Bret Easton Ellis

carrefully. The second part is links to a novella called "How to become someone" from a book titled "Tales on ecstasy" written by Frederic Beigbeder, a famous french novelist.His work of "double narration" is often compared with the work of Bret Easton Ellis in France. In this novella, the narrator is a a drunk, racist an depressive limousine driver.The two clients in his car during the action are Princess Diana and Dodi Al-Fayed the night of their death.It's a really strong text, very controversial

et méfaits de la publicité et de la société de communication sont désormais bien commentés et répertoriés dans des livres tels que « 14.99 » Euros (anciennement 99 francs) de Frédéric Beigbeder, « No logo » de Naomi Klein, ou « Glamorama » de Bret Easton Ellis. Il manquait cependant la « société de consommation de soi », le livre de Dominique Quessada, pour répondre à plusieurs questions de fond, peu abordées par les ouvrages précédents : pourquoi et dans quelles conditions, historiquement, la publicité

témoigne pas pour autant de la bonne santé de la personne, de la même manière qu'un masque cache les défauts mais ne les fait pas disparaître pour autant (éventuellement un exemple de bonne adaptation "à priori" : le livre "American Psycho" de Bret Easton Ellis). Enfin: le danger inhérent à cette approche sociale, vous l'aurez compris, est que n'importe qui peut définir ce qu'est la normalité, selon sa propre appréciation. Pour citer BERGERET : " Si la "normalité" devient relative à un idéal collectif

I- Images données de Jérôme Kerviel A- L'Evolution de l'image des trader Lors des années 80, le trader avait l'image du golden boy aux mœurs décadents, imprimée par Bret Easton Ellis dans American Psycho. Depuis ces années, l'image des traders a évolué, il est estimé comme un « super héros » prenant des risques importants, mais également comme un véritable ingénieur financier, ayant obtenu les meilleurs diplômes. L'affaire Kerviel à révolutionné la vision du grand public sur le métier

a également l’existence du cas contraire, une surestimation de soi peut amener à une réfutation des critiques subies, cela peut également amener à une recherche de la supériorité envers l’autre, par exemple, dans le livre American Psycho de Bret Easton Ellis, écrit en 1991, nous retrouvons un jeune personnage (Patrick Bateman) étant riche, intelligent et populaire, qui a une grande confiance et estime en lui-même. Ce personnage va jusqu’à tuer les personnes le remettant en cause, il s’agit bien

qu'il se lasse très rapidement, repoussant les limites à chaque fois. American... psycho ou pas ? La véracité des événements, en particulier les crimes et autres, relatés dans le roman est discutable. C'est même le point d'orgue du livre. Ellis a visiblement voulu brouiller les pistes et l'a si bien fait qu'aujourd'hui encore, deux camps s'affrontent : les partisans Bateman psychopathe contre celui du Bateman mythomane. Je me situerai dans le troisième camps du « ni l'un, ni l'autre » ou

Dr Dre). (Internet avec les différents sites et moteurs de recherches d’origine américaine. (L’influence des élites culturelles comme les universités, les bibliothèques, les maisons d’éditions, les musées… (Ex : le Best seller américain de Bret Easton Ellis, American psycho). La force de la culture américaine réside dans sa capacité à promouvoir une idéologie dominante (Bill Gates). Ils ont aussi des contestations et des critiques (Michael Moore). III) Les fragilités de la puissance américaine :

Renaudot 1965) * TAYLOR Kressmann : Inconnu à cette adresse (1938) - 60p Bouleversant, à lire obligatoirement(présenté dans les écoles) * Van CAUWELAERT Didier : Un aller simple (1994) - 120p Attachant des étrangetés littéraires * ELLIS Bret Easton : Moins que zéro (1985) - 249p (dispo/Biblio. Papeete) Bon, il faut surement l’avoir lu… c’est intéressant pour comprendre la jeunesse californienne friquée et perdue des années 80 (quoi qu’en dise Pascal Obispo), mais ce n’est pas toujours

évolutions à l'œuvre dans la société inspirent les écrivains du début du siècle, ces derniers restent hantés par les expériences dramatiques du xxe siècle, comme le montre par exemple le succès des Bienveillantes de Jonathan Littell et les romans de Bret Easton Ellis. La guerre de 14-18 : différence de point de vue des personnages dans la littérature du 21ème siècle. Shoah : L'anéantissement des Juifs par le nazisme restera pour l'Histoire la marque distinctive du XXe siècle. Même si celui-ci a connu

Tennessee Williams, Un tramway nommé Désir (1947) J.D. Salinger, L’Attrape-cœurs (1951) Harper Lee, Ne  tirez  pas  sur  l’oiseau  moqueur  (1960) Truman Capote, De sang froid (1966) Nabokov, Lolita (1955) *Toni Morrison, Beloved (1987) Bret Easton Ellis, American Psycho (1991) Philip Roth, La Tache (2000) Allemagne et monde germanophone *Goethe, Les Souffrances du jeune Werther (1774) ou Faust I (1808) Lessing, Nathan le sage (1779) ETA Hoffmann, Contes (1814-1820) Heinrich Heine, poèmes