Bras de la Plaine

II . sites et documents consultables pour l’exposé 2 III . Antoine: l’exposé : ce qu’on doit retenir 2 IV. Antoine: l’exposé : les détails 3 la jeunesse d'Antoine: 3 le capitaine, bras droit de César 3 Antoine et le rêve oriental : de 41 à la fin 3 De 40 à 31 : la fin du rêve oriental d'Antoine : des plaines de Mésopotamie à Actium 4 7 points-clés à propos de M. Antoine (83 ?- 30 avant JC) : 5 Le Cydnus 7 Antoine et Cléopâtre 7 Soir de Bataille 7 Antoine et Cléopâtre au théâtre 8

mes larmes ? Et je le plains encore ! Et, pour comble d'ennui, Mon coeur, mon lâche coeur s'intéresse pour lui Je tremble au seul penser du coup qui le menace, Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce. Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! Aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage Il pense voir en pleurs dissiper cet orage ; Il croit que, toujours faible et d'un coeur incertain, Je parerai d'un bras les coups de l'autre

Tchécoslovaquie à peine libéré du joug de l'Allemagne nazie. J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivantEt de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m'est chère? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombreA se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pasAu contour de ton corps, peut-être.Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hanteEt me gouverne depuis des jours et des années,Je deviendrais une ombre sans doute

J'attaque en téméraire un bras toujours vainqueur Mais j'aurai trop de force, ayant assez de coeur. À qui venge son père il n'est rien d'impossible. Ton bras est invaincu, mais non pas invincible. LE COMTE Ce grand coeur qui paraît aux discours que tu tiens Et croyant voir en toi l'honneur de la Castille, Mon âme avec plaisir te destinait ma fille. Je sais ta passion, et suis ravi de voir Que tous ses mouvements cèdent à ton devoir ; J'admire ton courage, et je plains ta jeunesse. Trop peu

mélodieux. Alphonse de LAMARTINE L'arbre Tout seul,  Que le berce l'été, que l'agite l'hiver,  Que son tronc soit givré ou son branchage vert,  Toujours, au long des jours de tendresse ou de haine,  Il impose sa vie énorme et souveraine Aux plaines. Il voit les mêmes champs depuis cent et cent ans  Et les mêmes labours et les mêmes semailles ; Les yeux aujourd'hui morts, les yeux  Des aïeules et des aïeux  Ont regardé, maille après maille,  Se nouer son écorce et ses rudes rameaux. 

vallée de l'Arno, près de Florence. De cette œuvre ressort son intérêt pour les phénomènes naturels : fleuves, lacs, plantes ainsi que sa maîtrise d'un style simple. Il y a peu de perspective a part quelques grilles simulant les champs au loin dans la plaine par un quadrillage perceptible, le premier plan étant celui d'une hauteur et d'un éperon rocheux, d'un bourg fortifié. Il montre son ingéniosité, parce qu'il a dessiné le paysage de telle sorte qu'il paraissait vraie. Personne avant lui n'avait procédé

catholique." Un barrage contre le Pacifique, Marguerite Duras La mère, dont on ne saura jamais le nom, est une vieille femme usée et malade. Elle vit dans sa concession (pouvant être défini comme le lieuqui la nuira jusqu’à sa fin) de la plaine de Ram en Indochine avec ses deux enfants : Joseph, vingt ans et Suzanne, dix-sept ans, qu'elle voit grandir et dont elle sait le départ inéluctable. Cetteconcession est le drame de sa vie. Elle y a investi ses économies de quinze années de sacrifices

légère (appareillé) · Difficulté à bougé le bras droit suite à une fracture du col huméral.· Degré d’autonomie (score d’évaluation de l’autonomie, mode de déplacement, déplacement seul ou avec aide, matériel d’aide au déplacement nécessaire…) : Mme AB ne doit pas avoir d’appui sur sa jambe gauche, sa mobilisation se fait avec un guidon de transfert ReTurn. Elle mange et boit sans aides. Elle est autonome pour la toilette du haut de son corps(le visage, les bras et les aisselles et au dessous des seins)

obstacle à la circulation. 2 plateaux : le plateau de Cumberland à l'ouest (charbon) et le Piedmont à l'est (hydroélectricité). La côte atlantique est ensablée au sud et déchiquetée au nord ce qui a permis l'installation de grands ports. B. Les grandes plaines centrales Monotonie. 5 grands lacs navigables nés de glaciers qui ont déposé des limons enrichissant le sol et permettant de l'élevage et de la culture. Présence d'anciens massifs minéralisés : monts Ozark. Grand fleuve de 6200 km : le Mississippi

l'enfance, qu'y avait-il alors qu'il n'y a plus ? Plaines ! Pentes ! Il y avait plus d'ordre ! Et tout n'était que règnes et confins de lueurs. Et l'ombre et la lumière alors étaient plus près d'être une même chose... Je parle d'une estime... Aux lisières le fruit pouvait choir sans que la joie pourrît au rebord de nos lèvres. Et les hommes remuaient plus d'ombre avec une bouche plus grave, les femmes plus de songe avec des bras plus lents. ... Croissent mes membres, et pèsent,