Burqa

sublime collier de diamants. Tous les bénéfices tirés de cette Barbie iront au profit de l’association pour la lutte contre le cancer du sein. ... Là, une Barbie portant la burqa symbolise la liberté des femmes musulmanes. Aussi, le samedi 21 novembre dernier, 500 exemplaires de ce modèle de poupées Barbie portant une burqa ont été mis aux enchères dans les Salons du Cinquecento à Florence, lors d'une vente de charité, pour le fond Save the Children. C‘est aussi bien pour les petites filles, car

de développement). très conservatrices. Quel texte légal règle leur existence ? Retrouver dans le texte différents aspects de la vie des femmes dans le livre (femmes cloîtrées qui ne peuvent pas sortir seules de chez elles, obligation de porter la burqa dès qu’elles sortent ou qu’un étranger entre dans leur maison, travaux ménagers comme unique passetemps, pas de métier, pas de possession ou d’héritage, interdiction de faire du sport...). Regarder l’attitude des personnages féminins : dans leur situation

comment les utiliser et enfin choisir le mode d’action III/Obtenir le retrait de la loi sur la Burqa et les excuses de la France pour son passé de colonisateur Pour montrer que nous sommes les seuls défenseurs des musulmans nous devons faire plier la France, nation la plus arrogante. Le discours de leur président à Dakar en 2007 est un affront envers nos fidèles, tout comme la dernière loi sur la burqa. Son passé de colonisateur n’a pas été expié, ce que nous voulons pour prouver aux musulmans que

mosquée de Paris. Un fait déjà visible rue Jean-Pierre Timbaud à Paris où Ali, commerçant, ne cesse d'écouler ses stocks de voiles depuis les polémiques sur la burqa et l'identité nationale. “Ces femmes étaient inoffensives, elles sont en train de se politiser” regrette Agnès de Féo sociologue et et réalisatrice du documentaire Sous la Burqa. Une loi à double tranchant Zeina et Kenza connaissent bien ce vêtement controversé : l’une l’a porté comme un fardeau, l’autre l’a vécue comme une émancipation

fort qui les rassemble. Le débat a cependant montré qu’il est difficile de trouver « l’identité nationale », et il semble qu’il soit plus facile de dire ce qui n’en fait pas partie. Le débat sur l’identité est amalgamé avec un débat sur la burqa et les minarets, donc avec un débat sur les musulmans en France. Il paraît que c’est plus facile de réunir la nation si on l’oppose à un autre peuple ou à d’autres idées. On retrouve cela dans l’historie française : L’identité nationale française,

variantes. Avec l’islam, la coutume millénaire du voile, jusque-là réservé aux femmes de haut rang, s’étend aux autres couches sociales, changeant de forme, d’appellation et de couleur selon les lieux. MARTINE DE SAUTO Hidjab, tchador, niqâb, burqa Dans les années 1970, un terme jusque-là quasi inconnu de la majorité des musulmans a fait son apparition, en même temps que des mouvements islamistes qui en étaient les promoteurs : le hidjab . Dans le Coran, ce mot, qui en arabe signifie « séparation

Copenhague, alors même que la justice danoise proscrit chapeaux et lunettes de soleil à la barre ! Comme en France, le port de la burqa fait l'objet d'intenses débats au Danemark, à la suite d'une proposition du parti conservateur, au pouvoir, visant à l'interdire dans les lieux publics. Les Pays-Bas ont été les premiers, dès 2005, à envisager une interdiction totale de la burqa, pour des raisons de sécurité. « Nul ne peut être inquiété pour ses opinions, même religieuses », dit l’article 10 de la Déclaration

Le voile comporte de nombreuses versions et se retrouve dans de nombreuses traditions, bien au-delà de l'islam.  La burqa est à l'origine le vêtement traditionnel des tribus pachtounes en Afghanistan. Cette tenue est devenue aux yeux du monde le symbole du régime des talibans en Afghanistan, qui l'avaient rendue obligatoire. Dans les pays arabes, le niqab , voile intégral complété par une étoffe ne laissant apparaître qu'une fente pour les yeux, s'est répandu sous l'influence de l'islam wahhabite

que la voix puisse corrompre l'homme qui l'écoute. On leur avait nié même le droit à leur propre humanité dans le sens qu'on leur exigeait de ne pas montrer publiquement leur visage aux hommes, de porter des couleurs vives, de se maquiller. Seule le burqa leur était permis, un sorte de sac sans forme qui les recouvrent de la tête aux pieds. Elles ne devaient non plus ni porter chaussures qui font du bruit de peur que le son de leurs pieds peut corrompre ni voyager dans la compagnie d'un homme dans une

grands temps d’actualité qui se sont succédés en quelques mois et qui correspondent à trois moments particuliers des actes islamophobes. Traite ment médiatique de s agences de presses et actes islamophobes 10000 1000 'islam' 'terrorisme' 100 'burqa' Actes idividus actes institutions 10 1 A oû t S ep te m br e O ct ob re N o ve m br e D é ce m br e Ja nv ie r F év rie r M ar s Ju ill e t A vr il Ju in M ai 4 Voir notre Rapport d’étapes 2003/2004 Rapport d’étape du CCIF sur l’Islamophobie