Britannicus Acte 1 Scène 4

GRUMBERG mise en scène GILDAS BOURDET collaboration dramaturgique Anny PERROT décors Gildas BOURDET & Edouard LAUG lumières Jacky LAUTEM costumes Christine RABOT-PINSON avec, Nathalie HUGON, Daniel LANGLET, Nicole DUBOIS, Sylviane GOUDAL, Monique MAUCLAIR, Pascal NAWOJSKI, Cécile O'CAIRN, Claire BEAUDOIN, Michel VALMER et Pierre Stéfan MONTAGNIER. 4 " M o l i è r e s " 1 9 9 9 : Révélation Théâtrale Féminine : Marie-Christine ORRY Meilleur Metteur en Scène : Gildas BOURDET

PHEDRE de RACINE Phèdre est une tragédie : – en 5 actes (comportant respectivement 5, 6, 6, 6, 7 scènes) et – en vers (1 654 alexandrins) de Jean Racine représentée le 1er janvier 1677 à l’Hôtel de Bourgogne. Phèdre signifie "Lumière" en Grec est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de 12 ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la religion. Une nouvelle fois, il choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains. Le roi

de Jean Racine mise en scène, dispositif scénique et chorégraphique de Faustin Linyekula Assistant à la mise en scène, Maurice Papy Mbwiti Musique, Flamme Kapaya avec Bruno Raffaelli, Arsace, Phénice et Paulin Céline Samie, Antiochus Bakary Sangaré, Titus Shahrokh Moshkin Ghalam, Bérénice Coproduction : Comédie-Française, Studio-Théâtre, théâtre2gennevilliers-Centre Dramatique National de Création Contemporaine. spectacle créé du 26 mars au 7 mai 2009 au Studio-Théâtre de la Comédie-Française.

Phèdre, Jean Racine, acte I scène 3 (Tirade de Phèdre) Introduction : Au XVIIIe, mouvement du classicisme s’étend en France et en Europe. Touche tous les arts ; né par opposition aux excès du baroque ; retour aux sources antiques  perfection ; cadres et codes stricts ; rigueur, harmonie, art épuré. Volonté de trouver équilibre dans un siècle politiquement trouble (Fronde, guerres). Illustrer grandeur de France dans Europe, et celle de Louis XIV. Génération d’artistes parfaitement insérés dans

de morale sociale. Pas de sectarisme. Pas de fanatisme. Car : éviction du Clergé : relation personnelle et directe avec le créateur. « C’est à toi Dieu » Les Lumières Texte III L’île des esclaves Marivaux 1725 Scène 3 extrait « Venons maintenant à l’examen …» Marivaux est né en 1688 à Paris. Il est au parti des modernes. Son 1er succès fut en 1720, lors de la publication de Arlequin poli par l’amour. Il invente un langage : le marivaudage, ce qui est en rapport

nous le présente dans sa lutte avec la volonté, dans ses hésitations. Nous aurons la possibilité d’entrevoir l’amour en tant que l’émotion qui rend l’homme faible et par conséquent violent. Nous analyserons les tragédies suivantes : Andromaque, Britannicus, Mithridate, Bérénice, Iphigénie et Phèdre ne laissant de côté que Bajazet en raison de son thème exotique. Nous allons omettre les deux premières pièces également, Alexandre le Grand et Thébaïde, puisque nous considérons Andromaque comme une œuvre

inspirées de l’antiquité…………….p 4 * Que faut –il savoir de la tragédie classique ?……………..p 5 * Que faut-il savoir de la comédie classique ?....................p 6 * Les conditions de la représentation………………..p 7 * Biographies succintes des cinq dramaturges majeurs….p 8, 9,10,12 * Quelques vers à retenir dans les textes étudiés…………..p 13 * Petit lexique du genre théâtral…………..p 14 Tragédie antique Sophocle Euripide 1) Signification La tragédie

L'important succès de la tragédie Andromaque, placée sous la protection de Madame Henriette d'Angleterre, en 1667 assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus en 1669, Bérénice en 1670, qui est l'occasion d'une joute théâtrale avec Corneille dont la pièce est Tite et Bérénice (c'est Racine qui l'emporte indéniablement), Bajazet en 1672, Mithridate en 1673, Iphigénie en 1674 et Phèdre en 1677. Ébranlé

Racine s'éteint à Paris le 21 avril 1699, à l'âge de 59 ans. Le genre tragique au XVIIe Qu’est-ce qu’une tragédie ? C’est une pièce de théâtre écrite en vers dont le sujet est le plus souvent emprunté à la légende ou à l’histoire, mettant en scène des personnages illustres (rois, princes, etc.) avec un destin exceptionnel et malheureux, sans autre issue possible que celle de la pièce. But de la tragédie Émouvoir et instruire le spectateur, provoquer sa terreur et sa pitié par le spectacle des

té / qui / des / cend " 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Pour scander un vers, il faut tenir compte des liaisons. La consonne finale d'un mot qui sert de liaison avec le mot suivant fait partie de la syllabe du mot suivant : "Les / pas / lent / s et / tar / difs / de / l'hu / mai / ne / Rai / son" 1 2 3 4 5 6 7 8