Bronzino

'Hommes
 illustres,
 tirés
 de
 l'Antiquité
 et
 de
 la
 littérature
 chevaleresque,
 en
 allant
 jusqu'aux
 tombeaux
 des
 Médicis
 sculptés
 par
 Michel‐Ange
 dans
 la
 chapelle
 de
 San
 Lorenzo
 à
 Florence,
 ou
 Cosme
 Ier
 en
 Orphée
 par
 Bronzino...
 En
 3°
 pouvaient
 être
 analysés
 :
 l'insertion
de
la
généalogie
des
Angevins
dans
une
page
de
la
Bible
d'Anjou
(ou
le
retable
 de
Simone
Martini
avec
s.
Louis
de
Toulouse
couronnant
son
frère
Robert,
etc.),
la
pala
 de
Brera
de
Piero
dell

maniérisme implique une pratique intensive du dessin et un goût pour la déformation. L’œuvre d’art compose alors un espace désuni, privilégie une certaine acidité de la couleur et des codes iconographiques complexes. Le maniérisme représenté par Vasari, Bronzino Andrea Del Sarto, Jules Romain, Parmesan ou Le Corrège, affectionne particulièrement la ligne serpentine et rompt délibérément avec l’exactitude des proportions. Rome Siège de la papauté, Rome devient au début du XIVe siècle, avec les pontificats

Titien (1488 – 1576) Le maniérisme : -perte de clarté et de cohérence de l'image -multiplication des éléments et des plans -déformation et torsion des corps -recherche du mouvement -quelques représentants du maniérisme: Pontormo (1494 – 1557); Bronzino (1503 – 1572); Tintoret (1518 – 1594); Véronèse (1528 - 1588) ; Cellini (1500 – 1571); Palladio (1508 – 1580) La Renaissance est aussi marquée par des guerres, comme les guerres d'Italie, entre 1493 et 1559 ou les guerres de religions qui ont

entre 1520 et 1600, il se caractérise par l’emploi de couleurs vives, de compositions très élaborées, de formes exagérées et de mouvements dramatiques. L’origine du mot est maniera signifiant élégance, grâce, assurance et harmonie. Jean de Bologne, Bronzino, Cellini, Le Gréco, Parmigianino, Pontormo, Le Tintoret BAROQUE Ce style apparaît en Italie à Rome au 17ème siècle et s’étend à toute l’Europe jusqu’au 18ème siècle. L’origine du mot vient de l’italien « barocco » qui veut dire bizarre voire toqué

volontiers le modelé rigide – voire sculptural – des maniéristes florentins inspirés de Michel-Ange (Pontormo, Bronzino, etc.) au modelé souple des coloristes vénitiens (Giorgione, Titien, etc.), mais cette opposition est peut-être un peu forcée: de récentes restaurations incitent à penser qu’un modelé rigide et même sculptural n’empêche pas le personnage de paraître vivant et même sensuel (Bronzino) et qu’un modelé souple mettant en valeur la sensualité du visage ou du corps n’est pas incompatible avec

« une seconde chance à ces marchands qui n’ont pas eu accès à la culture classique »36. Elle était consacrée à la poésie, à la philosophie puis aux sciences36. Ses principaux fondateurs furent Niccolò Martelli, Luigi Tansillo, Annibal Caro et le Bronzino. Réunis autour de Giovanni Mazzuoli da Strada par une même admiration pour Dante et Pétrarque, une commune passion pour les lettres, leur but était de défendre l'utilisation de la langue florentine. À la suite d'une rencontre entre Jacques Peletier

d’Autriche et de Mazarin (1643-1661) marquée par la Fronde (1648-1653). * Le règne de Louis XIV (1661-1715) marqué par la révocation de l’Edit de Nantes (1685). Portrait de Henri IV, Frans Pourbus le Jeune. Portrait de Marie de Médicis, Agnolo Bronzino. Portrait de Louis XIII, Philippe de Champaigne. Portrait d’Anne d’Autriche, Rubens. Portrait de Louis XIV, Hyacinthe Rigaud. Le régime politique appliqué en France est la monarchie absolue, c’est-à-dire que tous les pouvoirs sont concentrés

détail ? L’archaïsme des vases grecs et des primitifs italiens et le naturalisme des Flamands ? Son classicisme affiché et son attirance secrète pour des formes d’art pré et postclassiques ? Les Anciens, Raphaël, Poussin, Giotto, Masaccio, Holbein, Bronzino ou l’école de Fontainebleau ? Le sculpteur Préault appelait Ingres un « Chinois égaré dans Athènes » ; Baudelaire écrivait qu’il est « flamand dans l’exécution, individualiste et naturaliste dans le dessin, antique par ses sympathies et idéaliste

jouir du plaisir esthétique qui est le plaisir artistique à son point d’acmé. Tout ce qui compte désormais sont les formes, les couleurs qui causent du plaisir au spectateur. Le cas le plus emblématique est celui du Triomphe de Vénus peint par Bronzino en 1545 et conservé à la National Gallery de Londres. Cupidon serre le sein de Vécus dans un mouvement érotique. À l’arrière plan, un putto s’apprête à lancer une poignée de pétales de rose. S’instaure alors une scène de dialogue, mais il est

flot de remarques sur le moderne alors que Coriolis lui avoue qu’il en a fini avec la « truquerie ». Les considération du peintre sur l’habit noir vont dans cette idée : « On vous jette toujours ça au nez, l’habit noir ! Mais s’il y avait un Bronzino dans notre école, je réponds qu’il trouverait un fier style dans un Elbeuf. Et si Rembrandt revenait… crois-tu qu’un habit noir peint par lui ne serait pas une belle chose ?... »[12] Chassagnol, comme les frères Goncourt, pense qu’un habit noir