Bradamante

• MATTEO MARIA BOIARDO: dagli Amorum libri: Datime a piena mano e rose e zigli e Già vidi uscir de l’onde una matina • ORLANDO INNAMORATO:Proemio (I, I, vv. 20-35) Il duello di Orlando e Agricane (I, XVIII, vv. 37-55) Bradamante si rivela a Ruggiero (III, V, vv. 38-43) • LEONARDO DA VINCI, un brano a scelta • IACOPO SANNAZARO: Arcadia Proemio Prosa prima • Prosa VII Epilogo • GIOVANNI PONTANO: un brano a scelta • NICCOLÒ MACHIAVELLI:La

Ensemble Bradamante Cette année, un grand nombre de classe du collège Saint-Stanislas a eu l'occasion d'assister à un concert de « Ensemble Bradamante ». Il s'agit en fait de quatre talentueuses musiciennes, elles constituent un quatuor, qui nous surprent par leur maîtrise de la musique baroque et leur soif d’inventivité. A propos de leur musique : L'Ensemble Bradamante est constitué de quatre musiciennes et joue cependant ce que l'on appelle un répertoire en trio. Un nouveau

lecteur. Ces contenus, plutôt réels, sont donc utilisés pour véhiculer les vraies valeurs de Calvino à travers un contexte ahurissant. Calvino transmet surtout des valeurs culturelles à travers les personnages dans l’œuvre, notamment Gourdoulou, Bradamante et Torrismond. Tout d’abord, le personnage de Gourdoulou est continuellement utilisé dans le roman par Calvino pour traduire son opinion face à plusieurs conflits et valeurs culturels. Parmi ces conflits se retrouve le grave problème des préjugés

reprend goût à la guerre alors qu’il en avait perdu l’envie. Une embuscade lui est tendue. Soudainement, un mystérieux chevalier à l’armure pervenchée lui vient en secours. En réalité il s’agit de Bradamante, une flamboyante jeune femme dont Rimbaut tombe immédiatement amoureux. Il apprendra cependant que Bradamante convoite Agilulfe. Raimbaut fait la connaissance de Torrismond, le fils cadet des ducs de Cornouaille qui est paladin lui aussi et qui souhaite retrouver Sofronie, la fille du roi d’Ecosse qu’il

retiré ses lunettes. Puis, Raimbaut, qui tombe dans une embuscade, est sauvé par un chevalier. Intrigué, il suit son sauveur pour en connaître l'identité. Il découvre ainsi que le chevalier mystérieux est en réalité une femme, Bradamante, dont il tombe amoureux. Bradamante, cependant, ne s'intéresse pas à lui parce que son idéal masculin est précisément Agilulfe, le chevalier inexistant. Lors d'une manœuvre, l'armée franque rencontre un pauvre serf, Gourdoulou, qui se laisse guider par son cœur,

de guerre et de noblesse. Il utilise plusieurs femmes comme objet de désir pour les hommes. Celle la plus évidente est Bradamante. Femme chevalière, elle fait objet d’amour pour Raimbaut, qui est clairement attiré à sa perfection en tant que femme guerrière. De plus, Calvino souligne aussi le rôle de la femme d’admirer les chevaliers. Comme dans le cas de l’admiration de Bradamante envers Agilulfle, d’où vient un fort sens d’admiration.P.105. Ensuite, l’admiration de la femme envers les hommes ressort

d’illusions; cette fois, Côme était déjà devenu fou». Dans Le chevalier inexistant, le thème de l’amour est présent sous la forme d’un triangle amoureux typique du roman de chevalerie entre Raimbaut, Bradamante et Agilulfe. Encore une fois cet amour apporte une situation difficile; le fait que Bradamante soit amoureuse d’un être inexistant. Cette situation est en fait relative à la conception du fantasme. Ceci est encore une fois démontré lorsqu’Agilulfe passe une nuit chez Priscille, une courtisane

inspiré de l'Ancien Testament, où l'atmosphère des guerres de religion transparaît, qu'il écrit un manuscrit donnant ses premières lettres de noblesse au genre dramatique Français (Les Juives, 1583). Garnier est aussi l'auteur d'une tragi-comédie, Bradamante (1582), inspirée du Roland furieux de l'Arioste. En 1586, il regagne Paris où il est nommé membre du Grand Conseil du Royaume (le 12 octobre 1587), chambre réunissant les plus grands fonctionnaires de l'État. Mais les tensions politiques et militaires

antique : Hippolyte ou Antigone (1580) et surtout Les Juives (1583), dont le sujet vient de l'Antiquité biblique mais dont l'esthétique est bien dans l'esprit d'Aristote. Il inventera également la tragédie à fin heureuse — la tragicomédie — avec Bradamante en 1582. Dans le même courant, on trouve les méconnus Antoine de Montchrestien (1575?-1621) ou encore Alexandre Hardy (1572?-1632?), auteur prolifique dont on peut citer quelques titres évocateurs de leur sujet antique comme Didon ou Lucrèce ou

rapidement pourquoi la reine avait été enlevée : elle devait faire l'objet d'un sacrifice pour que la magicienne, au service du roi Sagace, devienne plus puissante que Merlin, le célèbre enchanteur, ami du roi Arthur. La magicienne portait le nom de Bradamante, elle semblait parfaitement maîtriser la magie ainsi je devais attendre le réveil de Gontran pour la combattre, car seul, cela me semblait difficile. Le vieille dame raccompagna l'homme avec qui elle parlait. Peu de temps après, elle commença à