Burin

(marqueur) le stylo-pinceau le stylo roller Le stylo sert aussi d'outil en jonglerie, le niveau technique de la manipulation de stylo est en constante progression au niveau international. À l'origine, les tablettes étaient gravées avec un roseau ou un burin. Le premier outil que l'on pourrait rapprocher du stylo est le calame constitué d'un roseau taillé dans lequel l'encre s'écoule le long d'une petite fente. Au Moyen Âge, la plume d'oie, utilisée dès le ive siècle sur du papyrus, lui est progressivement

l’alignement de la fissure et du soleil. . L’œuvre Splitting à était filmé, photographié lors de sa création (montrer la vidéo) : 1) il découpe une tranche à travers toute la structure de la maison, la partageant en deux. 2) il casse les fondations au burin pour pouvoir abaisser la partie arrière de la maison. Qui forme une fissure centrale ou la lumière du soleil se répand dans toutes les pièces. 3) (fin de la vidéo) il fait une découpe d’angles droits dans les coins. . Il va produire une extension

mammouth, très stylée, elle a été découverte en 1922 en haute Garonne, elle est aujourd’hui conservée à Paris, au musée d’histoire de l’homme. 5. Ornement des grottes a. La gravure Graver : on tape sur un morceau de bois ou d’os ( comme un burin ) pour graver sur la pierre et faire des incisions profondes. Il y a aussi la possibilité de faire des raclages, qui laissent l’identification même de la forme, les hachures, elles, permettent de mettre en place le mouvement. Ils se servait aussi leur

une unité. La forme inclus une notion de changement ( le corps change). Ce qui est différent de l'idée de Platon. Il faut que la matière évolue pour rentrer dans la forme grâce à 4causes : 1. matériel : le marbre 2. efficiente : outil ( marteau, burin) 3. formel : forme que je veux donner 4. finale : intention, visée Conséquences : L'homme n'existe pas sans son corps Il intègre la notion de changement : un chose acquiert une forme qu'elle n'avait pas On remonte à la notion de l'infini

la repoussée osseuse autour de l’orifice. L’abcès étant revenu, une seconde trépanation fut effectuée. Et le patient survécut encore. Lorsqu’il voulait effectuer une trépanation, le « chirurgien « de la fin du Néolithique découpait à l’aide d’un burin en pierre une rondelle de l’os du crâne de la personne malade. LES TRAUMATISME S Dans cette pathologie, les lésions traumatiques tiennent traditionnellement la première place. Or, à cette époque, elles sont beaucoup moins fréquentes qu'on pourrait

OREILLES Leur forme courtes étroites larges longues grandes petites à lobe allongé VI. LE MENTON Sa forme carré rond effacé double proéminent triple en galoche VII. LE VISAGE 1. sa forme 2. ses particularités 3. sa coloration carré buriné blanc long chifonné blême, livide, pâle ovale ridé cadavérique plat fané exsangue rond lisse de papier mâché triangulaire épanoui de parchemin mafflu détendu coloré épanoui, enluminé renfrogné creusé rougeaud, rose, rubicond VIII. LES CHEVEUX

la repoussée osseuse autour de l’orifice. L’abcès étant revenu, une seconde trépanation fut effectuée. Et le patient survécut encore. Lorsqu’il voulait effectuer une trépanation, le « chirurgien « de la fin du Néolithique découpait à l’aide d’un burin en pierre une rondelle de l’os du crâne du malade. Amputation au Néolithique Des chercheurs de l’Institut national de recherches archéologiques préventives ont découvert un squelette vieux de presque 7.000 ans portant la trace d’une opération chirurgicale

pièces métalliques arrivant sur le tapis d’une chaine de production tayloriste. Au vue de la vitesse éreintante de la réalisation de ce geste, Chaplin témoigne d’une précision certaine, tout comme ses deux collègues à côté de lui qui sont munis de burins et de marteaux dans chaque main et frappent les pièces à toute vitesse. Or, si ces actions constituent bien des mouvements techniques, sont-ils pour autant des gestes techniques ? En effet cela n’a rien à voir avec le geste de taille que réalise l’acteur

originales à des artistes contemporains c’est le cas pour Salvador Dali Technique de la taille douce : * Inventée au XVème siècle à Florence en Italie * 1er procédé de gravure hérité des orfèvres. Cette technique fait référence à la gravure au burin qui est une gravure en creux et l’encre recouvre les creux. * Le support est souvent une plaque de cuivre, de zinc ou de laiton. * Cette technique est aussi utilisée dans la fabrication des billets de banques et des timbres. Claude Durrens :

rester méticuleux dans toutes les étapes de son ouvrage. La précision requise lors de la taille de la pierre est de l’ordre du millimètre, c'est-à-dire l’épaisseur du trait réalisé à la pointe à tracer et au crayon. Un outil qui dérape, un coup de burin en trop et l’œuvre en gestation est irrémédiablement abîmée. -Patience L’aisance vient au fil des années. Le granit et le marbre ne sont pas des matériaux malléables qui s’apprivoisent en un jour. Un tailleur de pierre doit donc se montrer patient