Byzance

(1282-1328) Sources: Annales de George Pachymeres:Né à Nicée en 1242. A occupé des offices étatiques et écclésiastiques élèvés. le meilleur pour 1256-1307. Témoin des règnes Michel VIII et d'Andronic II, qu'il narre en 13 livres dans son Histoire de Byzance, qui est une continuation de l'oeuvre de George Acropolite. Se base lui-même sur des témoignages personnels ou de gens qu'il a lui-même interrogés et fait preuve d'un sens critique aiguisé et d'une impartalité notable, bien qu'il était en désaccord

les autres. Fond du tableau couleur or. C’est une peinture à la détrempe (peinture à l’eau mélangée à une colle qui peut être de la gomme arabique, de l’œuf ou toute autre colle naturelle). On est en plein dans l’influence de Byzance, donc des icônes orthodoxes. Vers 752 Byzance était arrivée à reprendre le contrôle d’une partie de la péninsule italienne, mais en 752 elle est chassée par les Lombards. Au même moment attaque au sud des normands par la Sicile. Elle doit se replier mais veut conserver

un des plus longs règnes de l’empire byzantin. Ayant une mère issue d’une famille aristocratique et un père militaire, hissa au rang de général, sans jamais perdre une bataille malgré son jeune âge de seulement 24 ans. Nicéphore, empereur de Byzance en 1081, âgé et se rendant compte des problèmes du pays décida d’abdiquer en laissant le trône vaquant. Encouragé par sa mère et soutenu par une alliance de puissantes familles aristocratiques, puisqu’il était lui-même de sang royal étant le neveu

fin du XIe siècle, la Sicile est entièrement sous l’autorité des Normands. Au début du XIIe siècle, le roi Roger II place toutes les possessions normandes sous son autorité et obtient la couronne royale en 1131. Les Normands continuent de menacer Byzance et prennent même pied sur l’autre rive de la Méditerranée, pour quelques années : Sfax, Djerba et Tripoli sont occupées en 1148. Ils coupent ainsi un axe essentiel du commerce musulman et ouvrent la Tunisie au commerce de Gênes et de Pise. La Sicile

considérable à la colonie grecque de Byzance en 330. Il en fait la « Nouvelle Rome » (Nova Roma) face à Rome qui — au moins depuis le court règne de l'empereur Maxence - n'est plus résidence permanente de l'autorité impériale5. La nouvelle résidence impériale devient capitale de la partie orientale de l'Empire romain. Le nom officiel ne tarde pas à être remplacé dans le langage courant par la dénomination usuelle de « Constantinople », ce qui n'empêche pas l'appellation « Byzance » de perdurer pendant des siècles

.... 4 HISTORIQUE 5 ARCHITECTURE 6 MOSAÏQUE 7 PEINTURE 8 RESSEMBLANCES 9 CONCLUSION 10 MÉDIAGRAPHIE 11 INTRODUCTION Avant d'entreprendre notre analyse sur l'art Byzantin, nous verrons où Byzance, ancienne cité grecque se situe, quel nom y était donnée au fil du temps et quel nom elle porte actuellement. Pourquoi sa localisation est-elle si stratégique? Nous aurons aussi l'occasion d'apprécier l'architecture intérieur, extérieur et les mosaïques

littéaires et philosophiques grecques qu’il était possible d'en retrouver. Ils ont d’ailleurs fondé une immense bibliothèque à Byzance. Ce lieu de culture assurait la survie des valeurs, des connaissances et des textes grecs. L’empire comptait également plusieurs grandes écoles, dont quelques-unes étaient spécialisées dans certains domaines. D'importantes écoles, dont celles de Byzance, d'Alexandrie, d'Antioche, de Beyrouth, d'Edesse et d'Athènes existent toujours. L’éducation des enfants étaient constituée

J'ai vu l’ Mont Valérien T'as voulu voir Hortense Elle était dans l’ Cantal Je voulais voir Byzance Et on a vu Pigalle A la gare St-Lazare J'ai vu les fleurs du mal, Par hasard T'as plus aimé Paris On a quitté Paris T'as plus aimé Dutronc On a quitté Dutronc Maintenant j’ confonds ta sœur Et le Mont Valérien De c’ que je sais d'Hortense J'irai plus dans l’ Cantal Et tant pis pour Byzance Puisque que j'ai vu Pigalle Et la gare St-Lazare C'est cher et ça fait mal, Au hasard Mais

https://histoirebnf.hypotheses.org/5642, Grosdidier José de Matons, « Byzance - L'Empire byzantin », Encyclopædia Universalis , [consulté le 20 octobre 2022]. URL : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/byzance-l-empire- byzantin/ Janin Raymond, «Les sanctuaires byzantins de saint Michel (Constantinople et banlieue)», Échos d'Orient, tome 33, n°173, 1934 Jolivet-Lévy, C.« Le renouveau de l’époque macédonienne. In La Cappadoce : Mémoire de Byzance.» CNRS, 1997. Lafontaine-Dosogne Jacqueline, Hadermann-Misguich

stimulé les chantiers navaux. Les cités italiennes rivalisent entre elles : des affrontements éclatent périodiquement dans les comptoirs (Constantinople, ports du Levant). Venise se voit privée de ses privilèges commerciaux, obtenus en 1082, auprès de Byzance en 1171 par Manuel Comnène mais prend sa revanche lors du sac de Constantinople de 1204. Gênes est la grande rivale de Venise et aide les Grecs à reconstituer leur Empire (reprise de Constantinople en 1261). A la fin du XIIIe siècle, Gênes supplante