Bulle pontificale

Fiche technique macro-économie Les bulles spéculatives, un principe de marché ? La première bulle spéculative de l’histoire date de 1637 : c’est la tulipomanie (« crise de la tulipe »). Elle désigne l'augmentation démesurée, suivie par l'effondrement des cours de l’oignon de tulipe dans le nord des Provinces-Unies (actuelle Hollande) au milieu du XVIIe siècle. Au plus fort de la tulipomanie, en février 1637, des promesses de vente pour un bulbe se négociaient pour un montant égal à vingt fois le

spéculation sur le cours des bulbes de tulipes aux Pays-Bas, les prix s'effondrent brusquement provoquant la ruine de nombreux spéculateurs. Cet épisode concernant le marché de la tulipe est considéré par certains historiens comme le premier exemple de bulle spéculative économique et financière de l’histoire. 1720 Krach de 1720 Actions En 1720, à quelques mois d'intervalle, deux crises financières interviennent en France et en Angleterre concernant les titres de compagnies exploitant les ressources

Les variables financières ont également des effets sur les fluctuations économiques. Ainsi, en période d’expansion, les agents économiques s’endettent et ont des comportements spéculatifs. La valeur des titres financiers augmente, provoquant une bulle financière qui finit par éclater et provoquer un krach financier. Dès lors, l’activité économique ne peut plus être financée. C’est ce qui génère une récession, et parfois une dépression, comme c’est le cas aujourd’hui dans certains pays de l’Union

Anticipations de marché : rejet de l’hypothèse d’anticipations rationnelles Exemple des consensus de marché vis à vis de tendance future : pour un investisseur il est plus important de réaliser des profits que de suivre un comportement rationnel (cf. bulle spéculative) 4. Comment expliquer de tels comportements ? Absence de modèle de référence Coûts de l’information (acquisition, traitement…) Même si un modèle existait, si le coût et le temps d’utilisation est prohibitif

(mimétiques)   d’anticipation   hausse   actifs   =   formation   auto-­‐ réalisatrice  bulle  spéculative  qui  finit  par  éclater  =  krach  boursier  (panique),  puis  crise  financière  (effet  domino),  crise   économique  (récession).  (/1,5)   -­‐ Vocabulaire   économique   mobilisé   :   crise   financière/économique,   bulle   spéculative,   krach   boursier,   récession,   comportements   moutonniers   (ou  

gens s’en rendent compte puis tous s’écroule (c’est à ce moment que la bulle éclate), cela entraine la fin du crédit et de l’investissement, le chômage grimpe et la crise s’installe. Juglar et le seul économiste ayant travaillé sur les cycles à les séparer en trois phases : - expansion : tous les acteurs investissent, l’optimisme est général, la spéculation va bon train. - crise : la crise est là, la bulle vient d’éclater, tout s’écroule au moment où les acteurs se rendent compte

montant des intérêts versés augmente. Pour les ménages en capacité de financement, ( taux d’intérêt = ( rémunération de leur épargne. 2) Cet article date de 1994, or depuis les cours boursiers ont connu de multiples crises : effondrement de la bulle spéculative de la nouvelle économie = krach boursier sur les valeurs des entreprises de nouvelles technologies (les fameuses start up : sur le nouveau marché en France, sur le Nasdaq aux Etats-Unis) qui a entraîné la « ruine » de nombreux petits actionnaires

spéculation Al Iktinaz. En effet, les penseurs de cette branche considèrent que les fonds placés dans les produits financiers et bancaires classiques encouragent fortement cette oisiveté monétaire, car créant de multiples intermédiaires créant une bulle financière et privant ainsi les projets utiles d’accéder efficacement aux financements nécessaires ou rendant leur coût trop élevé. En effet, ils pensent que l’oisiveté monétaire et la spéculation ne sont pas seulement les sommes faramineuses cachées

relancer son économie, les Etats-Unis ont mis en place des crédits hypothécaires dédiée aux ménages les plus pauvres. Ce système économique à favorisé l’apparition d’une bulle financière immobilière. Les ménages se sont retrouvés avec des faibles salaires et se sont endettés à cause de l’augmentation des taux. Lors de l’éclatement de la bulle en 2006, les ménages se sont retrouvés avec des biens immobiliers valant moins que la valeur d’achat. Les emprunteurs ont vu le coût de leur crédit s’envolés à cause

auto-réalisatrices et rend les marchés instables. Si le dollar commence à baisser, j’ai intérêt à vendre pour limiter la perte. Malheureusement, par crainte, les autres agents vont avoir tendance à imiter ce comportement. On peut comme cela aller très haut (bulle spéculative) voire très bas (krach boursier), ces deux situations sont extrêmement dangereuses. Même si je suis persuadé que la baisse est absurde, je suis obligé de vendre sinon je risque de tout perdre. Keynes disait : « Il vaut mieux avoir tort