Bouddhas de Bâmiyân

1 les bouddhas de Bâmiyân Le grand bouddha de Bamiyan est une sculpture de 53 mètres de haut réalisée entre le 5eme siècle et le 6eme siècle , c est une statue sculptée à même la pierre par des moines bouddhistes. Deux autres bouddhas du même types se trouvent sur le même cite un de 38 mètres se tenant juste a cote du grand bouddha , et l autres de 10 mètres se situant à Kakrak à 4 kilomètres de Bâmiyân . Des le 9eme siècle , lors de l arrivée de l Islam le grand bouddha fut assailli par des musulmans

voyagé aussi loin. Pour preuve, Alexandre Le grand est arrivé jusqu'à l'Indus, mais il n'était qu'à mi chemin entre son point de départ et la Grande Muraille de Chine. Localisation candidate par pays [modifier] • Afghanistan : les Bouddhas de Bâmiyân, détruits en 2001 par les talibans • Angleterre : Stonehenge • Australie : Grande barrière de corail (n'est pas construit par l'homme) • Cambodge : Angkor Vat • Canada : Pont de Québec à Québec • Chine : Mausolée de

Louvain (Belgique) en 1914 . destruction des Bouddhas de Bamiyan en Afghanistan en 2001 par les Talibans, des mosquées de terre au Mali en 2012 par AQMI (Al Qaeda au Maghreb islamique), de Palmyre en 2015 par l'Etat islamique (car antérieurs à l'Islam), de la Mosquée Al-Nouri de Mossoul par l'Etat islamique. • Le patrimoine, victime idéologique : C'est le cas lorsque ce dernier contredit l'idéologie d'un combattant : destruction des Bouddhas de Bamiyan en Afghanistan en 2001 par les Talibans, des

palestinienne indépendante musulmane sera soutenu par l’Occident. * L’archéologie, mise à mal par la guerre. Avec les guerres, l’archéologie subit bien souvent des dommages collatéraux. Dans le livre l’auteur cite l’exemple des Bouddhas de Bamiyan, en Afghanistan. Ces Bouddhas ont été détruit à cause de croyances religieuse différentes, elles avaient été décrétées impies. De nombreux exemples sont cités dans le livre, et on ne peut que pleurer toutes ces pertes, car on ne refait pas l’histoire. On peut

Après avoir détruit les bouddhas de Bamiyan, les tombeaux de grands saints de Tombouctou, les salafistes détruisent à présent des mausolées en Libye. De l’Afghanistan au Mali, une même rage vengeresse semble accompagner partout le triomphe de ces mouvements qui s’attaquent non seulement aux symboles de l’Occident mais aussi à ceux de l’islam traditionnel et du soufisme. C’est d’autant plus paradoxal que la charia interdit la profanation des tombes et que les visites pieuses dans les cimetières et

immatériel : danses Dogon au Mali ; conteurs au Maroc (place Jamaa el Fna à Marrakech). B – Les limites de cette protection. - Terrorisme : UNESCO lutte contre les destructions de site : djihadistes détruisant le patrimoine préislamique Bouddhas géants de Bamiyan ; théâtre et temple de Baal-Shamin à Palmyre. - Guerre : destruction du centre de Sanaa (Yemen), pourtant classé au patrimoine de l’UNESCO. Mémoire mondiale des conflits : Site d’Hiroshima, musée de l’holocauste du yad Vashem en Israël

hommes, femmes et enfants8. Ils exécutent également 10 diplomates et journalistes iraniens accusés d'espionnage, et l'Iran est sur le point d'entrer en guerre contre les talibans. L'Hazaradjat est alors presque encerclé et tombe après la chute de Bâmiyân en septembre 1998. L'Alliance du Nord, rassemblement de frères ennemis mais unis contre les talibans, se désagrège alors. La plupart de ses chefs se réfugient à l'étranger et Ahmad Shah Massoud reste le seul leader de l'alliance à résister depuis

écrites dans la charia furent ré-appliquées : coups de fouets, amputations, lapidations… Ils attaquent également les autres religions : étant donné l’interdiction de toute représentation humaines ou de dieux, ils font exploser les statues de bouddhas géantes à Bamiyan. Les hindoues, alors minoritaires, se doivent de porter en signe distinctif un morceau d’étoffe jaune. Organisation politique des Talibans : Théoriquement dirigé par le mollah Omar ainsi qu’un conseil de direction (Rabhari Shura)

limites politiques et géopolitiques • L’absence de moyens de sanction de l’UNESCO pour faire respecter le patrimoine classé « l'Unesco reste impuissante devant les destructions et les dégradations de sites classés, comme la destruction des bouddhas de Bâmiyân par les talibans en Afghanistan en 2001 https://whc.unesco.org/fr/carte-interactive/4 • La politisation de la volonté de classement des sites Ce peut être pour des raisons économiques: amener plus de touristes Ce peut être pour améliorer

en application d'une loi islamique stricte, avec pour objectif d'instaurer « le plus pur État islamique du monde », fondé sur une stricte application de la charia, émanant de l'école déobandi. En 2001, la destruction des statues de Bouddha pré-islamiques de Bâmiyân (VIe - IVe siècle av. J.-C.), inscrites au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, attire l'attention de la communauté internationale. Les autorités du Pakistan dénoncent alors publiquement leur politique extrémiste. Des relations