Bunraku

Aller à : Navigation, rechercher |Le théâtre de marionnettes Ningyo Johruri Bunraku * | | | |[pic] | |Patrimoine culturel immatériel

Ningyo Joruri Bunraku Théâtre de Marionnettes Japonais J’ai choisie ce sujet car je m’intéresse de près à la culture japonaise et j’ai appris que le théâtre était très présent au Japon. Les différents styles que j’ai pu découvrir sont le Kabuki, théâtre épique et populaire ; le nô, définit comme du drame lyrique ; le Kyôgen, théâtre de farce ; Et enfin le Bunraku, ou plutôt Ningyo Joruri Bunraku : le théâtre de marionnettes. J’ai été séduite par ce dernier genre car j’ai trouvé les techniques

théâtre javanais n'a pas d'autre répertoire. Non seulement les acteurs se déguisent-ils avec des costumes et des masques pour leur ressembler, mais en plus ils imitent avec beaucoup de soin leurs gestes si particuliers! La marionnette du japon: Bunraku Comme partout ailleurs, la marionnette au Japon plonge ses racines dans la religion. C'est vers le VIIe siècle qu'elle est arrivée dans ce pays, en provenance de Chine ou de Corée. Une tradition veut qu'un moine shinto manoeuvrait deux marionnettes

entièrement visible et intégrer sa manipulation au jeu théâtral. On pourrait considérer que le concept contemporain de la manipulation frontale et de la manipulation à vue provient de la tradition du théâtre japonais bunraku ou, du moins, qu'il est influencé par elle. * marionnette Bunraku : c’est une marionnette du théâtre Japonais Dans cette forme théâtrale, de très grandes poupées (1,2 à 1,5 mètre) représentant le corps humain tout entier, sont animées au moyen de courtes tiges et de fils par des

entendu les chants les chants et serait sortie de sa cachette découvrant les autres Dieux dansant au milieu de guirlandes de fleurs. Ce théâtre allie le théâtre, le chant et la danse. Il en existe quatre formes principales : * Le Kabuki * Le Bunraku * Le Nô * Le Kyôgen Ces quatre formes de théâtre sont différentes par leurs histoires, leurs interprétations, leurs décors, leurs habits de scène etc… I. Le Kyôgen a) L’historique du Kyôgen Le Kyôgen était à la base une forme de

luth à trois cordes, qui se joue avec un plectre et qui fut importé de Chine, en passant par les Ryukyu, vers le milieu du XVIe siècle.    L'association des marionnettes et du chant récitatif Jôruri accompagné au Shamisen donna alors naissance au Bunraku, théâtre de marionnettes. Le théâtre de Kabuki, chanté et dansé, incorpora des chants avec accompagnement de Shamisen tels que Kiyomoto, Tokiwazu et même créa un nouveau chant, plus long : Nagauta. La classe populaire s'engoua, à cette époque, des

homme, Mme de Saint-Fond peut être considérée comme une courtisane. Le Shimpa : beaucoup d'actrices le Nô : chœur chantant de 6 à 8 personnages, perruques, histoire racontant la folie d'un personnage à cause de la jalousie (Mme de Saint-Fond) le Bunraku : expressions dramatiques (pour Mme de Simiane au début de la pièce) le Shingeki : pièce mise en scène à la façon occidentale Les évènements de la pièce se déroulent au 18eme siècle : on y parle de la révolution, de Venise (en plein essor à

amoureux d’une courtisane. Envoûté par ses charmes, touché par les épreuves qu’elle a sut surmonté, il est rejeté par sa famille. En 1705, il se joigna comme auteur au Théâtre Takemoto à Osaka, qui présente des spectacles de marionnettes de type « bunraku ». Ces marionnettes réalistes, manipulées avec précision et raffinement, permettent une dramaturgie subtile et complexe. Jusqu’à la fin de sa vie Chikamatsu Monzaemon écrivit pour ce théâtre près de cent pièces. Si certaines furent épiques, comme

à être bien précis sur ce qu’on donne à comprendre et à entendre, on respecte le texte. » Philippe Car. Le travail sur ce Bourgeois Gentilhomme a énormément été influencé par la culture japonaise que l’on retrouve dans les marionnettes à tige du bunraku, dans les costumes, tissus et maquillages, dans le dohyo mis en place par la scénographie, mais aussi par tous les arts afférant au spectacle vivant : cirque, marionnettes, masques, arts martiaux, commedia dell’arte, mime, musique. L’articulation

Non encore créée en occitan, Médée l'a été deux fois en français, chaque fois de façon originale. Le théâtre de Mathieu a monté la pièce avec des marionnettes de taille humaine à la façon du bunraku japonais. Le théâtre des Amandiers de Jean-Louis Martinelli en a proposé en 2003 une mise en scène interprétée par des comédiens burkinabés (psaumes chantés en bambara sur une musique du Sahel par un choeur de griotes), qui a eu un succès national. La voix tragique de Médée chantait la poésie de l'errance