Bosphore

romain d’occident. En l’an 324, Constantin rétabli l’unité de l’empire néanmoins tout au long du 4ème siècle, le fossé se creuse entre l’orient et l’occident. Il se creuse a cause ou grâce a Constantin qui créer une nouvelle Rome sur les villes du Bosphore et qui s’appelle bien sûre Constantinople. Et enfin cette rupture devient définitive à partir de l’an 395 lorsqu’il meurt. L’empire d’occident s’effondre en 476 et le territoire de l’occident est occupé par des royaumes germaniques et très rapidement

arrivent par la route (et font étape, voire déchargent leurs marchandises dans les nombreux hôtels, terminaux et gares routières, formels ou non, de la mégapole) ou encore par la mer. Par exemple à Karaköy, à l’articulation entre la Corne d’Or et le Bosphore, arrivent chaque semaine des bateaux, mi-cargos mi-bateaux pour passagers, en provenance d’Ukraine et de Russie, à un rythme qui s’accélère à nouveau7, sans que le niveau des années 1996-1997 soit encore atteint. L’examen des différentes provenances

mondiale. A partir du 18ème siècle, les régions dans lesquelles les Arméniens vivent depuis longtemps en grand nombre confèrent à la frontière russo-turque une importance stratégique. La Russie a le plus grand intérêt à contrôler les détroits du Bosphore et des Dardanelles, pour fournir une issue à sa flotte dans les mers chaudes. Aussi à partir du 18ème siècle la russie une politique de confrontation dans laquelle il utilise les minorités chrétiennes. L'Autriche-Hongrie souhaite à la fois maintenir

étant poussés vers les hautes vallées peu fertiles des montagnes du Caucase septentrional. En fait, tout comme la mer Caspienne à l'est, les gouvernements impériaux russes rêvaient de faire de la mer Noire une mer 100% russe, surtout le détroit du Bosphore avec Istanbul, afin d'accéder directement à la Méditerranée. Certains groupes nationalistes arméniens — et minoritaires dans la très prospère communauté arménienne ottomane — ont ainsi été instrumentalisés par les Russes au xixe siècle, mais aussi

Précisons, pour l'anecdote que la statue de la liberté faillit bien se retrouver en Égypte coté sud du canal mais que, faute d'argent, le projet fût abandonné. Mais le canal ne fit pas que des heureux, avec notamment Ernest Renan : « un seul Bosphore avait suffit jusqu'ici aux embarras du monde ; vous en avez créé un second, bien plus important que l'autre, car il sert de couloir de communication à toutes les grandes mers du globe. En cas de conflit, il serait le point pour lequel tout le monde

C’est pourquoi les « frontières naturelles » renvoient souvent à un mythe (1), tandis que des frontières bien réelles ne sont pas toujours signalées (2). 1- Mythe des « frontières naturelles » Si l’on songe à ce que signifient les détroits du Bosphore et de Gibraltar pour l’Union Européenne, dans le premier cas comme support d’un argumentaire de séparation ou d’union, le second comme aire de transit migratoire, il apparaît que l’idée d’une « frontière naturelle » est souvent instrumentalisée

1096 comprend 4 armées féodales, soit 4500 chevaliers bien armés et 30000 fantassins. Ces armées se rejoignent à Constantinople, capitale de l'empire byzantin (et future Istanbul), avant de pénétrer dans le monde musulman en traversant le détroit du Bosphore. Enfin les croisés arrivent en 1099 au pied de Jérusalem : la ville est prise le 15 juillet 1099 après 5 semaines de siège. Exaspérés par tant de résistance et pour purifier la ville de siècles de présence impie, les croisés se livrent à un véritable

géopolitique européenne scellée au Congrès de Vienne, en 1815, par le traité du même nom. Par le traité de Paris, en 1856, à l’issue de la Guerre de Crimée (1854-1856) contre la Russie, il oblige cet empire à renoncer à ses prétentions sur les détroits du Bosphore et des Dardanelles qui ouvre la Méditerranée. Désormais alliée avec le Royaume-Uni, la France sort de l’isolement et de la soumission et retrouve son influence en Europe. Elle joue un rôle fondamental dans la question de l’unité italienne en 1859

minorités chrétiennes, ils interviennent pour infléchir la politique de l’État ottoman. Cependant, même s’il est "l’homme malade de l’Europe", l’Empire ottoman, possède de grands territoires au Proche-Orient, il contrôle les détroits de la Mer Noire (Bosphore et Dardanelles). Il est le gardien des lieux saints de l’islam ce qui confère au Calife un grand pouvoir spirituel. En 1914, Les Ottomans s’allient à l’Empire allemand qui n’a pas d’ambitions en Méditerranée et qui a massivement investi chez eux

valet de chambre, Henry Masterman, et un secrétaire, Mr Macqueen. Résumé : Hercule Poirot, un détective belge, vient de passer plusieurs jours en Syrie. Après un long voyage dans le train de l'Orient-Express, il se rend à l’hôtel Tokatlian, à Bosphore. Alors qu’il s’apprête à y passer quelques jours, il reçoit un télégramme lui ordonnant de rentrer à Londres pour une affaire de grande importance. Il résèrve alors un billet de train, mais toutes les places sont réservées. Très étonné à cette periode