Britannicus

appartiennent au registre tragique. Romand est tel un personnage tragique, pour lequel on ressent une certaine sympathie, de la pitié. Emmanuel Carrère, à travers son travail d’écriture, ne fait donc pas de romand le diable, mais en quelque sorte un Britannicus. La monstruosité du personnage est ainsi renforcée par une apparence des plus normales. Le personnages qu est Jean-Claude Romand semble normal, anodin, familier. Il fait de la peine, est gêné. Cela choque et fait peur, car il a l’image de « Mr tout

C'est un échec. En décembre, la Du Parc meurt empoisonnée dans des circonstances mystérieuses. En 1669, à ses 30 ans, il écrit Britannicus. Racine a appris le latin, le grec et la rhétorique (l'art de bien parler). Jusque-là, Racine a emprunté les sujets de ses tragédies à l'Antiquité grecque, à laquelle Pierre Corneille n'avait pratiquement pas touché. Avec Britannicus, Racine décide de défier son rival vieillissant sur son terrain de prédilection : L'Antiquité romaine. Corneille est célèbre pour

tyran nait dans le théâtre antique avec la tragédie grecque. Comme exemples nous pouvons citer Agamemnon de Eschyle, ou le tyran est Clytemnestre la femme de Agamemnon. On retrouve ensuite le tyran dans la tragédie classique (XVIIème siècle) avec Britannicus et Andromaque de Racine. Dans la tragédie grecque et classique les tyrans se ressemblent : ils tuent souvent par passion, par vengeance, la tragédie doit inspirer terreur et pitié. Plus tard dans le temps, on retrouve a nouveau l’image du tyran

a un personnages caché sur la scènes alors que le deuxièmes personnages ignore sa présence, le personnages caché peut découvrir les pensées du personnages qui parle. Dans la tragédie Brittanicus,Narcisse joue un double jeu auprès de son maître Britannicus .Le spectateur se rends alors compte des réelles intentions du tyran.Le Personnages du traître relèves la cruauté d’un empereur fou. Le Double jeu permet de mener un terme à l’intrigue car cela force le personnages à passer à l’acte.Il est obligé

OBJET D’ETUDE : LE THEATRE ------------------------------------------------- Britannicus, Racine ------------------------------------------------- Acte II, scène 2 Introduction : La scène présentée est l’acte II, scène 2 de la tragédie classique Britannicus écrite en 1669 par un grand dramaturge français Racine formé au Jansénisme. Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe en Europe dans la deuxième moitié du XVIIème siècle qui recherche la perfection dans le style d’écriture

proclamé empereur au détriment du fils naturel du défunt, Britannicus. Encadré par Burrus, préfet au prétoire et par le philosophe Sénèque, Néron reste sous la tutelle de sa mère. Il s'intéresse davantage à la poésie qu'à l'Empire et ces premières années de règne sont plutôt bénéfiques. Toutefois, Néron semble prendre peu à peu conscience de sa position. Pour mettre fin à la pression de sa mère, qui menaçait de se tourner vers Britannicus, Néron fait assassiner ce dernier (55) avant de faire exécuter

SCÈNE 6. (extrait) Junie, Britannicus, Narcisse. BRITANNICUS.5Vous ne me dites rien ? Quel accueil ! Quelle glace ! Est-ce ainsi que vos yeux consolent ma disgrâce ? Parlez. Nous sommes seuls. Notre ennemi trompéTandis que je vous parle est ailleurs occupé. Ménageons les moments de cette heureuse absence. JUNIE.Vous êtes en des lieux tout pleins de sa puissance. Ces murs mêmes, Seigneur, peuvent avoir des yeux, Et jamais l'empereur n'est absent de ces lieux. BRITANNICUS.1015Et depuis quand, Madame

alors dénouée. Ces événements se répartissent en actes (cinq dans la tragédie et dans la grande comédie) et en scènes. Exercice autocorrectif n° 3 Voici, par exemple, la liste des personnages et le résumé de l’action d’une tragédie de Racine, Britannicus. Vous allez reconstituer l’intrigue sous forme de schéma. Les personnages : Agrippine, la mère de Néron, qui a porté par l’intrigue et le crime son fils Néron à la tête de l’empire. C’est elle qui en fait exerce jusque-là le pouvoir ; au début de

religieuse, Racine commença à écrire ses premières pièces au cours des années 1660 (Alexandre le Grand, 1665, etc.). Mais c'est véritablement en 1667, avec la pièce Andromaque, que le jeune homme rencontra le succès. Les pièces qui suivront, comme Britannicus (1669.), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677), feront de Racine un grand nom du théâtre tragique. Racine meurt rue des Marais-Saint-Germain à Paris (Paroisse Saint-Sulpice) le 21 avril 1699[5], à l'âge de cinquante-neuf ans, des

Arthur ManganeArgumentation Théâtrale Le lundi 28 janvier, mes camarades et moi-même jouons une des tragédies emblématiques de Racine : Britannicus. Les consignes étaient de jouer par binôme ou plus et d’interprété en changeant complètement d'univers. Il fallait quitter la Rome antique pour jouer dans une autre époque une autre civilisation ou même dans une fiction tout en adaptant le jeu d'acteur. La scène interpréter était l'affrontement entre Néron et Juni de la scène 3 de l'acte