Boucher Peintre

envahis par des perfusions.Dans les escaliers,je pensais encore à la morale que j’allai lui faire,mais en arrivant dans la chambre,j’avais perdu mon vocabulaire et la parole avec.J’étais bouche bée. Il tourna sa tête dans ma direction et me dit alors dans un souffle rauque : « Tu devrais peut-être fermer la bouche, tu ne voudrais pas avoir de crampe tout de même ? » C’est alors que je vis sa force, sa capacité à ne pas lâcher prise et à plaisanter dans son Etat. Je fis semblant de rire et lui dit

LE BOUCHE A BOUCHE : • Agenouillez-vous à côté de la victime, près de son visage. • Avec la main placée sur le front, obstruez le nez en le pinçant entre le pouce et l'index pour empêcher toute fuite d'air par le nez, tout en maintenant la tête en arrière. • Avec la main placée sous le menton de la victime, ouvrez légèrement sa bouche tout en maintenant son menton soulevé, en utilisant la "pince" constituée du pouce placé sur le menton, et des deux autres doigts placés immédiatement sous sa

bouchée, Eviter de parler à la personne pendant le repas, Lui faire rincer la bouche après le repas. Pour réduire le risque de fausse route, on peut stimuler: le réflexe de déglutition par l'ingestion d'aliments légèrement plus chaud ou plus froid que la température du corps. On peut favoriser: - la mastication des aliments salés ou sucrés, - la salivation par des soins buccaux avant le repas en hydratant la bouche - important d'expliquer les précautions à prendre pendant le repas pour éviter

135). Mais aussi, Th�ram�ne et Hippolyte ne parlent pas de la m�me chose�: l'un �voque la puissance d'un h�ros et l'amour glorieux, et l'autre, le d�sir sexuel inconvenant de son p�re. L'att�nuation conduit m�me � oblit�rer le mot "enfant"�dans la bouche d'Hippolyte : Th�s�e d�fend de donner des neveux � ses fr�res (v. 106). Les personnages eux-m�mes sont d�sign�s par des p�riphrases�: Ph�dre est "La fille de Minos et de Pasiphae" (v. 36), Th�s�e "ce h�ros intr�pide / Consolant les mortels de l'absence

| | | | |Elle ouvre la bouche à l’approche de la cuillère. |Elle exprime son désir de continuer à manger. | |du lait. | |

voir en premier comment le personnage principal se compare à ces meurtriers. On retrouve aussi beaucoup de mots relatifs au corps. En faisant le champ lexical du corps on retrouve les mots : tête (5 fois), tronc, reins, oreilles, yeux (2 fois), main, bouche, chevelure, poing, pied nu, etc. Encore une fois on retrouve ce vocabulaire pendant l’extrait où l’on raconte les meurtres commis par les occupants précédent de la cellule où loge le personnage principal. Une fois de plus ces petits détails rajoutent

cime, Ni lever une fois son front démesuré. Il s'enfonçait dans l'ombre et la brume, effaré, Seul, et derrière lui, dans les nuits éternelles, Tombaient plus lentement les plumes de ses ailes. Il tombait foudroyé, morne silencieux, Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux, L'horreur du gouffre empreinte à sa face livide. Il cria : - Mort! - les poings tendus vers l'ombre vide. Ce mot plus tard fut homme et s'appela Caïn. Il tombait. Tout à coup un roc heurta sa main; Il l'étreignit

Pierre de Ronsard Bouche dont la douceur m'enchante doucement Par la douce faveur d'un honnête sourire, Bouche qui soupirant un amoureux martyre Apaisez la douleur de mon cruel tourment ! Bouche, de tous mes maux le seul allégement, Bouche qui respirez un gracieux zéphyr(e) : Qui les plus éloquents surpassez à bien dire A l'heure qu'il vous plaît de parler doctement ; Bouche pleine de lys, de perles et de roses, Bouche qui retenez toutes grâces encloses, Bouche qui recelez tant de petits

gambade, court, saute, et surtout danse. De plus, les situations représentées sont le plus souvent stéréotypées. On sait tous que les comédiens jouaient masqués, arborant des masque de cuir qui leur cachaient le haut du visage mais laissaient la bouche dégagée, leur autorisant ainsi des expressions particulières avec le bas du visage. Seuls les personnages d'amoureux n'avaient pas le visage caché. Autre point important, ces troupes sont les premières à faire jouer des femmes, à une époque où celles-ci

vers cette place où il avait juré de ne jamais revenir. Tout sombre qu'était le ciel, une silhouette plus sombre encore se détachait sur l'horizon noir comme de l'encre. C'était la silhouette de la hideuse machine, dont le vent de la nuit séchait la bouche humide de sang, et qui dormait en attendant sa file quotidienne. C'était pendant le jour qu'Hoffmann ne voulait plus revoir cette place ; c'était à cause du sang qui y coulait qu'il ne voulait plus s'y trouver ; mais, la nuit, ce n'était plus la