Brahmapoutre

(SAU) égale à celle de l’Union européenne : 180 millions d’hectares dont 140 millions d’hectares sont en culture soit environ 60% de la surface du pays. Traversées par le Gange et bénéficiant davantage des bienfaits de la mousson, l’Indus et le Brahmapoutre (notamment la plaine de l’Assam, l’Uttar Pradesh et le Pendjab) sont, au nord du pays, les régions les plus fertiles, où se concentre la production agricole, particulièrement la canne à sucre et le blé. Ces avantages « naturels » expliquent

atteindre 40% Variation saisonnière. Saison des pluies (P>2T), saison sèche (P<2T). La totalité annuelle des P peut tomber en 3 ou 4 mois (moussons). Sécheresse (dessication des sols, baisse du niveau des fleuves & des nappes…) ou innondations (Brahmapoutre 500 000 morts en 1971, Gange 800 000 morts en 1991…) Bilan hydrique Equilibre si disponibilités comprises entre 1000 & 5000 m3/an/hab. Stress entre 500 & 1000 Pénurie si < 500 2.3) Un accès à l’eau inégal Pho 5 p107 « Puits pendant les inondations

ou encore le Népal. Les relations les plus complexes sont celles entretenues avec la Chine au sujet des fleuves himalayens. Les deux pays ont des besoins énormes et décident donc de se lancer dans un politique de grands barrages. Par exemple, le Brahmapoutre est un fleuve qui prend sa source au Tibet et parcourt le sud-est de la Chine avant de traverser l’Inde et le Bangladesh. Aussi, la Chine prévoit de détourner plusieurs affluents pour son irrigation mais l’Arunachal Pradesh, région frontalière

les premiers responsables du réchauffement, ce sont ceux en voie de développement qui en subissent les conséquences. Les zones côtières les plus densément peuplées, principalement en Asie, sont directement menacées : deltas du Gange en Inde, du Brahmapoutre au Bangladesh, du Mékong au Vietnam, du Nil en Egypte. En Amérique latine, le réchauffement pourrait provoquer l’émigration de 1,4 à 6,7 millions de Mexicains du fait du déclin de la productivité agricole. L’Afrique est très vulnérable. Famines

prendraient en tenaille l’Assam, avec ses plantations de thé mais surtout ses puits de pétrole et les provinces voisines. Pékin pourrait réussir partiellement, surtout avec le Bangladesh. Il assurerait ainsi un contrôle indirect de la vallée du Brahmapoutre et pourrait envahir l’ouest de l’Arunachal Pradesh, avec le monastère hautement symbolique du bouddhisme tibétain de Tawang, dont la possession par l’Inde est irritante pour la Chine. Son rêve, irréalisable à l’échéance de 2020, serait de créer

Les égyptiens ont menacé le Soudan d’une intervention militaire. Crainte des égyptiens de voir l’assèchement du lac Nasser en relation avec le Nil Bleu Rivalité entre Inde et Bangladesh : problème du partage de deux grands fleuves : Gange et Brahmapoutre. Entre l’Inde et le Pakistan avec l’Indus, qui est en territoire pakistanais mais forme une frontière avec l’Inde. Le Mékong entre Thaïlande et Cambodge. Asie Centrale : Amou-Daria et Syr-Daria qui se jettent sur la mer d’Aral. 3) Comment

(SAU) égale à celle de l’Union européenne : 180 millions d’hectares dont 140 millions d’hectares sont en culture soit environ 60% de la surface du pays. Traversées par le Gange et bénéficiant davantage des bienfaits de la mousson, l’Indus et le Brahmapoutre (notamment la plaine de l’Assam, l’Uttar Pradesh et le Pendjab) sont, au nord du pays, les régions les plus fertiles, où se concentre la production agricole, particulièrement la canne à sucre et le blé. Ces avantages « naturels » expliquent, en

domine de vastes plaines alluviales, qui s’étalent du Pendjab au Bengale et qui recueille les eaux d’innombrables fleuves descendants des hautes pentes proches. Parmi ces fleuves les plus importants sont le Gange reconnu comme un fleuve sacré, le Brahmapoutre et l’Indus. Au sud, la partie péninsulaire est formée par le vieux socle du Deccan qui est la partie centrale et péninsulaire de l’Inde. Du fait de l’aridité de cette plaine, la population se concentre plutôt sur les plaines côtières. Au deuxième

qui prennent leur source au Tibet ou dans ses confins, traversent cette région : l’Indus (2 897 km), le Gange (2 510 km) et, à l’extrême est, le Brahmapoutre (2 897 km). Ils sont alimentés par la mousson et la fonte des neiges himalayennes. À l’est de la péninsule, deux fleuves conduisent à des deltas qui progressent sur la mer : le Gange et le Brahmapoutre, dont les bassins hydrographiques cumulés totalisent 3 millions de km², et qui arrosent le Bengale-Occidental, la plaine de l’Assam et le Bangladesh

construction de grands barrages. New Delhi a lancé un projet d’aménagement hydroélectrique du cours indien du Brahmapoutre, fleuve qui prend source au Tibet et parcourt le sud-est de la Chine avant de traverser l’Inde et le Bangladesh. Avec ce projet, il espère produire, à terme, 50 GW d’électricité. Mais la Chine perturbe le projet car elle envisage de détourner plusieurs affluents du Brahmapoutre pour irriguer les régions arides du Xinjiang et du Gansu. « Je ne suis pas le ministre des ressources