Bourvil

sa campagne natale : Brûlebois (1927), La Table-aux-crevés (1929), La Jument verte (1933) – ce roman est devenu un film, en 1959, réalisé par Claude Autant-Lara, avec Bourvil, Francis Blanche, Yves Robert, Georges Wilson, Achille Zavatta… Parmi ses nouvelles, Le PasseMuraille est également adapté à l’écran en 1951, avec un Bourvil très en forme qui joue le rôle de l’excellent Dutilleul au don singulier : il passe à travers les murs ! Marcel Aymé publie aussi les Contes du chat perché, de 1934 à

du général De Gaulle, incarnation de la Résistance au-delà sa diversité. De Gaulle, c’est la France, c’est la Résistance, et la Résistance, c’est la France !... Parallèlement le film « La grande Vadrouille » de Gérard Oury, avec Louis de Funès et Bourvil, connaît un énorme succès en pulvérisant tous les records d’audience dès sa sortie en 1966 : le souvenir de la guerre se banalise enfin.  [Bilan et mémoires de la 2èem GM en France] Page 15/20 C. LA FIN DES AMNÉSIES ET DES MYTHES DEPUIS

boeufs. Quel terme plus approprié pour un massacre de “vaches” ? 2 ) Gaillardes : Une gaillarde se dit d’une forte femme qui a souvent des allures (gedrag) trop libres. 10 3 11 ) A pied, à cheval, en voiture : C'est le titre d'une chanson de Bourvil de 1947. ) Avoir son content de quelque chose : En avoir eu autant qu'on désirait. ) Gendarmicide : Néologisme signifiant "tueur de gendarme". ) Outrage : Injure, offense grave || (Droit) délit consistant à mettre en cause l'honneur ou la délicatesse

mis au point par deux franais les frres Roux) . Cest un chec retentissant et une perte financire de 50 millions de francs pour Pagnol. En 1950, il crit le scnario dune version modernise de la nouvelle de Maupassant, Le Rosier de Mme Husson, avec Bourvil, acteur alors dbutant, dans le rle dIsidore. Le film, mis en scne par Jean Boyer, trs mal accueilli par la critique, connat cependant un succs commercial. Pagnol prend sa vraie revanche deux ans plus tard, en 1951, avec la troisime version de Topaze

d’Anvers, 1948; dir. Yves Allégret, b. 1907), historical films (Fanfan la tulipe, 1952; dir. Christian-Jacque), crime thrillers (Becker’s Touchez pas au grisbi, 1954), psychological tales of varying credibility, farcical comedies (with Fernandel, Bourvil and Noël-Noël) and the unavoidable love story. Feature films remained faithful to well-worn narrative traditions and continued to explore pathological states in the time-honoured way. Occasional voices expressed dissent. In 1948 Alexandre Astruc revived