Braiser

société camerounaise, notre attention a été retenue par trois principales : CALVE, MONEY GRAMM, AZUR GOLD. 1- CALVE Le spot publicitaire sur le produit CALVE présente un ensemble de personnes dans un comme on les appelle communément. Une maman braise des crevettes, des enfants jouent et des personnes mangent ensemble. Il y règne une ambiance de joie lorsque l’apprenti de la maman pose sur la table une mayonnaise inconnue dont on n’a pas du tout l’habitude de consommer. Alors tout le monde s’arrête

perdait sa vapeur; par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furiaux de géante. Une baleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras du sol; pendant que, du foyer, les braises tombées, rouges comme le sang même de ses entrailles, ajoutaient leurs fumées noires.La cheminée, dans la violence du choc, était entrée en terre; à l'endroit où il avait porté, le châssis s'était rompu, faussant les deux longerons et, les roues en

Le feu s'était éteint : Ma plus douce espérance est de perdre l'espoir. Pierre Corneille, Le Cid. Le feu s'était éteint. Seules quelques braises persistaient, parcelles de brûlures qui me ramenaient périodiquement au bon souvenir de mes douleurs anciennes , rougeoiement lancinant qui venait sans cesse tourmenter ma mémoire. Je savais qu'il n'y avais plus rien à attendre, sinon que ça s'arrête enfin, cette agonie qui n'en finissait pas, mais je me refusais encore à sentir ce goût de cendre

faire une paix durable. Ils notent que la paix qu'ils ont construite et qu'ils consolident est relativement fragile et qu'elle tient à leur amitié et à leur travail, mais également aux incidents locaux et internationaux, qui peuvent venir raviver les braises du feu de la haine à tout moment. Ils insistent donc dans leurs enseignements à ce que leurs disciples ne se laissent pas implanter la graine de la haine par des personnages religieux démagogues utilisant les conflits ailleurs pour justifier la présence

esprit. Sa facette annimal avait pris le dessus. Ses mains déambulaient hasardeusement sur le torse nu de la demoiselle  avant de saisir fermement un de ses seins. Leurs deux corps s'échauffaient sur le canapé rouge. Il embrassait de ses lèvres de braises le cou de sa bien aimé lorsqu'il fut pris d'une envie de mordre dedans comme dans une pomme. Il avait en tête l'idée de sa chair brûlante sous ses dents, le liquide ardent s'ecoulant le long de ses canines, et son esprit s'échauffait encore. Il ôte

l'âge arrive, qui alourdit les membres et durcit les jointures. Aussi lui pardonnait-il volontiers, débordé d'un gros chagrin, à la voir blessée à mort, en agonie. La pauvre Lison n'en avait plus que pour quelques minutes. Elle se refroidissait, les braises de son foyer tombaient en cendre, le souffle qui s'était échappé si violemment de ses flancs ouverts, s'achevait en une petite plainte d'enfant qui pleure. Souillée de terre et de bave, elle toujours si luisante, vautrée sur le dos, dans une mare

Qu'il s'agisse d'un groupe d'ouvriers misérables passant en fraude la frontière italienne, de deux jeunes filles fugueuses, d'un enfant voleur, d'une femme accouchant seule sur la moquette d'un mobile home, surveillée par son chien-loup au regard de braise, qu'il s'agisse de la fillette broyée par un camion, ou de la fillette violée dans une cave de H.L.M., l'auteur impose aux faits une étrangeté bouleversante. L'incident s'annule au profit du dénominateur commun de toute souffrance humaine qu'articulent

« L’Oréalienne » en tant qu e porte-parole. Penelope possède une beauté naturelle dont l’élégance, la sophistication et l’assurance font d’elle un formidable modèle pour les femmes et une parfaite représentante de L’Oréal ». Avec ses prunelles de braise, Penélope Cruz, la plus hollywoodienne des Madrilènes, hypnotise les regards. Malgré son petit mètre soixante-six, l’ancienne danseuse, pleine de grâce, en impose sur les tapis rouges et dans les salles obscures. L’élégante actrice a séduit, de Pedro

minutieux sur la sonorité et la musicalité. En outre, l’association intime de la peinture de Sonia Delaunay n’empêche guère la dédicace de l’œuvre, curieusement aux musiciens ! Il s’identifie particulièrement à ce poème comme il nous indique, « […] des braises ardentes sur notre route » (v.216) et aussi « Il n’ya plus que des cendres qui continue » (v.185) qui nous renvoient à l’immortalité des œuvres écrites sous son pseudonyme Blaise Cendrars. Nicolas Bouvier a obtenu « le prix des écrivains genevois »

Suisse pour un long séjour en Russie puis, en 1911, il se rend à New York où il écrit son premier poème Les Pâques (qui deviendra Les Pâques à New York en 1919). Il le publie à Paris en 1912 sous le pseudonyme de Blaise Cendrars qui fait allusion aux braises et aux cendres permettant la renaissance cyclique du phénix. En 1913, il fait paraître son poème le plus célèbre, la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France. Dès le début de la guerre de 14-18 il s'engage comme volontaire étranger