Boucanage

conservation des aliments : 1-les antiseptiques : -but : stopper la prolifération bactérienne. Développer un arôme et un goût particulier. -principe : inhibition des systèmes enzymatiques. -produit : sel, sucre. 2-le fumage ou boucanage : -but : stopper la prolifération microbienne grâce aux propriétés antiseptiques de la fumée et conférer à l’aliment un goût particulier. -principe : faire subir à la viande ou au poisson saumuré ou salé l’action de la fumée de bois ou de tourbe

putréfient à vue d’œil. Pour les conserver, elles doivent être soumises à l’action de la fumée (boucanage), ou du sel. Le procédé du sel fut le premier à être essayé. Celui-ci pénétrait la peau brute, mais dés la première pluie, tout était à recommencer. Il fut plusieurs centaines d’années avant que l’homme découvre des qualités de conservation efficaces. À l’aube du deuxième millénaire av. J-c, le boucanage est pratiqué en Europe Centrale, méthode utilisée aussi en Chine au Ive millénaire avant notre

nouvelle technique de conservation des peaux, grâce à la fumée. Le boucanage était utilisé par les hommes d’Europe centrale pour conserver leur viande. C’est à ce moment là, que ces hommes constatèrent que les peaux qu’ils portaient durant le boucanage, devenaient plus résistantes et duraient plus longtemps. En combinant sel et fumée, leur durée de vie s’allongeait encore. Vers l’an 1000 avant JC, en Europe centrale, les techniques de boucanage vont être améliorées en frottant les peaux avec des écorces

préparations de chair de crustacés mêlée à la farine de manioc, du pain de manioc (la cassave).  le souvenir des indiens caraïbes se retrouve dans le matoutou de ouassous et l'importance des produits de la mer ainsi que l'utilisation du piment ou du boucanage, ...  des esclaves venus d'Afrique viennent les accras, le bélélé, la consommation des «racines» (ignames, patates douces).  avec les juifs hollandais sont arrivés le blaff et les dombrés, ...  des Indiens venus après l'abolition de l'esclavage

rigueur du climat et les distances importantes entre les villages ne permettent pas aux habitants de fréquenter les marchés tous les jours. Il fallait donc préserver les richesses naturelles par des moyens de conservation divers : salage, fumage, boucanage, conserves.                   Page 3   LES PRODUITS LOCAUX         ¬      ELEVAGE – CHASSE – PECHE :   Saumon et hareng sont les espèces les plus consommées. Le cabillaud, le turbot, l’églefin, les crevettes, crabes et homards

salées (ex. : le Jambon d’Ardenne belge, le Jambon de Parme la Viande des Grisons,) ; Le choix du bois caractérise certains arômes ; dans le cas des fumés du Haut-Doubs, par exemple, il s'agit de bois de sapin. 5 À la Réunion, où l'on appelle « boucanage » la technique du fumage, on obtient le boucané. Au Québec, le sandwich à la viande fumée est un mets traditionnel, hérité des immigrants juifs fondateurs de célèbres restaurants. Le fumoir Le fumoir est tout simplement l'appareil qui permet

Trouvé sur internet avec yahoo.fr avec « conservation des aliments » Définitions de Appertisation (inventé en 1800), Congélation et surgélation, déshydratation, lyophilisation, pasteurisation, réfrigération. Et liste des procédés anciens : boucanage, salage, utilisation de l’alcool ou du vinaigre. Voir Livre « QUID 1985 » page 1396 Définition de conservateur sur Encyclopédie Larousse 3 Evolution des techniques (l’histoire des solutions au problème de la conservation, et l’explication

végétariennes. L'une d'entre elles est le gratin, que l'on prépare notamment à partir de chouchous. Pour le reste, ce sont surtout des volailles qui sont consommées. La cuisson est poussée. Le mode traditionnel de conservation de la viande est le boucanage, et la cuisson se fait dans des marmites en fonte. Traditionnellement, le plat principal était d'ailleurs préparé dans la cour au feu de bois ou dans une petite dépendance hors de la maison que l'on appelle la "cuisine". Il était ensuite consommé

cueillettes constituaient les repas. Premières cuissons des aliments par source de chaleur avec la domestication du feu (flammes, braises, cendres ou pierres chauffées)), rotissage, cuisson à l'étouffée (dans des pierres chauffées). Schéchage et boucanage. Mésolithique et néolithiques (-10 000 à – 2 500) : consommation des boeufs et des moutons. Les fruits se font plus présents, apparition des techniques de cuissons indirectes (bouillir en utilisant des pierres chauffées et des récipients en

les produits qu’ils ont besoin.Toute partie d’un animal ou d’une plante est utilisée. Le sens de la propriété privé n’existe pas. Tout objet appartient au clan + utilisé selon les besoins de chacun.Plusieurs techniques innovatrices : séchage et boucanage de la viande, conservation des fruits pour l’hiver, etc.Réseaux d’échanges se sont développés entre les nations pour combler les besoins manquants (troc). Alliances sont essentielles aux échanges.Échanges et pratiquesLa langue huronne est utilisée