Brassard

portant l'uniforme des SA. Sa taille est exagérée par rapport au soldats derrière. Il exprime un visage sans expression, et il paraît déterminé. Il tient dans sa main droite le drapeau nazi comportant la croix gammé, symbole que l'on retrouve sur son brassard sur son bras gauche. Hitler montre qu'il va vers l'avant, les rayons du soleil l'illumine. Derrière Hitler, on peut voir le peuple en uniforme SA également. On ne peut pas voir distinctement les visages des soldats, on distingue simplement leur

« dit » + phrases courtes qui montrent une pensée peu élaborée . c- Un étranger -on note une volonté de respecter les codes sociaux avec modalisateur : « il a fallu » + soucis du respect des usages : « je pourrai veiller », « cravate noire », « brassard ». -mais il reste tout de même étranger aux sentiments qui accompagnent ces codes sociaux car il n'essaye pas de paraître triste. CONCLUSION Cet extrait de l’Étranger présente un personnage en apparence assez simple mais qui devient plus complexe

ouvrier peut faire plein de taches) - Le salarié est soumis à un travail dur et à un « patriotisme d’entreprise » - Contrepartie : emplois à vie, perspectives de promotions, hausse régulière des salaires, grèves justes symboliques (ex : port du brassard rouge mais pas d’absence). III. Les résultats Globalement positifs - Croissance de 10%/an durant les 30 Glorieuses. - Economie qui progresse rapidement avec le « vol d’oie sauvage » = de plus en plus de plus-value (textile => sidérurgie =>

stationnement sécurisé, la distribution de cartes des itinéraires piétons et cyclables du secteur. La négociation avec les commerçants locaux, comme les associations location vélo, des tarifs à l’achat ou des avantages. En distribuant des kits (brassards, casque …) - L’utilisation des transports en communs : Informer via intranet sur les transports en communs, vendre sur place des tickets de transports en communs, participer aux abonnements domicile-travail et aux titres pour les déplacements

année de la mort de sa femme.   Céleste : propriétaire d’un restaurent où Meursault avait l’habitude d’aller manger.   Emmanuel : c’est le collègue de service de Meursault avec qui il mange souvent.C’est avec lui que Meursault a emprunter le brassard noir et une cravate noire pour aller à l’enterrement de sa mère.     PERSONNAGES SECONDAIRES   Monsieur Massan et sa femme : Ce sont les amis de Raymond.Ce sont eux qui ont invité Raymond, Meursault et Marie à la plage.Monsieur Massan est grand

1964: Johnson signe le Civil Rights Act, qui abolit la ségrégation aux États-Unis. iDéveloppement : Description : Sur cette représentation, nous pouvons voir Ruby aller à l’école avec ses quatre agents fédéraux reconnaissables par leurs brassards jaunes. Ils marchent tous d’un pas décidé : les poings serrés. Sur le mur, nous pouvons apercevoir des insultes : les trois K du KKK qui signifie être raciste, le mot NIGGER qui était un terme dépréciatif utilisé par les marchands d’esclaves et les

vie d’aujourd’hui. -4- Une ville pour décor Pour mieux s’approprier l’histoire qui va se jouer sous leurs yeux, et pour en mieux ressentir la grandeur et la beauté, les spectateurs sont invités à jouer leurs propres rôles : brassards jaunes pour les Républicains, brassards bleus pour les partisans du Duc. D’un lieu à l’autre (le spectacle est donné sur deux ou trois lieux différents : par exemple une place, un croisement, une ruelle…), ils se déplacent selon les indications des comédiens et de l’équipe

scène historique, installation, vidéo, film, architecture…) ? Portrait collectif | Qu’est ce qui est représenté ? juifs squelettiques tous agglutinés dans une salle. Le conteneur en bas à droite est marqué Zyklon B, on peut voir juste à côté un brassard juif. Ils semblent prier, pleurer, crier. On peut voir la lumière éclairant le personnage central comme si il demandait « pourquoi ». De plus on voit les vagues de fumée du gaz appelé « zyklon B » normalement utilisé pour les animaux. | Quels

touchant et fort, mais il ne montre pas ses émotions et il ne parle pas de ses sentiments  présentation factuelle (l. 1) »maman« Il montre l’amour pour sa mère (l. 18-20) »Il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard« Il s’habille bien pour l’enterrement de sa mère  il respecte le code On dirait que les autres sont plus touchés par la mort de sa mère que lui-même. (l. 16-17) »Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi (...) « La seule émotion qu’il décrit

qu 'elle ne regarde pas la foule. L'accent est mis sur son innocence en contraste avec la violence qui l'entoure.. Je rappelle que cette petite fille n'est là que parce que la loi l'autorise.La loi est rappelée par les touches de jaunes (la règles,le brassard des Marshall) Les quatres hommes qui l'entoure font allusion à la déségrégation grace a leurs costumes gris.On ne voit pas leurs visages, ils restent ainsi anonyme cela est volontaire de la par de l'auteur afin que l'attention du spectateur se concentre