Bouc

(1606-1684) ETYMOLOGIE DE "TRAGEDIE" Nom venant du grec tragôdia, lui-même dérivé de tragôdos « qui chante pendant l'immolation du bouc aux fêtes de Bacchus » Cet adjectif est formé de deux éléments : · tragos " qui signifie " bouc " · -odos , issu de aeidô qui signifie " chanter " D'après son étymologie, le mot tragédie signifie donc au départ " chant du bouc " Ce mot est apparu en français vers 1300, soit au XIVème siècle, après être passé par le latin tragoedia. TRAGEDIE ANTIQUE

 la subtilité d’une telle approche na va pas sans une certaine ambiguïté dont l’apologue de Jean de La Fontaine “Le Renard et le Bouc” publié en 1668 dans le livre troisième des Fables est tout à fait révélateur : si la morale finale, aussi courte que sèche (”En toute chose il faut considérer la fin”), stigmatise le manque d’expérience, la naïveté voire la bêtise du bouc, c’est pour mieux nous rappeler combien l’ignorance des dupés est à stigmatiser autant, sinon plus, que la malignité des trompeurs

 la subtilité d'une telle approche na va pas sans une certaine ambiguïté dont l'apologue de Jean de La Fontaine "Le Renard et le Bouc" publié en 1668 dans le livre troisième desFables est tout à fait révélateur : si la morale finale, aussi courte que sèche (”En toute chose il faut considérer la fin”), stigmatise le manque d’expérience, la naïveté voire la bêtise du bouc, c'est pour mieux nous rappeler combien l'ignorance des dupés est à stigmatiser autant, sinon plus, que la malignité des trompeurs

antique. En effet, la tragédie apparaît à Athènes au VI siècle av J-C. Elle est jouée lors des fêtes données à l’honneur de Dionysos. Tragédie vient de tragôidía composé de « bouc » et de « chant » à l’origine des sacrifices fait avant le début de la représentation. Le « chant du bouc » serait donc l’expression de la plainte du bouc mené à l’autel sacrificiel. Dans un premier temps nous étudierons la tragédie de l’époque antique puis celle que nous connaissons actuellement. La tragédie a vu ses début

prêtres de Faunus, sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte du Lupercal. Deux jeunes hommes, vêtus uniquement d'un pagne en peau de bouc, assistaient à la cérémonie. Le prêtre sacrificateur leur touchait le front de son couteau. Puis le sang était essuyé d'un flocon de laine trempé dans le lait. À ce moment, les jeunes gens devaient rire aux éclats. Puis ils couraient dans toute la ville de Rome. Ils étaient armés de lanières, taillées dans la peau du bouc sacrifié, avec lesquelles ils fouettaient

aujourd’hui dans de nombreuses parties du monde. • Le bouc émissaire : « C’est un bouc émissaire », « je ne veux pas être un bouc émissaire » : voilà une locution que vous pouvez employer ou que vous pouvez rencontrer dans un texte. D’où vient-elle ? Que signifie-t-elle au juste ? Cette locution est d’origine biblique et fait référence à un rite selon lequel chaque année la communauté d’Israël chargeait symboliquement ses impuretés sur un bouc qui était lâché dans le désert. L’expression s’est étendue

fêtes de Dionysos (fin janvier et fin mars). Il veut dire le « chant du bouc ». Mais les raisons d’un tel vocable ne sont pas très claires. La tragédie pourrait avoir été d’abord liée au satyre, compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc. Cette hypothèse semble étayée par Aristote qui affirme dans sa Poétique que la tragédie est d’origine satirique et légère. Elle soulève toutefois des difficultés : le satyre n’est jamais appelé « bouc » dans les textes grecs et bien peu de choses semblent relier les tragédies

la subtilité d'une telle approche na va pas sans une certaine ambiguïté dont l'apologue de Jean de La Fontaine "Le Renard et le Bouc" publié en 1668 dans le livre troisième des Fables est tout à fait révélateur : si la morale finale, aussi courte que sèche (”En toute chose il faut considérer la fin”), stigmatise le manque d’expérience, la naïveté voire la bêtise du bouc, c'est pour mieux nous rappeler combien l'ignorance des dupés est à stigmatiser autant, sinon plus, que la malignité des trompeurs

A-description du gymnaste -description physique : « bouc », « moustache », « plus rose que nature »il est en plein effort -description de ses habits : « moulé dans un maillot » B-description du mot « Gymnaste » -Ponge joue avec le titre dans son poème, il place les lettres du titre -Ysexe masculin -cratylismePonge joue avec le mot désignant et le désigné II/ Une satire du Gymnaste A-L’animalité du Gymnaste -Champ lexical des animaux : « bouc, singe, ver, chenille » -vocabulaire de

Tragedie : Genre théâtral originaire de Grèce antique à Athènes Vl siècle avant Jesus Christ elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos. Originellement il veut dire "chant de bouc" on ne connait pas vraiment la raison de ce therme, mais cela pourrait être au satyre (compagnon de Dionysos être mi homme, mi bouc). C ' est l' opposé de la comédie où l' histoire mène à une fin heureuse. Au contraire la tragédie présente des personnages de rang élevé et finie souvent par la mort d' un ou plusieurs