Bossuet Les Trois Propositions

plus tard la notion toujours en vigueur aujourd’hui d’un Etat qui se dit avoir le monopole de la violence légitime. La violence va devenir un des critères de définition du droit dans le cadre du positivisme. 1. La violence de l’Etat de Bossuet à Hegel Bossuet écrivait pendant le règne de Louis XIV pour glorifier la monarchie absolue alors qu’Hegel est un philosophe allemand écrivant pendant la première moitié du XIXème siècle. Leurs idées sont donc différentes mais ils vont intégrer la force

allégeances, accointances, hommages et suzerainetés, fidélités, libertés (mais non pas la liberté !), ce monde aristocratique, le sien, n'est plus à la mesure de ce « grand seigneur ». Mais quelle serait donc sa mesure, à lui ? Elle s'exprime par une proposition négative et elle se développe dans l'exigence d'une autre mesure, absente : c'est un homme qui vit dans l'ordre mesuré des nœuds et obligations et qui ne veut pas être lié, qui veut inventer une nouvelle mesure des choses, des êtres et des événements

connaissance qui est utile et fonctionnelle mais inexacte et fausse. Francis Bacon distingue des types d’obstacle à la connaissance sociologiques, les idoles qui pour lui altèrent notre vision du monde et qu’il convient de combattre. Il en distingue trois catégories : - celles qui tiennent à des généralisations abusives et à l’imagination, et qui engendrent de fausses sciences comme l’astrologie ou l’alchimie ; - celles qui tiennent à des notions creuses ou confuses, par exemple à l’invocation

sa « Lettre modérée sur la chute et la critique du Barbier de Séville », l'auteur, Pierre Augustin Caron de Beaumarchais considère son œuvre comme « une pièce amusante et sans fatigue, une espèce d'imbroille ». Qu'en pensez-vous ? Corrigé – proposition de plan par le professeur PLAN DIALECTIQUE : thèse – antithèse- synthèse – I. THESE A. Une pièce comique, amusante, « sans fatigue » - un comique facile, troupier, proche de la farce légère : comique de geste, qui use jusqu'à la corde de

les Alpes, Rome c’est le L’ascium et Venise sur les ports. Leur pays est donc affaibli car divisé. Machiavel est lié à Florence et aussi à la famille des Médicis. La famille des Médicis est très connu, celui qui arrive au pouvoir en 1434, ils sont trois. Et 1494, Pierre des Médicis est chassé du pouvoir avec une révolution, qui instaure une sorte de république. Cette république va évoluer vers une sorte de théocratie, avec Savonarole qui met l’idée qu’il faut lutter contre les vices, et punir les

Monarchormaque. Théodère de Bèse. Henri III, assassiné en 1589 par un moine catholique, assassinat de Henri IV en 1610 → entrée en pratique des théories monarchiques. Section 2 : Les théories absolutistes des XVI et XVIIe siècles (de Bodin à Bossuet) Ce concept vient de la phrase latine, attribué à Ulpien. Il est en rapport direct avec le concept de souveraineté qui est véritablement opérationnel au XVI° : la souveraineté revoit au latin, c'est des superlatifs, c'est la puissance publique

textes de l’Eglise (progrès technique important-découvertes médicales). Cyrano de Bergerac (écrivain du XVIII) et le Dom Juan de Molière sont révélateurs de cette nouvelle opinion sur le monde. Pourtant l’opinion adverse subsiste : réaction de Bossuet qui lutte contre la raison critique et défend la foi chrétienne. Pascal se trouve entre la raison et la religion. Il met tout son génie au service de la raison (métanoÏa : révélation mystique). Il milite pour le jansénisme (mouvement au sein de

d'une sacralité supplémentaire. Henri III va être très sensible à ce qui se fait en Italie du point de vue de la foi, il s'entoure de religieux Minimes, Capucins, Jésuites. Henri III à la fois roi philosophe et pénitent, va procédé à la fondation de trois instituions nouvelles qui vont refléter son état d'esprit---> Une confrérie de pénitents et flagellants qui sont habillés de cagoules et qui se flagellent les épaules, le dos pour se racheter de leurs fautes. Henri III est très sensible de cette piété

est chargé de faire sur terre une société à l'image de la société céleste (ex. : St Crème, pouvoir thaumaturgique…). du La révolution politique. opère Le une sécularisation/laïcisation schéma trifonctionnel de la société de l'ancien régime (les trois états) cède le pas à une conception du corps politique comme un agrégat d'égaux réputés êtres de raison. Un travail de socialisation est fait par le biais de l'école primaire. Eglise et Etat vont lutter pour avoir le monopole de l'éducation. C'est

même temps, le moraliste intervient pour rétablir une distance entre son lecteur et le spectacle. 1. Le moraliste personnage : En audience chez le favori menacé de disgrâce (C., 94). 2. Le lecteur personnage : C., 26, 30, 61. Dans C., 78, scène à trois, le moraliste parlant en aparté au lecteur-personnage. 3. Le moraliste commentateur : a. Il appelle à la contemplation du spectacle en tant que tel : l’« esthétique des tréteaux[2] » : C. 17 : « Vous voyez ». Cimon et Clitandre (C., 19). C., 50 :