Borges Fictions

Dissert Il correspond à une personne, persona, identité ou entité dont la création tire son origine dans un travail ou un rôle d'œuvre de fiction. En plus de personnes, les personnages peuvent être des entités extraterrestres telles que perçues dans la culture populaire, des animaux[1], des divinités, une intelligence artificielle ou plus rarement, des objets inanimés. En latin, persona est le terme employé pour désigner le masque de l’acteur et le suffixe « -age » provient du verbe agere : agir

Une fiction est une histoire fondée sur des faits imaginaires plutôt que sur des faits réels. Les personnages qui y sont décrits sont dits « personnages fictifs »[1]. Une œuvre de fiction peut être orale ou écrite, du domaine de la littérature, du cinéma, du théâtre ou de la radio. Étymologie Le mot fiction vient du verbe latin « fingere, fingo, is, fixi, fictum », signifiant « manier », « toucher », « caresser » (en pressant), « composer », « coiffer », « friser », « modeler », « feindre

à Paris, Ils ont projeté aux ingénieurs et industrielles le 1er film court de 2mn «  la Sortie de l'usine Lumière à Lyon et aussi d’autres films comme l'Arroseur arrosé, le Repas de bébé. * En 1902, Georges Méliès signe le 1er film de science-fiction le Voyage dans la Lune, Méliès réalise plus de 500 courts métrages, souvent peints à la main, entre 1896 et 1913. * Dans les années 1900, les premiers producteurs indépendants de la côte Est tournent des petites bandes de 7-10 min dans la campagne

ses romans (Fahrenheit 451) a été adapté au cinéma par François Truffaut. Cette reconnaissance est sans doute due au fait que Ray Bradbury se situe en marge des courants de la Science-fiction classique. En effet, surnommé le "poète de la science-fiction", Ray Bradbury a le plus souvent produit une science-fiction qui non seulement ne se base pas sur la science et la technologie mais même dénote une certaine méfiance envers celles ci, à une époque où d'autres auteurs louaient les progrès scientifiques

Le personnage romanesque I. Les personnages romanesques : Les personnages ont un nom, une identité, un statut social. Le héros, ou personnage principal, se distingue des personnages secondaires par son importance, son parcours, de sorte que le narrateur semble fixer son attention sur lui seul. Le narrateur - omniscient - semble le suivre partout où il va. Il s’agit d’un choix du narrateur : s’il avait décidé de suivre un autre personnage, le lecteur aurait eu affaire à un tout autre roman.

satire, l’ironie et un vocabulaire spécifique pour critiquer l’intolérance, l’injustice, la vanite, et l’orgueil des hommes. En utilisent le genre d’une compte philosophique il peut facilement transmettre ses idées par la création des personnages de fiction qui ont un regard objectif. Je pense que cet extrait est très bien écrit parce que j’ai acquis une meilleure compréhension du style de Voltaire qui m’a permit de explorer les thèmes du roman en détaille et donc j’ai pu mieux apprécier cet œuvre et

Narrateur et point de vue Le lecteur peut être surpris de découvrir dans le dernier chapitre de «La Peste», la réelle identité du narrateur, qui n’est autre que l’un des personnages mis en scène dans le roman. I - Le narrateur Dans le premier chapitre, le narrateur avoue que son rôle l’a amené à recueillir les confidences de tous les personnages. Le narrateur a donc un rôle central. Dans ce livre, un seul personnage incarne cette définition : Bernard Rieux. PB : Pourquoi Camus a-t-il

Avec Bel-Ami, Guy de Maupassant critique le Paris qu’il connaît bien, dirigé par l’Argent, la Presse et la Politique. Il prend comme héros un homme qu’il suivra dans sa réussite sociale. Ce héros existe, nul besoin de l’inventer ; il est comme ceux que Paris porte dans une ascension très rapide. "Bel-Ami" est un roman positif, l’histoire d’une réussite sociale. Cependant l’ouvrage dénonce sous la forme d’une satire bien trempée, un Paris porteur de gentilshommes semblables au héros : Georges Duroy

La part de l’autre Personnages : Adolf H. : L’auteur de ce livre, Eric Emmanuel Schmitt, écrit 2 histoires en parallèle. L’une sur Adolf Hitler, le personnage historique et l’autre sur Adolf H. un personnage imaginé par l’auteur. Donc en 1908 Adolf H. et Hitler sont une même personne, un même homme -ou plutôt un adolescent. Ils sont ce jeune orphelin qui fut choyé par une mère entièrement dévouée morte trop jeune, et méprisé par un père alcoolique et violent. Ce jeune orphelin aussi malheureux

qui, au xviiie siècle, est associée à la mystérieuse civilisation inca, mais aussi au Pérou et ses mines d'or. Dans l'imaginaire du lecteur, ce voyage est de toute façon en rupture évidente avec la civilisation occidentale. Les romans de science-fiction jouent souvent sur un dépaysement dans les deux dimensions, en présentant des mondes extraterrestres, dans un contexte de conquête intersidérale. Il appartient alors à l'écrivain de donner une cohérence à cet univers, en évoquant non seulement l'espace