Bourrelet sus-orbitaire

et des pouces des pieds non opposables. Caractères liés à la forme du crâne Le genre Homo est caractérisé par un volume crânien important (de 700 à 1500cm3 selon les espèces), une fonrt de plus en plus haut, une face réduite, des bourrelets sus orbitaires de moins en moins marqués, des mâchoires paraboliques, des dents plus petites et moins différenciées. Caractères culturels Une utilisation systématique et une conception plus élaborée des outils (en relation avec l'augmentation de la

Les critères d’appartenance à la lignée humaine sont les caractères dérivés humains que l’on trouve en comparant l’Homme à son plus proche parent, le Chimpanzé. On trouve : crâne arrondi, volume encéphalique de 1500 cm cubes, absence de bourrelets sus orbitaires, présence d’un front et d’un menton, face régressée, petites canines, mâchoire parabolique, trou occipital avancé, colonne vertébrale à 4 courbures, bassin court et large, fémur oblique, pouce parallèle aux autres orteils. On note également

La lignée humaine commence il y a 7 millions d'années avec les australopithèques. Pour faire partie de cette lignée il faut avoir un cerveau développé (de 500 à 1500 cm3). On constate également par rapport aux singes une disparition du bourrelet sus-orbitaire, un bassin large et étroit, une arcade dentaire parabolique, un trou occipital avancé permettant l'équilibre, une colonne vertébrale en S, des fémurs obliques et une réduction de la face avec disparition du museau. Les membres de cette lignée

; os de la voûte crânienne épais, comme chez les autres représentants du genre Homo, mais renforcé vers l'arrière (caractère propre) ; forte courbure de l'os occipital (comme les autres Homo) ; faible prognathisme ; petites canines ; bourrelet sus-orbitaire réduit et séparé en deux parties nettes. Environnement[modifier] L'île de Florès[modifier] Localisation de l'île de Florès en Indonésie. L’Homo floresiensis a vécu sur des îles indonésiennes : l'île de Florès (et peut-être celle de

gorilla Pan troglodytes Australopithecus africanus Gracile Australopithecus boisei (anciennement) Homo sapiens Homo neanderthalensis Homo erectus Paranthropus boisei 5 Ma Présent Bipédie permanente 1,8 Ma 2,5 Ma Squelette robuste bourrelets sus-orbitaires Volume encéphale Réduction du massif facialÀ partir des arbres construits on comprend qu'il y a des similitudes entre les espèces mais aussi avec les Orang-outans, chimpanzé et gorille donc par conséquent qu’il existe aussi des similitudes

cm3 est plus important que celui du chimpanzé qui n’est que de 400 cm3 ( il est donc trois fois plus important), l’homme possède un trou occipitale au centre du crâne ( relatif à la bipédie) et une réduction de la face ( il y a absence de bourrelets sur orbitaires) . Ensuite, on constate que la mâchoires de l’homme est paraboliques, en non en forme de « U » avec des canines réduites. Un col du fémur allongé alors qu’il est court et épais chez le chimpanzé, et l’homme possède une épaisseur de la paroi

avec les Australopithèques concernent : - la capacité crânienne qui ne cessent d’augmenter 750 cm3 à 1600 cm3, - la réduction de la face, l’orthognathie est de plus en plus marquée et accompagnée d’un allègement du crâne (bourrelets sus-orbitaires, constrictions post-orbitaires plus ou moins présent en fonction des fossiles, finissent par disparaître), - la réduction de la taille des dents et la disparition du diastème au sein d’une mâchoire parabolique, - perfectionnement de la bipédie (glissement

bien développé | |orbites convergentes (vers l’avant) |testicules dans un scrotum, dès la naissance | |présence d’une barre post-orbitaire (jonction des os frontal et zygomatique) |urètre et vagin complètement séparés chez les femelles | | |faible nombre de mamelles

dents sont les seuls restes connus d'une espèce qui a vécu en Afrique centrale il y a 6 à 7 millions d'années. [...] Pour la plupart de ses traits, Toumaï ressemble à un Chimpanzé : petit cerveau, incisives larges, grosses canines et imposant bourrelet sus-orbitaire. Mais ses molaires sont un peu plus grosses et plus épaisses, ses canines sont plus petites et moins pointues, sa face est plus haute et moins projetée vers l'avant, et il semble qu'il était capable de marcher debout. Ces traits sont caractéristiques

Document 1 : critères d’appartenance à la lignée humaine. a)- tête en équilibre sur la colonne vertébrale en relation avec la position avancée du trou occipital. -2 face plate ( alors qu’elle est prognathe chez le chimpanzé), absence de bourrelet sus-orbitaire -3 Capacité cérébrale ( 1300 cm3 ) élevée ( alors qu’elle est réduite chez le chimpanzé (400 cm3)) b)-arc dentaire parabolique, - canines réduites ( même hauteur que les autres dents), fortes incisives et absence de diastème c) -col