Bourrelet sus-orbitaire

l’Australopithèque et vaut jusqu’à 1650 cm3 pour le genre Homo. Parallèlement, on note un développement du crâne vers le haut et vers l’arrière, une réduction de la face (front plat) et une régression du prognathisme, ainsi qu’une réduction des bourrelets sus-orbitaires. L’arcade dentaire est en V chez les individus de la lignée humaine.   3)    Les critères liés à l’organisation sociale et au comportement   Bien qu’une activité sociale existe chez tous les Hominidés (y compris les Chimpanzés), on note

bassin évasé, trou occipital centré sous le crâne, fémurs à insertion oblique. Ils étaient donc bipèdes. Par contre, leurs caractères crâniens étaient primitifs, archaïques : face oblique à cause d’un prognathisme important, de forts reliefs (bourrelets sus-orbitaires marqués et fortes arcades zygomatiques), dessus du crâne plat (et non pas arrondi) et faible volume (400 à 500 cm3). 2 - Les caractères crâniens évoluent chez les espèces du genre Homo De nouvelles espèces font leur apparition à partir

primitifs (front fuyant, bourrelets sus orbitaires, prognathisme important); sa morphologie est robuste et trapue (adapté au froid). Cette espèce semble provenir de l'évolution d'Homo erectus ayant colonisé l'Europe. Son artisanat est développé (racloirs, pointes) et il élabore les premières sépultures (industrie moustérienne) 4. Homo sapiens Apparition vers - 100 000 ans. Crâne très arrondi (capacité crânienne de 1550 cm³), disparition des bourrelets sus orbitaires, apparition du menton. Artisanat

celleci (alors que chez les singes le crâne est en avant de la colonne vertébrale du fait de la posture quadrupède). D’autres caractéristiques anatomiques crâniennes caractérisent l’Homme : une face plate (front haut, menton marqué, pas de bourrelets sus-orbitaires) alors que chez les singes elle est prognathe. D’autre part le volume crânien est de 1500cm3 alors que chez les singes il est de 400 cm3. L’encéphale est donc nettement plus développé. Les caractéristiques anatomiques propres à l’homme sont

postérieure de la scissure interhémisphérique. La face inférieure de l'hémisphère est divisée par une scissure profonde, la scissure de Sylvius, en deux parties : l'une, antérieure ou orbitaire, l'autre, postérieure ou temporo-occipitale. • La partie orbitaire de la face inferieure de l'hémisphère repose sur la voûte orbitaire. C'est dans cette partie de l'hémisphère que se trouvent le bulbe et le pédoncule olfactif, les bandelettes olfactives et l'espace perforé antérieur. • La partie temporo-occipitale

l’aplomb de l’œil droit et la fourche à l’aplomb de l’œil gauche. Une petite fourche est également visible à l’aplomb de l’œil externe droit. Ces détails capillaires sont caractéristique du style prima-porta. Quant au visage on observe un bourrelet sus-orbitaire très léger, finement marqué et saillant ainsi que des yeux rond détaillé avec le pli de la paupière supérieure. Le nez est fin et droit. Malgré la partie qui manque, on devine que celui-ci était bien proportionné au visage. La bouche est fine

été les axes Afrique/Asie et Afrique/Asie/Europe. Chasseur de Bovidés, il a pu suivre les déplacements des populations de ces animaux. • Les Homo erectus d’Europe de l’Est ont des caractères morphologiques très particuliers : en plus du bourrelet sus-orbitaire, l’os formant le maxillaire supérieur est plat, constituant une espèce de museau alors qu’il forme un creux chez l’Homme moderne. Ce caractère est une véritable signature évolutive : celle d’Homo neandertalensis. Certains Homo erectus sont

habilis Homo erectus Homo neanderthalensis Homo sapiens [pic] 1 : acquisition de la bipédie 2 : acquisition de la bipédie permanente 3 : début du développement du volume encéphalique+disparition du prognathisme 4 : disparition du bourrelet sus orbitaire Il existe une multitude d’espèces d’homininés. Périodiquement, on en trouve de nouvelles.

Feuille de note sciences Homo neandertalensis apparaît morphologiquement différent de l'homme actuel: stature plus massive, tête osseuse avec bourrelets sus-orbitaires, mâchoire et dents puissantes. Les Hommes de Néandertal sont robustes, mesurant en moyenne 1,70m, trapus, avec des membres relativement courts. Leur capacité crânienne est importante, jusqu'à  1750 cm3, soit supérieure à celle de l'homme moderne. Leur technique de taille des silex est plus précise et caractérise le Paléolithique

L'Homme se distingue du Chimpanzé - Volume crânien important (3 fois plus important, 1300 contre 300 cm3) - Trou occipital vers l’avant permettant une position verticale de la colonne vertébral (relatif à la bipédie) - Réduction de la face (absence de bourrelets SUSOrbitaires) - Col du fémur allongé alors qu’il est court et épais chez le chimpanzé (et formant un angle plus ouvert) - Prognatisme absent - Mâchoire parabolique et non en U - Canine réduite - Epaisseur de la paroi dissymétrique. CES CARACTERES