Boris Souvarine

l'élite bureaucratique étaient nettement plus favorables que celles de la masse ouvrière. La paysannerie était la grande perdante de ces inégalités avec des conditions d'existence très fragiles et, à certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les menchevik avaient en premier parlé de léninisme pour contester

l'élite bureaucratique étaient nettement plus favorables que celles de la masse ouvrière. La paysannerie était la grande perdante de ces inégalités avec des conditions d'existence très fragiles et, à certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les menchevik avaient en premier parlé de léninisme pour contester

l'élite bureaucratique étaient nettement plus favorables que celles de la masse ouvrière. La paysannerie était la grande perdante de ces inégalités avec des conditions d'existence très fragiles et, à certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les menchevik avaient en premier parlé de léninisme pour contester

par celle de la CGT en 1921, avec la formation de la Confédération générale du travail unitaire (CGTU), de tendance communiste. En 1920 au congrès à Tours, une majorité des militants socialistes de la SFIO, emmenés par Charles Rappoport et Boris Souvarine, décident de s'affilier à la Troisième Internationale, fondée à la suite de la Révolution d'octobre. Le Parti communiste français, qu'on appelle alors Section française de l'Internationale communiste (SFIC) est ainsi créé : il se proclame bolchevique

il jettera les bases du néo-français caractérisé par une syntaxe et un vocabulaire typiques du langage parlé et par une orthographe plus ou moins phonétique. Il reconnaîtra l'échec de se projet. Il collabore à la revue La Critique sociale de Boris Souvarine, puis au quotidien L'Intransigeant. C'est en 1933 qu'il publie son premier roman, Le Chiendent. Ce roman lui vaudra la reconnaissance de quelques amateurs qui lui décernent le premier prix des Deux-Magots de l'histoire. Queneau entre en 1938 aux

dont elle prit parti. Elle écrivit plusieurs articles sur ce mouvement. Dès cette époque, elle se montra très critique à l'égard du marxisme, tout en se rangeant résolument du côté du monde ouvrier. À la fin de 1932, sa rencontre avec Boris Souvarine, communiste hostile à Staline, la renforça dans ses convictions politiques, à la fois opposées à la bourgeoisie et au stalinisme. Fils d’ouvrier, ce selfmade men fut un militant communiste jusqu'aux années 1930, il a été un critique célèbre

l'élite bureaucratique étaient nettement plus favorables que celles de la masse ouvrière. La paysannerie était la grande perdante de ces inégalités avec des conditions d'existence très fragiles et, à certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les menchevik avaient en premier parlé de léninisme pour contester

Bataille en est le directeur éditorial; après 14 numéros, la revue s'interrompt. Bataille va se tourner vers un intellectuel français, Boris Souvarine, qui veut développer un communisme critique, et a fondé une revue d'avant garde: « critique sociale », dont Bataille sera un collaborateur (jusqu'à ce qu'il commence sa relation avec C. Peignot, à l'époque compagne de B. Souvarine.) Bataille pense que la plus grande menace à ce jour est l'arrivée de partis nationaux; il dit très clairement dès 1933 que la

l'élite bureaucratique étaient nettement plus favorables que celles de la masse ouvrière. La paysannerie était la grande perdante de ces inégalités avec des conditions d'existence très fragiles et, à certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les mencheviks avaient en premier parlé de léninisme pour contester

rire que (peut-être à tort) je jugeais sarcastique. » ------------------------------------------------- L'engagement politique et antifasciste Au début des années 1930, Bataille est membre du Cercle communiste démocratique fondé et dirigé par Boris Souvarine, il écrit dans sa revue La Critique sociale. Dans ce contexte, en marge des Ligues et du Front populaire, Bataille fonde le mouvement Contre-attaque qu'il dirige dans ses grandes lignes théoriques. La rupture entre lui et André Breton est déclarée