Byōbu

Émile ZOLA, <<Édouard MANET>> Ce texte est extrait d'un article qui parle du tableau que MANET à peint pour ZOLA. ZOLA ne donne pas le nom du tableau, mais on devine qu'il parle du tableau que MANET lui à peint grâce à des indices: "paravent japonais" (l.12), "des accessoires et des livres qui traînent sur la table" (l.16-17), "cadres du fond" (l.12) et "la main placée sur un genou" (l.18). ZOLA parle de sont tableau d'un manière implicite. Aujourd'hui, le tableau est au musée d'Orsay

quasiment ouvert, sans même aucune cloison pour séparer les espaces « privés ». Progressivement, alors que plus d’attention fut donnée à chacun des espaces et à leur fonction – les espaces pour manger, dormir, ou s’habiller – des écrans autonomes (byobu) furent utilisés. Les shoji et les fusuma, qui sont encore utilisés dans de nombreuses demeures, apparurent plus tard. Bien que médiocres du point de vue de l’isolation sonore, ils fournissent un certain degré Ecole primaire de Kaichi Construit

Complémentaire des parois externes en papier, la décoration et l’aménagement intérieur de maisons font aussi appel au papier, avec les paravents, simple panneaux plats (fusuma), assemblés et pliant, encore une fois hérités de civilisation chinoise (byobu). L’arrivée du papier au Japon accompagne l’importation d’éléments techniques et culturels chinois et en particulier le bouddhisme et ses textes sacrés, qu’il faut pouvoir recopier. Selon les textes japonnais, la technique de fabrication du papier

totalement une pièce (nurigome 塗籠 ou shitsu 室, de la taille d’un espace entre les colonnes) où dormira le maître de maison, grâce à des portes à battants (namito 並戸).(Page 21) On dispose aussi d’éléments amovibles : des shôji 障子 en bois, des paravents (byôbu 屏風), des nattes (jô ou chô 帖), des écrans mobiles (tobari 帳 ou 帷), des stores très fins (misu 御簾) et des voiles (kichô 几帳).(Page 22) f) Distinction des lieux. Certains historiens ont remarqué que les Japonais de l’époque faisaient une distinction

insignifiants, mais dont la diffusion est réelle à l’époque, et contribue à l’adoption de nouveaux comportements et à la diffusion de savoirs nouveaux. Les Ibériques s’enthousiasment pour deux objets venus du Japon : les éventails et les paravents (byobu en jap, « biombo » pour les Esp). Au J, l’éventail est traditionnellement réservé au nobles et aux samouraïs, séduit la cour de Lisbonne et devient l’attribut indispensable des princesses de sang royal dans la famille des Habsbourg (exemple : sur ses

na parapet : tesuri, rankan paraphrase : parafurêzu, iikae parapluie : amagasa, kasa parapsychologie : chôshinrigaku, parasaikorojî parasite (n) : kisei seibutsu, kiseichû parasites (bruit) : zatsuon parasitisme : kisei parasol : higasa paravent : byôbu parc (jardin public) : kôen parc naturel : shizen kôen parce que : node, kara parcelle : shôkukakuchi, ippen, kakera parchemin : yôhishi parcimonie : kechi, komaka na setsuyaku parcimonieusement : kechikechi to parcimonieux : kechikechi shita, kechi