de procréer puisqu’il passe pour être à l’origine de la maison de David. Enfin il convoque, l’Histoire la plus récente et la plus sanglante pour témoigner de son talent

Souvenir de la nuit du 4, L’expiation : Il neigeait…/Waterloo) Les Contemplations (1856) (« Demain, dès l'aube... », À Villequier, Le Mendiant, Ce que dit la bouche d'ombre) La Légende des siècles (1859-1883) (La conscience : Caïn, Booz endormi, L'aigle du casque, Les Pauvres gens). La poésie parnassienne (seconde moitité du XIXème) C'est du sein même du romantisme, avec Théophile Gautier (1811-1872), ancien compagnon de hugo, que nait le Parnasse. Le Parnasse est un mouvement

deux ! - Souvenir de la nuit du 4 - L'expiation : « Il neigeait…/Waterloo ») - Les Contemplations (1856) (Demain dès l'aube… - A Villequier - Le Mendiant - Ce que dit la bouche d'ombre) - La Légende des Siècles (1859-1883) (La conscience : Caïn - Booz endormi - L'aigle du casque - Les Pauvres gens). Gérard de Nerval (1808 – 1855), dense et mystérieux : Les Chimères ------------------------------------------------- Le Parnasse[modifier] En réaction contre l'effusion égocentrique du romantisme, un

Littérature André Breton, Nadja Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles Erri de Luca, Montededio Grégoire Delacourt, La Liste de mes envies Robert Desnos, « J'ai tant rêvé de toi », Corps et biens Fatou Diome, Le Ventre de l'Atlantique Victor Hugo, Booz endormi, La Pente de la rêverie Martin Luther King, I have a dream La Fontaine, « La laitière et le pot au lait » ; « Les Souhaits » Haruki Murakami, 1Q84 et Kafka sur le rivage Nerval, Aurélia Georges Perec, Les Choses Arthur Rimbaud, « Rêvé pour l'hiver

le jeu vain des rimes et pure complaisance envers soi, s’égaie des autres et de lui-même. Les confidences allusives Dans le poème, la confidence, pour dérobée qu’elle soit, n’en regroupe pas moins l’intention globale du texte. Par exemple, « Booz endormi » de Hugo, développe le dessein de Dieu, mais laisse s’esquisser le face à face de l’homme et de la femme : intrusion de l’humain dans le sacré. Les confidences enfouies Mallarmé « Apparition » : ce poème de la dévotion amoureuse s’est détourné

un seul exemple emblématique de métaphore filée en rendra compte : « (Ruth se demandait …) Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel été / Avait, en s’en allant, négligemment jeté / Cette faucille d’or dans le champ des étoiles », (Victor Hugo, Booz endormi). Le poète artiste Le souci de la forme est bien sûr constant chez les poètes et des règles prosodiques s’élaborent peu à peu aux XVIe et XVIIe siècles (compte du « e muet », diérèse/synérèse, césure, pureté des rimes…). Cette importance accordée

tout entier domine l’idée de privation, de l’affirmation d’un manque (“je suis”) c’est à dire que le locuteur est ce qu’il n’est pas. ce “je” triomphal est donc privatif: le locuteur est privé de lumière, d’épouse, de consolation. Cela rappelle Booz endormi de Victor Hugo: “je suis seul, je suis veuf, et sur moi la nuit tombe.” Comme dans ce vers, la perte s’affirme de façon très forte avec la perte centrale de la femme (et la forme très brève de “veuf”). Les accents sont très réguliers; le rapprochement

Souvenir de la nuit du 4, L’expiation : Il neigeait…/Waterloo) * Les Contemplations (1856) (« Demain, dès l'aube... », À Villequier, Le Mendiant, Ce que dit la bouche d'ombre) * La Légende des siècles (1859-1883) (La conscience : Caïn, Booz endormi, L'aigle du casque, Les Pauvres gens). Nerval * Gérard de Nerval (1808 – 1855), dense et mystérieux : * Les Chimères (1852) (El desdichado) ------------------------------------------------- Le Parnasse [modifier] En réaction contre