Bureaucratie

INCONVENIENTS Fonctionnement simple, en appliquant l’unité de commandement Responsabilités claires et définies Structure très cloisonnée, information peu partagée Coordination complexe entre les lignes hiérarchiques Initiatives bridées, risque de bureaucratie a.3 La structure hiérarchico - fonctionnelle Elle a été mise au point dans les années 70 aux USA et s'appelle le plus souvent "staff and line". Elle combine les avantages des deux modèles précédents: Il y a d'une part des cadres opérationnels

les deux hommes concernant l'extension de la révolution. La liquidation de l'opposition de gauche par Staline est racontée à travers le coup d'état de Napoléon, appuyé par les molosses (l'appareil policier est symbolisé par les chiens comme la bureaucratie est symbolisée par les cochons). Boule de Neige est expulsé. La suppression des assemblées générales du dimanche matin évoque la liquidation des derniers vestiges d'une démocratie ouvrière. Brille-Babil (le type du courtisan, de l'apparatchik)

concrètes de cette nouvelle façon de gérer la fonction publique? B) Les objectifs erronés? La loi du Good hart, dit que "toute mesure qui devient objectif cesse d'être une mesure" en effet paradoxalement le NMP mène a une augmentation de la bureaucratie car il faut bien contrôler, coordonner des données chiffrées donc la surveillance de l'administration mène a une nouvelle ère bureaucratique .........Ou de relation avec leur homologue. Une augmentation des missions traduirait-elle une augmentation

l’organisation. Il va ainsi définir « des idéaux type » c’est à dire des situations et constructions G. Lécrivain - Des ressources en management des organisations et en marketing : Managmarket.com 4 optimales qu’il convient de comparer à la réalité; la bureaucratie correspondra ainsi pour lui à « un idéal type » en matière organisationnelle. Son approche s’articule autour de l’analyse de l’autorité dans l’organisation et de sa légitimité (autorité reconnue et acceptée par chaque acteur de l’organisation)

la hiérarchie par le biais de la bureaucratisation des organisations. La mise en oeuvre de la bureaucratisation : Weber La société moderne est régie et dominée par la rationalisation, dont une des manifestation est la bureaucratisation. La bureaucratie se caractérise par « une hiérarchie claire de l'autorité, une spécialisation des tâches, un fonctionnement à base de règles et de procédures formelles »[2]. Il s'agit de remplacer des modes d'organisation basés sur les faveurs, les privilèges,

plus encore que dans tous autres pays, un système avant tout bureaucratique. 2.1. un modèle d’abord jugé idéal 2.1.1. une ambition de rationalité AB rappelle qu’historiquement le concept bureaucratique est valorisant. Max Weber a identifié la bureaucratie comme un modèle idéal reposant sur un pouvoir légal rationnel. Celle-ci est essentiellement monocratique, fondée sur la règle et la hiérarchie, caractérisée par la précision, la rapidité d’exécution et la stabilité. D’abord apparue dans les administrations

s'intéresse aux effets "sociétaux" produits par l'institution-entreprise. La force de la sociologie des organisations est sans doute due à cette capacité de dépasser les frontières du champ thématique qui est le sien" (Conclusion à la page 117)   I. La bureaucratie comme point de départ 1. Max Weber, 3 grandes formes d'autorité - L'autorité à caractère rationnel-légal - L'autorité à caractère traditionnel - L'autorité à caractère charismatique 2. Robert K. Merton : dysfonctionnements - fonctions

du personnel dans une organisation 4 1. L’école classique 4 a) Le Taylorisme et le management scientifique : 5 b) Ford et le modèle Fordiste de production :(Fordisme)  (1863-1947) 6 c) Le courant administratif de Fayol : 8 d) La bureaucratie Wébérienne : 8 2. L’école des relations humaines : 10 a) E.Mayo : Relations sociales au sein du groupe 10 b) Maslow et la hiérarchie des besoins : 11 c) La théorie des deux facteurs de Herzberg : 12 d) Douglas MC GREGOR : la théorie

à l’intérieur de la théorie des organisations pendant les 40 dernières années. Globalement, il s’agissait d’une opposition entre une doctrine appelée classique, prescrivant une forme d’organisation bureaucratique et une doctrine critique de la bureaucratie préconisant une forme d’organisation participative. Les textes de cette dernière doctrine sont aujourd’hui regroupés sous l’étiquette du Développement des Organisations. Jusqu’au milieu des années 50, la théorie classique est demeurée une approche

rien ajouter de fondamental à l’intérêt et à la portée des parties (3) Cet essai, qui a beaucoup contribué au succès international du livre qui, encore aujourd’hui, est lu et cité surtout comme un témoignage sur la société française et sur la bureaucratie à la française, doit beaucoup à l’expérience américaine de M. Crozier et notamment aux liens qu’il entretenait avec les intellectuels connaisseurs de la France de la côte Est des États-Unis. Voir le livre de S. Hoffmann et al. (1963), livre à peu