Buster Keaton

Buster Keaton Nom: Joseph Frank Keaton Junior Naissance: 4 octobre 1895 Piqua, Kansas (États-Unis) Mort: 1er février 1966 Hollywood, Californie (États-Unis) Conjointe: Eleanor Norris, Natalie Talmadge Buster Keaton (de son vrai nom Joseph Frank Keaton Junior, Buster étant un surnom générique signifiant aussi « casse-cou ») né le 4 octobre 1895 à Piqua (Kansas) et mort le 1er février 1966 à Hollywood (Californie), est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain. Humoriste

orLe Mécano de la « Général » Buster Keaton Le Mécano de la « Général », un « art de l’espace » et du mouvement. Sujet : Le Mécano de la « Général », un « art de l’espace » et du mouvement. Problématique : Comment grâce à son jeu et ses procédés cinématographiques Buster Keaton parvient-il à conquérir l’espace et à inscrire son film dans un mouvement perpétuel ? Plan détaillé : Introduction : • • • • Etats-Unis 1926 Trajet en locomotive mêlant amour facétieux et ridicule de la guerre

Buster Keaton Joseph Frank Keaton Junior, né le 4 octobre 1895 , fils d’acteurs de cabaret, se destine à suivre la tradition familiale artistique. Après avoir fait des débuts dans le music-hall, il s'essaye au cinéma en 1917 et en 1919 il décroche son premier grand rôle dans une série de courts-métrages intitulés "La Maison démontable". Durant les années 1920, Keaton réalise et interprète une dizaine de films qui feront date dans l'histoire du cinéma. Il fabriquera ses films dans son propre studio

comique du réel n'est pas le moindre »1. Né en France avec Jean Durand et Max Linder, c’est à Hollywood que s’épanouit le cinéma burlesque avec les grands noms qui restent attachés au genre : le précurseur Mark Sennett suivi de Charlie Chaplin, Buster Keaton, Harry Langdon, Harold Lloyd. L’expression « film burlesque » n’apparut que dans les années 1920 et aux États-Unis, le burlesque s’appelle slapstick. Typique de l’ère du cinéma muet, il prend toutefois un nouvel essor après l’arrivée du « parlant

Paris, Seuil, 1994; rééd. Poche Points, 1998. * Face au scepticisme. Les mutations du paysage intellectuel, La Découverte, 1994; réed. Pluriel, 1998. * Vers la troisième Ville ? préface de Christian de Porzamparc, Hachette, 1995. * Buster Keaton, l'Étoile filante, Hachette, 1995. * La violence des images. Essai sur les Passions démocratiques II, Seuil, 1997. * L’Après-1989, Les nouveaux langages du politique, Hachette Littérature, 1998. * Éclats de rire. Variations sur le

(1947) Le scénario n’était pas le sien mais celui d’Orson Welles. Inspiré d’une histoire vrai (Henri Landru) Film trop en avance sur son temps et donc mal reçu * Les feux de la rampe (1952) Buster Keaton et Charles Chaplin. La rumeur voudrait que Chaplin ait coupé certains passages où Buster Keaton aurait été plus drôle que lui. Dernier film tourné en Amérique. Une fois de plus il compose la musique du film

poursuites, critique sociales comique bien qu’international n’est jamais tres subversifs, ce flottement d’identité : absence d’enracinement jamais catégorié. Buster Keaton : «  Le mechano de la général » 1926 Cplin/keaton : chapeaux, ils commencent tous les deux aux meme ages, opposés dans la mise en scene Chaplin : plans fixes Keaton : grosse mise en scene « Plus je prenais les gens aux serieu, et plus ils rigolaient » « L’homme qui ne rit jamais » malgré lui. Après la guerre de 14 ses propres

fier, presque sublime ; inoubliable[1] », écrivait James Agee pour décrire le visage de Buster Keaton. Description digne de celle d’un héros antique ; et est-ce vraiment la première image qui nous vient à l’esprit en voyant ce petit homme frêle ridiculement attaché à une vache dans Go West, ou poursuivi par des hordes de fiancées dans Seven Chances ? La réponse est définitivement négative : la silhouette de Keaton est même plutôt comique, et si on ne l’associe pas à un héros, c’est que celui-ci est

donnent aussi lieu à du jeu burlesque. Ainsi, quand Clov se prépare pour observer par la fenêtre et qu'il oublie systématiquement la lunette ou l'escabeau, ses mouvements désordonnés, non maitrisés rappellent les pantomimes de Charlie Chaplin ou de Buster Keaton, toujours empêtrés avec les objets. Même chose quand Clov désire mettre de l'ordre dans les objets étalés par terre jusqu'au moment où Hamm lui dit de laisser tomber, ce que Clov prend au pied de la lettre, laissant tomber les objets qu'il

quotidienne (électroménager, ameublement moderne), généralisation de l’automobile, place de plus en plus centrale de la télévision. Jacques Tati incarne le renouveau du burlesque (comique éxagéré) français. Il cite lui-même Charlie Chaplin ou Buster Keaton à titre de comparaison. 3) La description de l’œuvre Résumé du film : dans un quartier moderne où tout est très (trop) bien agencé habitent M. Arpel, son épouse et leur fils Gérard, que cette vie sans saveur ennuie. L'intrusion dans la famille