Broderies

l’Incarnation eu à faire face dès son arrivée, fut celui de la langue. Aussi, s’empresse-t-elle d’apprendre l’Algonquin et le Montagnais afin d’entrer en contact avec ces peuples amérindiens et de pouvoir leur enseigner. Les religieuses enseignent la broderie et les Amérindiennes ont tôt fait d’apprendre ces nouvelles techniques en utilisant des matériaux qui leur sont propres : écorce, peau, poil de castor, etc… Mais les Amérindiennes apprennent également aux religieuses leurs formes d’art, leur manière

Poignée renforcée, bandoulière amovible Nouvelle poche centrale de rangement pour balle (grande capacité) ainsi que deux nouvelles double- poches pour rangement accessoires et vêtements Convient aux driver 50’’ Personnalisable par un flocage ou une broderie • • HYbRId HC 7 Réf/ bb-95403 • • • • • • • • Sac de voyage Coque ABS dure pour résister aux chocs Roues de traction intégrées Sac 7.5’’ – 3 compartiments Pour faciliter l’alignement du capuchon au montage, le sac est équipé de guides Clips

ch/ursp/activites/publications/ursp_publ/03_110_surdoues_kd/URSP_110_03_surdoues_ok.pdf, Consulté le 20 février 2011 Arenilla (Louis), Rolland (Marie-Claire), Roussel (Marie-Pierre) , Gossot (Bernard), Dictionnaire de pédagogie et de l’éducation, éd. Bordas, 2007, p. 132 Morandi (Franc), La Broderie (René), Dictionnaire de pédagogie, éd. Nathan, 2006, p. 256 6.2 Images http://www.gettyimages.ch/detail/108225232/Vetta, Consulté le 17 janvier 2011 http://www.douance.org/img/bellcurve.gif, Consulté le 20 février 2011 --------------------------------------------

se forment. « Amour » et « saisons » sont pour l’auteur deux mots complémentaires : les nouvelles saisons sont à l’origine des nouveaux couples. Le Printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie Et s'est vêtu de broderies, De soleil luisant, clair et beau.   Il n'y a ni bête, ni oiseau Qu'en son langage ne chante ou crie « Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie ».   Rivières, fontaines et ruisseaux Portent en livrée jolie, Gouttes

selon les circonstances1 : la mitre auriphrygiate, appelée aussi mitre précieuse ou dorée, en drap d'or ou d'argent, parfois en soie blanche, doublée de soie rouge et rehaussée de broderies et de pierres précieuses ; la mitre orfrayée, en drap d'or ou en soie blanche brochée d'or, doublée de soie rouge, sans broderies ni pierres précieuses. Elle peut être ornée de petites perles. On l'emploie aux temps de l'avent et du carême et dans les autres liturgies qui ont un caractère pénitentiel ; la mitre

et le calcule font également parti du savoir qu’une jeune fille doit avoir. On parle d'ailleurs de la règle « Les trois R» qui sont «Reading, Riting and Reckoning». De plus, une jeune fille de l’époque, doit maitriser l’art de la dentelle, de la broderie, du point de croix. L’apprentissage des langues est également fondamental, on doit évidemment parfaitement maitriser le français, mais aussi l’allemand et l’italien. Les arts plus créatifs comme le dessin, l’aquarelle, le chant, la danse et le piano

paysage décrit. On a champ lexical de la banalité « même », « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune. L'apparition d'une « négresse » est banale à cette époque. 2. Un point de vue qui transfigure la scène Le passage alterne récit descriptif et narratif. Pratiquement dans toutes les séquences descriptives, on a une focalisation

phrase « Les gens libre, bien nés, bien instruits, conversant en compagnie honnête ». Une des valeurs humanistes présente dans le texte est la diversité des savoirs et des pratiques : les femmes pratiquent des activités raffinées telles que la « broderie », pendant que les hommes montent « à cheval » et apprennent « à manier toutes sortes d'armes ». D'autre activités sont ainsi présentées : « lire, écrire, chanter, jouer d'instruments de musique, parler cinq ou six langue ». Cette accumulation représente

: relevez dans ce poème des rejets ou des enjambements et demandez-vous quels effets ils produisent.II. Un monde familierLe poème Les femmes suggère par touches et allusions le monde quotidien, les activités banales (préparation du café, couture, broderie, chasse), le décor apaisant (le feu du poêle, le chat...) et les personnages familiers (prénoms, présence de l'article de notoriété devant certains noms : le facteur, le sacristain, la fille du vieux bourgmestre). Et même lorsque les peines de l'amour

rural s’opposent à la critique de leurs voisins. Dans cette opposition Fénelon dévoile et appuies les valeurs très superficielles du peuple attenant. La superficialilté et l’inutilité de ses valeurs est mise en avant, il parle d’ « étoffes ornées de broderies et de pierres précieuses » de « parfums exquis, des mets délicieux » ou encore « des instruments dont l’harmonie charme ». La cible est ici Louis XIV et sa cour, Versailles dans sa globalité. L’aspect superficiel de cette façon de vivre est contradictoire